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Visitons //miss Sliff//

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Message Visitons //miss Sliff// I_icon_minitimeDim 21 Déc - 19:15


Une petitevisite en ville

Cela faisait tellement étrange de revenir ici. Oui cela faisait presque dix ans que j'avais quitter cette vie. Cette école qui m'avait permis de me reprendre et de vivre. Tellement de chose s'était passée. Je ne me reconnaissait plus. Mais bon c’était normale aussi . Je suis vielle maintenant. Même si je me sens toujours aussi jeune. Mais venir ici donner des cours étais un plaisir. Bien que cela me fasse un peu peur. J'adore les premiers secours, c’était ma matière préférée pendant mes études. Mais je ne savais pas du tout comment mes élevés prendrait la chose.

J’espère qu'il vont comprendre l'importance de ce cours... Mais je pense que oui, il est plus intéressant que le cours de géopolitique, en tout cas pour certains. Bref se matin comme les autres, j'ai prit soin de porter des vêtements assez simple. J'ai choisit de porter une chemise venant de mon pays, une belle chemise en soie avec un col Mao. Qui couvrait ma gorge... Cette chemise me permettais de cacher le bandage qui comprimait mon épaules. J'avais du quitter l'armée a cause d'un épuisement et de cette blessure... Pour que je tombe de mon dragon je devait vraiment être fatiguée.

Enfin bref j'avais également passé un beau pantalon en cuir noir, qui moulait mon corps... Bon c'était peu être un peu, trop. Mais comme cela je pouvait bouger facilement. Mes cheveux étais attacher en une belle tresse, c'est toujours mieux de se sentir belle avant d'aller en classe.

Et puis comme depuis que j'avais commencer a donner mes cours je m'était jetée dans la fosse au lion, donnant cours a un groupe de première année. C'était nouveau et étrangement amusant.. je pouvait sourire plus facilement. J'oubliais un peu ma vie d'avant, mes erreur, ces morts qui me hantait.

A la fin du cours j'observais un instant les élèves.. Avant de sourire doucement.

« Miss Sliff vous pourriez rester ? »

Ma voix était douce et tranquille. Je n'avait rien a lui reprocher, mais elle me semblait un petit peu perdues. Comme certain de mes camarades durant leur études. Je savais que certain enfants qui arrivaient ici n'avait pas eu le droit a une éducations correcte. Contrairement a moi, qui avait eu la chance d'avoir une aussi bonne éducation.

« rassurez vous je ne vous reproche rien. »

Encore un sourire, avant que je ne m'approche de la jeune femme.

« Est-ce que vous avez déjà visité la ville ? J'aurais besoin d'aide pour aller chercher quelque fourniture. ».

© Nye-Hael sur Epicode
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Glacies
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Hedwige Sliff
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Message Visitons //miss Sliff// I_icon_minitimeLun 22 Déc - 1:08



Le cours de premier secours m'intriguait et me révulsait, moi qui avais prodigué les soin et enduré la longueur du traitement de ma mère non efficace, je doutais de l'efficacité de ce genre d'enseignement sur le long terme et sur le terrain mais je ne laissais rien paraître. J'avais en mon fort intérieur accepté mon triste sort que celui 'être enfermé dans des salles afin d'étudier convenablement malgré mes difficultés de motivation. L'académie, non Lindorm était à présent ma maison que je le veuille ou non et rien ne pourrait plus jamais changer, oubliant mon évasion, fugue ou retour pour Nordheim ma terre natale, ma patrie, mon âme.

Durant tout le cours je soufrai de la perte d'un être cher, non de deux. Je ne pensais pas ressentir autant le poids de l'absence de mon demi-frère, moi qui ne l'aimais guère, j'ai sans doute développé un instinct protecteur envers lui, j'étais devenu une véritable grande sœur qu'on avait séparé pour mieux éduquer. J'avais refusé durant trois ans l'enseignement que l'on me donnait pourquoi l'acceptais-je maintenant? Tout était flou et mélangé dans le panier de mon cerveau trop fragile et torturé. Alors pour ne pas réfléchir je subissait. Personne ne devait connaître mon passé, à part les professeurs qui lisaient les dossiers des élèves, et restait distante, fuyard des autres m'arrangeais même si je m'étais attachée à quelques personne bien différente de moi.

