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Columbus Swansonn

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Wyrm Aile Ecarlate
+ Date d'inscription : 04/02/2015
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+ Âge du Personnage : 42 ans
+ Poste occupé : Assassin - Ailes Ecarlates
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Columbus Swansonn
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Message Columbus Swansonn I_icon_minitimeMer 4 Fév - 11:44


Columbus Swansonn
"Mieux vaut une vraie tristesse à une fausse joie"
Nom : Swansonn
Prénom : Columbus
Surnom : Papa - Umbus - Le Fou
Âge : 42 ans
Groupe : Wyrm – Ailes Ecarlates
Nation d'origine : Waterfield
Métier : Assassin – Agent de renseignement
Arme : Une épée fine dont le fourreau ressemble à une canne
Ce qu'on dit de Moi
Excentrique, dépressif, lunatique, masochiste à tendance suicidaire. Columbus n’a jamais été quelqu’un d’ordinaire, il à toujours brillé par son incapacité à se lier aux gens, à être en décalage total avec un mode de vie « normal », avec un courant de pensées actuelles. Par fierté mal placée il s’est moqué d’être seul, rejeter par les autres car il était différent, trop bizarre, mais cela l’a toujours terriblement blessé. Amer envers les autres, il a préféré vivre seul dans une maison biscornue qui donnait sur la mer plutôt que de rejoindre la capitale de Waterfield. Il est resté enfermé chez lui, à écrire tout ce qui lui passait par la tête, entêté, obstiné, il n’a jamais abandonné. Il a mené toute sa vie un combat perdu d’avance contre lui-même pour être un tant soi peu reconnu, mais ses ouvrages ont toujours finit dans des librairies bas de gamme, ou pour caller les bibliothèques soutenant les livres reconnus et aimé de tous. Trop triste, trop déprimant, trop alambiqué, voilà ce qu’on lui à toujours reproché. Elisabeth, sa femme à toujours été la seule à savoir lire entre ses mots. Manquant de confiance en lui, Columbus à de longues années cru qu’il ne valait rien, mais l’amour de sa femme, sa tristesse, sa colère l’ont amené à penser et comprendre que l’avis des autres ne comptait pas.
Le cœur anesthésié par la colère, la solitude de longues années, par un amour débordant envers sa fille, il n’éprouve plus la moindre empathie envers les autres. Se berçant d’illusion sur le but de la vie humaine, il n’a aucun remord à retirer une vie, plusieurs, à séparer des dragons de leur dragonniers, en brisant leur rêves d’un coup de lame.
Sa fille, il l’aime, désespérément, elle est tout pour lui, son unique raison qui le pousse à ne jamais enfoncer la lame de son rasoir trop loin dans sa chair, mais juste assez pour avoir mal et exulter. Il a apprit pour elle le langage des signes et la couve toujours avec un regard rempli d'amour sincère. Parfois hautain, il peut devenir cruel s’il est poussé à bout, si l’on cherche à remettre en question son choix de vie. Persuadé d’être l’homme le plus triste au monde, il prend parfois les gens de haut, avant de leur rire au nez pour les taquiner devant leur pitoyable vie.

---

Vivant à travers l’image de sa femme, quand elle était encore humaine, et n’ayant aucun goût pour la mode, il ne porte que des vêtements désordonnés, assemblant les rayures avec des carreaux, du rouge avec du vert, du violet du moutarde. Il se fiche de tout, portant, robe, pantalon, chemise bigarré, des escarpins aux bottines, en passant par de lourdes bottes. Il peut passer des heures devant un miroir à essayer de se maquiller pour ressembler à Elisabeth, comme il finit toujours par pleurer, son mascara coule sans cesse sur ces cernes prononcés, ses joues sont toujours rouges de blush. Une moue triste sillonne son visage marqué par le temps et la vieillesse. Des rides se forment aux coins de ses yeux, aux plis de ses lèvres, son front est marqué de tâches brunes qui se mélangent à ses tâches de rousseur. Depuis que sa femme est morte, il laisse pousser ses cheveux, cela va faire plus de dix sept ans qu’il ne s’en occupe plus, ils bouclent, ondulent, rebiquent et lui arrive presque au niveau du genou. Sa fille Columbia les lui coiffe et lui coupe un peu parfois, quand elle à le temps et il la remercie en souriant. De taille moyenne, fin, voir squelettique, il ne prend pas soin de lui, oubliant parfois de manger pendant plusieurs jours. Ses ongles sont toujours vernis, parfois s’émiettant pour lui donner un aspect un peu crado. En hommage à sa femme, il porte toujours sa paire de boucle d’oreilles en or et elles tintent dans le vent avec un joli bruit.
Écoutez mon Histoire


Columbus Swansonn 964325signature

Ma pauvre muse, hélas ! qu’as-tu donc ce matin ?
Tes yeux creux sont peuplés de visions nocturnes,
Et je vois tour à tour réfléchis sur ton teint
La folie et l’horreur, froides et taciturnes.

Le succube verdâtre et le rose lutin
T’ont-ils versé la peur et l’amour de leurs urnes ?
Le cauchemar, d’un poing despotique et mutin,
T’a-t-il noyée au fond d’un fabuleux Minturnes ? *

Ma main tremble, je n’arrive plus à écrire, ma plume gratte contre le papier, l’encre s’assèche, goutte peu à peu alors que ton sang s’écoule le long de ton poignet. C’est étrange comme ta peau est si blanche, c’est la première fois que je le remarque autant. J’entends tes os qui se craquent, tes yeux vides me brûlent, mais je ne peux plus rien pour toi, je peux juste pleurer, pleurer et attendre.
Combien de temps vont-ils mettre avant de venir la sauver ? Combien de minutes qui vont sembler des heures, combien d’heures aussi longues que des années. J’ai vieillis dés l’instant où tu as choisis de me quitter. Je ne peux rien faire d’autre que d’écrire, écrire et attendre qu’on vienne, qu’on vienne te retirer ce que j’ai plus cher sur cette terre après ton sourire, qu’on retire de ton corps froid ce petit être dont je suis une moitié.

Elle est là, je l’entends, ils sont arrivés à temps, je lâche ma plume, tout est rouge et elle crie, elle crie comme si elle t’en voulait. Dire que tu l’as laissé là, seule, dans le noir, dans le froid, pendant de si longues minutes. Elle est si petite cette pauvre enfant, elle est si petite. Elle tient à peine dans mes bras, ses cheveux sont aussi blonds que les tiens, ses yeux aussi. Rien en elle ne me ressemble, mais je n’ai pas besoin de voir mon propre reflet. Je veux juste pouvoir te regarder et me dire que tu vas bien, qu’elle va bien.

Te souviens-tu Elisabeth, de nos tendres années ? De ce poème que j’avais glissé sous ta porte. Je suis sûr que tu t’en souviens.

Aujourd’hui l’espace est splendide !
Sans mors, sans éperons, sans bride,
Partons à cheval sur le vin
Pour un ciel féerique et divin !

Comme deux anges que torture
Une implacable calenture,
Dans le bleu cristal du matin
Suivons le mirage lointain !

Mollement balancés sur l’aile
Du tourbillon intelligent,
Dans un délire parallèle,

Ma sœur, côte à côte nageant,
Nous fuirons sans repos ni trêves
Vers le paradis de mes rêves ! *