La fin du cours approchait et enfin je pourrais souffler, penser à autre chose et me décrisper. Je griffonnais machinalement sur mon cahier, prenant note de tout ce qu'il fallait sans vraiment en capter le sens; je voulais juste fermer ce cahier blanc rempli de noir d'encre et respirer l'air de l'extérieur, rien de plus. Enfin le 'ding' de fin retentit et je rangeai mon stylo et mon cahier dans ma besace usée mais fonctionnel. Notre charmante enseignante profita de cet instant pour m'interpeller, ce qui me fit sursauter dans un petit cri de souris qui voulait dire 'oui'. Je me relevai avec maladresse, faisant grincer les pieds de la chaises sur le sol.

Comme à mon habitude je restai inexpressive mais au fond de mon être je me demandais la raison de mon attente; debout à ma place, les mains posées sur le pupitre. Je vérifiai que rien ne traînait sur cette même table et soufflai. Le cœur battant rapidement, j'était prête au pire et quoi que Mademoiselle Ó Maoilriain dise, je ne devais en aucun cas réfuter; d'autant plus si c'était un reproche. Je patientai, jouant avec mes orteils dans mes chaussettes, comptant les nuages blancs qui passaient au dessus et qu'on entrevoyait par la fenêtre. Mais la demande qu'elle me fit me laissai abasourdi.

- "La ville? non jamais....Eto... Je serais ravi de vous aider dans vos achats professeur"

Je la gratifiai d'un beau sourire qui dans ma tête sonnait faux même si je souhaitais sincèrement l'aider; je n'arrivais plus à sourire spontanément comme avant; la vie est parfois horrible. Je pris ma besace et suivit la dame aux longs cheveux noir tressés dans les couloirs de l'académie, le bruit de nos pas résonnaient dans ma tête autant que dans le couloir; je ne pensais plus, ne voulant plus ça me servait à rien dans l'immédiat. Je n'avais qu'à suivre tel un mouton qui rentre à la bergerie. L'air extérieur me faisait toujours autant de bien, me faisait sentir libre et à chaque fois j'avais la certitude que je pourrais voler avec ma dragonne pour retourner à Valhöll, dans les froid. Le trajet dura un moment sans que je lance de question, répondant simplement aux questions de mademoiselle Ó Maoilriain sans entrer trop dans les détails lorsque je n'en voyais pas l’intérêt.

- "Pourquoi avez vous choisi d'enseigner professeur? Surtout une matière aussi particulière que les premiers soins!

On avançait bon train et je sentais une belle fin de journée de cours se profiler. Peut-être retrouverais-je ce que j'avais longtemps perdu. Mon enfance!
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Message Visitons //miss Sliff// I_icon_minitimeMer 31 Déc - 20:07


Une petitevisite en ville

C’est facile de remarquer les élèves qui font semblant de vous prêter attention… Il vous regarder le regard vide même si il note de temps en temps quelque chose sur leur carnet. C’était le cas de cette jeune fille, je ne la juge pas. Je me demande juste ce que je dois faire pour améliorer mon cours. Apprendre à connaitre les élèves me semble assez important. Par contre le petit cri de souris de la jeune femme me fit légèrement sourire, je dû me retenir de vraiment rire mais c’était tellement adorable comme mouvement.