Je n’étais qu’un poète raté, un écrivain miséreux qui t’observait de loin. Tu étais la plus belle d’entre toutes, tu riais tout le temps, accordant chaque minute de ton temps à tous ceux qui voulait te parler. Je savais où te trouver, à chaque instant, je savais ta passion certaine pour les grandes créatures du ciel, ta fascination pour les livres. De longues années sont passées sans que je n’ose t’approcher, tu marchais dans ta jolie robe à rayure sur les quais du port d’Argentelam, les pêcheurs te saluaient et tu leur riais, un rire qui s’envolait dans les nuages. Tu savais te mettre en colère quand certains allait trop loin, tu rabattais leur caquet avec des piques bien pensé. Tu étais si parfaite, et moi, je me cachais dans l’ombre, misérable. J’ai glissé ces quelques vers sous la porte de ta maison, juste dans un espoir un peu fou.
Le lendemain, tu as posé les yeux sur moi et tu m’as salué, un sourire en coin dont je me souviens encore aujourd’hui, un sourire taquin, le menton relevé, fière et pimpante. J’ai trébuché, je suis tombé, je n’en suis pas revenu.
Tu es venu me parler, j’ai balbutié, nous avons apprit à nous connaître, lentement, tu es venu chez moi, tu as soupiré devant tout le bazar et la crasse qui y régnait, je n’ai jamais vraiment su m’occuper de moi même. Mais tu as relevé tes manches et tu t’es occupé de moi, tu m’as dis d’écrire, d’écrire tout ce qui me passait par la tête, que tu aimais mes mots, que mit bout à bout, il te faisait rêver. Tu rêvais de voyage, d’aventures épiques, de dragonniers, de quitter ce petit port de pêche qui puait le poisson. Tu as emménagé dans ma maison, pour t’occuper de moi, de nous. Je t’ai aimé, dés l’instant où tes pupilles se sont posées sur moi. Je t’ai aimé, même quand tu as décidé de suivre ce dragon, Manushya-Rakshasi.

Il est arrivé dans ta vie comme ça, par une nuit sans lune, il a fondu sur toi pour t’emmener loin. Loin de moi. J’ai pleuré, impuissant face à cette créature. Que pouvais-je faire ? Que devais-je faire ? Alors j’ai continué d’écrire comme le lâche que j’étais, j’ai écris pour toi qui était disparue, chaque jour je t’ai écris une lettre, je me suis perdu dans mes propres mots. Et brusquement, tu es revenu, changé, forte et combattante, le regard décidé. Tu étais encore plus belle, tu étais mon soleil, mon étoile dans la nuit. Tu voulais devenir dragonnière, tu voulais partir encore, voir le monde, découvrir chaque parcelle de terre. Alors tu as passé l’alliance, Lindorm t’ouvrait grand ses portes, à condition de réussir. Tu étais jeune, tu étais forte, alors je t’ai encouragé du mieux que j’ai pu. Je t’ai regardé du balcon de la maison t’entraîner. Tu remontais ta robe et tu roulais dans l’herbe en hurlant, je riais et le vent soufflait. Tu voulais être libre, libre comme le vent, tu voulais être la meilleure, la plus forte, qu’on s’incline devant ta force, tu étais faite pour ça.
Nous nous sommes mariés juste avant l’épreuve, tu es partie le lendemain et j’ai attendu ton retour. Tu as échoué, une fois, deux fois. La troisième a été de trop. On t’a retiré ton droit de voir, d’être avec Manushya-Rakshasi. On t’a retiré ton cœur, on t’a retiré ton âme et tu as commencé à dépérir. Tu restais là, les yeux perdu dans le vague, ton ventre s’arrondissait, mais tout ce que tu étais avait été entièrement dévasté. Tu as continué de t’occuper de moi, mais ton souffle n’était plus le même, tes baisers étaient froid, tes rires creux, ton âme était déjà ailleurs, à danser dans les vents galopant d’Aéria.
Tu n’as plus supporté la vie, ta vie, notre vie, celle qui grandissait dans ton ventre. Quelques semaines avant le terme tu as fais le grand saut. Tu étais si belle, allongé dans la baignoire, le sang gouttant sur le sol blanc. Tu étais si belle, tes cheveux bouclés autour de ton visage de porcelaine.