Mais je suis ravie que la jeune fille ne me refuse pas le plaisir de m’accompagner en ville… Quelque chose dans son sourire sonnait un peu faux. Il y avait quelque chose de casser dans cette jeune fille. Quelque chose qui me rappelait mon attitude quand je suis arrivée a l’école. Sauf que moi je fonçais dans le tat… Je n’hésitais jamais à prendre les devants, et qu’importe que mon sourire sonne faux. Que ma joie soient fausse, mais je vivais libre et sans avoir peur des lendemains…

Durant le trajet j’entendis le battement des sabots d’Embarr, il galopait pour nous rattraper, ces sabots battant le sol, je pouvais les ressentir sous la plante de mes pieds. Depuis que je me suis blessée mon dragon a l’apparence de cheval me couvait comme une enfant qui aurais fait une mauvaise chute. Pourtant il s’arrêta distance respectable pour observer la jeune fille…

« Ha nous n’aurons pas à porter les courses pour le retour. »


Je laisse échapper un petit rire venant caresser le nez d’Embarr sa peau étais chaude et douce sous mes doigts comme du velours. Si je ne répondis pas tout de suite à la jeune élève, c’est que je réfléchissais.

« Disons qu’il y a plusieurs raison. »

Embarr me poussa doucement de son nez avant de s’avancer en caracolant comme un poulain… Cela me fait doucement sourire avant que je ne porte ma main à mon épaule.

« Jusqu’à il y a peu j’étais chef d’une unité de premier secours dans l’armée. Disons que certain circonstance m’on forcée à revoir mon chemin de vie. »

Cette blessure alors que je soignais un soldat, blessée par une des miens d’ailleurs, qui sous le choc ne reconnaissait ni ami ni ennemi et frappait tous ceux qui approchait son compagnon. Je savais parfaitement que j’aurais dû attendre, mais je n’ai pas eu le choix. Mon regard se fait un peu lointain alors que je reprends la parole d’une voix douce mais un peu rauque.

« Vous savez ce cours n’est pas plus particulier que le cours de Geo-politique ou de tactique. Que ferais un soldat si il ne pouvait arrêter un saignement, ou bander un membre fracturé. J’aime cette matière depuis tout jeune, savoir comment marche le corps.. Savoir comment protéger les organes vitaux pour donner même une infime chance de sauver une vie, il n’y a rien de plus précieux pour moi. Même si des fois on a beau lutter en vain. »


Combien de fois ai-je lutter les mains dans le sang, fouillant les organes pour sauver une vie, combien de fois ai-je sentit un corps cesser de battre entre mes mains.. Trop de fois, dont celui de l’homme que j’aimais plus que tout… Mon regard se tourne un instant sur la jeune femme cette question étais un peu étrange.

« Mais dite moi, mon cours n’avais pas l’air de vous passionner plus que cela. Que puis-je fait pour le rendre plus passionnant ? »

La question était posée et j’étais sérieuse, comme tous les professeurs je pensais que ma matière étais la plus importante. Nous arrivions doucement vers la ville.. Et Embarr commença a fait son beau devant les passant qu’il croisait, courbant son encolure sous les cris émerveiller de certaine paysanne… Mon dieu..

« Qu’elle cabotin. »

Cette fois j’éclate carrément de rire, secouant doucement la tête de droite à gauche … Vraiment il le fait exprès n’est pas.

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Hedwige Sliff
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Message Visitons //miss Sliff// I_icon_minitimeDim 4 Jan - 8:08

Des sabots martelèrent le sol d'un son régulier et rapide. Quelqu'un ou quelque chose galopait derrière nous pour nous rattraper; je n'eu pas le temps de me retourner pour vérifier que déjà le dragon de mon professeur était à notre hauteur. Je souris amicalement a sa remarque amusante sans ajouter de commentaire. Son allié ressemblait plus à un cheval ou poulain qu'à un dragon, il me semblait même avoir déjà lu de légendes à leur sujet, mais le nom m'échappait et puis les légendes sont parfois que des légendes pour faire peur ou simplement pour expliquer l'inexplicable.