Columbia est arrivée dans ma vie, elle était toute petite, si petite, sans maman, sans véritable père pour s’occuper d’elle. Tout au fond de moi, il y avait cette colère qui grandissait, mes mots sont devenus implacables, pour ensuite devenir des manifestes. J’ai fais ce que j’ai pu pour élever Columbia, j’ai parfois oublié de la nourrir, oublier de la changer, oublier de l’entendre pleurer, mais elle a grandit si vite. J’ai jeter ma rage dans des poèmes contre Limlug, j’ai placardé ma haine contre ce système qui t’avait arraché à moi, qui t’avait fait fané comme une fleur qu’on avait coupé trop tôt, j’ai passé des jours dans les geôles pour diffamation et c’est une fillette d’à peine six ans qui venait me chercher au poste. J’ai été un père navrant, pathétique.

J’ai pleuré ta disparition, j’ai pleuré ta mort, comme une déchirure dans mon cœur qui ne se refermerait jamais. J’ai hurlé des nuits entières pour que tu reviennes. Devant le miroir ma main tremblait en posant ton rouge à lèvre sur ma bouche, j’ai enfilé tes robes pour sentir ton odeur, pour être un peu avec toi, pour vivre à travers toi. Je suis sorti comme ça, sans honte, fardé de tes produits, pour sauvegarder ton image, pour préserver ton existence autant que je le pouvais. J’ai pleuré, j’ai hurlé et Columbia finissait inlassablement par me retrouver pour me ramener à la maison. C’est une brave petite, elle à soigner mes plaies que je m’infligeais aux poignets, ses coupures honteuses qui me rappelait que je devais rester vivant, elle ne parlait pas mais son regard, ton regard me scrutait.

Puis j’ai sombré dans la folie, elle m’a été retiré, encore une fois j’ai perdu tout ce qui m’étais cher. J’ai erré, continuant inlassablement d’écrire, finissant par dépérir à mon tour. Columbia était partie, comme ça, du jour au lendemain.

Je suis monté tout en haut de la colline, à l’arbre qui surplombait la lande. Le vent à soufflé, porté par des embruns marin, j’ai passé la corde autour de mon cou, rongé par une haine qui me consumait, par une tristesse dévastatrice, tout était trop lourd pour les frêles épaules que j’avais. Mes pieds ont tressauté dans le vide, ma nuque à craqué et je me suis balancé au bout de cette corde, pendant de longues secondes. Un souffle d’air chaud m’a fait ouvrir les yeux, tu étais là, immense, implacable, la gueule remplie de sang, des crocs plus gros que ma propre tête, tes ailes déchiquetées s’étendaient par delà la lande. La corde s’est rompue et mon cœur s’est mit à battre si fort. Je t’ai reconnu, immédiatement.
Tu étais revenu, tu étais là, sous mes yeux, tu étais devenu ce que tu admirais le plus, ton âme de Sang Dragon à travers les siècles et les années à trouver sa place juste ici. Mon cœur s’est mit à tambouriner dans ma poitrine, je t’ai enlacé, j’étais si minuscule à tes côtés mais peu importe, nous nous sommes envolés, nous avons rejoins le ciel d’Aéria, libre comme le vent. Personne ne nous a arrêtés, rien ne nous a arrêtés. Nous avons mêlé nos sangs, crachant sur Limlug, brûlant d’une haine sur des lois égoïstes et ancestrales. Nous avons été plus fort que jamais, j’entendais ta voix dans ma tête et nous avons parcourut le monde, fuyant ceux qui nous traquait, tuant sans la moindre hésitation ceux qui le méritait. Beaucoup ont péri sous tes crocs, sous ma lame que tu m’as appris à manier. Nous avons perdu confiance en la race humaine, nous avons haït de tout notre être ces dragons qui acceptaient les alliances faites dans la douleur et non dans un amour partagé.

Nous l’avons cherché, notre fille chérie. Nous l’avons trouvé, nous l’avons rejoins, nous l’avons aimé, nous avons grandit dans ce nouveau clan, nous avons combattu, ensemble, comme la famille que nous étions. Chacun côte à côte. Peu importe si personne ne comprend, peu importe car nous allons un jour tous disparaitre, nous mourrons, mais peu importe, car nous reviendrons, plus fort que jamais. Nous reviendrons, toujours, nous sommes des Sang Dragons, nous sommes une famille et nous tuerons tous ceux qui nous veulent du mal, tous ceux qui protègent ces lois insensées et hermétiques. Nous tuerons tous ceux qui lui veule du mal, à notre fille chérie, nous la protégerons, d’elle même si il le faut.