Sa réponse me mît mal à l'aise, je ressentais comme une gêne et j'en comprenais la raison. Devoir laisser ce qu'on aime faire pour une blessure j'en avais vu les frais, sauf que dans mon cas ce fut plus la maladie qui m'avais contrainte très jeune à accomplir des tâches trop difficile et à assumer beaucoup trop de choses importante. Je ne pouvais que comprendre son point de vue... Le professeur Ó Maoilriain souffrait aussi bien physiquement que mentalement et ça me rendait malade car j'étais peut être la cause de son tourments, a ressasser le passer, à repenser à sa blessure et d'être contrainte à devenir professeur pour continuer à exercer le métier qui passionne.

-"désolée" fus ma seule réponse qui me vont à l'esprit sans enfoncer d'avantage le pieu dans le cœur. La vie était faire ainsi, de ait et de bas...

Sa question me fis sursauter. Je stoppai ma marche, baissai la tête et réfléchis. Non c'était pas inintéressant, c'était douloureux, trop présent, trop pesant et chaque fois qu'il s'agissait de malade, maladie, blessure ou autre s'approchant un peu trop de ce que j'avais enduré je devenais simplement hermétique... Même si j'avais quitté ma vie d'orpheline pour venir à Lindorm, mon passé me suivait inlassablement, comme mon ombre sans que je puisse y faire quelque chose à part attendre que ça ce passe, que les plaies se referment d'elle-même et que je puisse vivre simplement... Librement...

Je respirait un bon coup puis regardai la jeune femme, reprenant la marche. Je lui répondis avec un air rembrunit:

-"Votre cours est vraiment intéressant, je ne saurais dire si la matière me plaît pour le moment mais la leçon est fluide et on comprend bien les mots et l'importance des gestes et des outils. Désolée si j'ai pu vous paraître absente, pour reprendre vos paroles, disons que 'des fois on a beau lutter en vain' "

Oui je n'avais pas encore fait le deuil de ma mère; ce fus si brutal, après tout ce temps passé à son ce et, après tout le mal que j'avais enduré pour payer les soin en vain. Je me sentis lasse à cet instant, j'avais lutté contre tant de choses, me créant une carapace mais la vie reprends son cours et les souvenirs aussi. Je voulais simplement oublier... Effacer ce drame de ma vie et reprendre souffle pour avancer... Chose impossible... J'étais enchaîné à ma conscience et à mon triste passé et je doutais que les chaînes soit rompu un jour. Elles se fissuraient parfois pour mieux se renforcer et j'en avez plus que marre., je capitulais...

Je lui souris comme pour effacer ma faiblesse passagère et entrai dans la ville avec un brouhaha à rendre sourd, le même qu'à la taverne. Oui il faisait le fier mais après tout il s'amusait et cela me fit rire également. J'avais une appréhension débile en dépassant les premières maisons, mais elle fut balayé quand je sentis les odeur de étales du marché. Des fleurs au parfum suave, des épices, des parfums... Je ne savais plus où donner de la tête tellement les choses qui composaient les rues m'interpelaient. Les couleurs, les formes, le bruit, le choix, la vie... Rien à voir avec Nordheim, rien à voir avec la taverne... Je courrais d'un étale à l'autre, d'une vitrine à l'autre; je pouvais paraître folle, perdue mais je retrouvais ma joie d'enfant, celle que j'avais abandonné.

Au bout de quelques minutes je me souviens que j'accompagnais mon professeur pour l'aider dans ses achats mais en courant comme je venais de le faire, je m'étais simplement égaré parmi la foule. Oups. Ne pas paniquer. Ne pas paniquer. Réfléchir à une solution. Retourner sur ses pas et vérifier chaque recoin jusqu'à apercevoir une silhouette puis des vêtements que je connaissais. Mais rien, j'étais simplement retournée à l'entrée de la ville sans trouver trace de les accompagnateurs. Respire. Je fis demi tour et tombai nez à museau avec Embarr qui me reconduit auprès de madame Ó Maoilriain Penaude je si simplement :

-" Désolée, je crois que me suis laissé prendre au jeu... Je vous suis maintenant."

J'avais honte d'avoir agis ainsi...
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