Je ne serais pas un père exemplaire, je ne serais pas un écrivain de génie, ni même un mari à la hauteur, mais jusqu’au bout je me battrais, pour faire payer le prix du sang par le sang. Jusqu’au bout, mes mots et ma lame graveront dans la chair, en toute lettre : Nous sommes des Sang Dragons, peu importe si nous mourrons, nous reviendrons et nous vous tuerons, encore et encore.

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
Par delà le soleil, par delà les éthers,
Par delà les confins des sphères étoilées,

Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ;
Va te purifier dans l’air supérieur,
Et bois, comme une pure et divine liqueur,
Le feu clair qui remplit les espaces limpides.

Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse
S’élancer vers les champs lumineux et sereins ;

Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
- Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes ! *

*Charles Baudelaire – Les Fleurs du Mal

Et Vous ?
Pseudo Internet : Est-ce vraiment la peine de le dire encore une fois ?
Comment avez-vous connu Lindorm ? On en parles ou pas…
Le Code : Validé.



Dernière édition par Columbus Swansonn le Jeu 5 Fév - 14:07, édité 6 fois
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Wyrm Aile Ecarlate
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Message Columbus Swansonn I_icon_minitimeMer 4 Fév - 11:45


Stoorworm
"La haine engendre la haine"
Nom : Stoorworm
Surnom : Storm - Elisabeth - Eli
Âge : 17 ans
Type : Air
Don qu'il vous a légué : Impulsion – De l’air se compresse sous ses pieds, permettant à Colombus de bondir en l’air et de faire des sauts impressionnants, il peut enchaîner les sauts et cabrioles avec une facilité déconcertante. Depuis quelques années il arrive à créer une déflagration d’air quand il bondit ou à son atterrissage qui créer une onde de choc propulsant tout ce qui se trouve autour de lui.
Nation d'origine : Aéria
Sa Description
Sans rire, Stoorworm fait bien presque vingt mètre d’envergure. C’est une dragonne implacable, d’un blanc sale dont chaque angle du corps se finit en pointe. Sa tête aplatie soutient deux immenses cornes vers l’arrière et ses minuscules yeux dorés sont proche de sa gueule remplit de crocs acérés. Son corps est immense, lisse, sans écaille ni plume, mais comme une peau presque humaine, distendue, craquant par endroit, surtout les ailes. Sa colonne vertébrale osseuse, court sur son sur son dos, crevant sa peau pour laisser les os à vif. La chair de son ventre, son cœur, ses veines transparaissent à travers une peau presque translucide ce qui lui donne un aspect terrifiant. Étrangement, à cet endroit la peau est solide comme du métal et prés peu d’arme peuvent crever sa peau. Sa queue remplient de pointe peut s’abattre dans un fracas et dévaster à elle seul des forêts entières.
En vérité, Stoorworm se nomme Elisabeth, elle porte en elle l’âme de la défunte femme de Columbus. Ne supportant pas d’avoir été séparé de son dragon de l’époque, qui est aujourd’hui celui de sa fille Columbia, elle s’est donné la mort pour revenir plus forte que jamais, et prendre sa vengeance sur ceux qui l’ont fait souffrir et briser ses rêves. Elle aime profondément son mari et veille comme elle peut sur sa sécurité, n’hésitant pas à déchirer la chair pour le protéger. Avec lui, elle est douce, aimante et compréhensive, alors qu’elle se montre impitoyable dans les combats, soulevés par une haine féroce et une colère sourde. Elle ne retient jamais les gestes de son époux, le supportant dans tout ce qu’il entreprenant, le poussant encore à écrire tout ce qu’il souhaite.
Mère de Columbia, elle veille aussi sur elle, s’en voulant de ne pas avoir eu le courage d’assumer sa naissance et lui avoir infligé une telle enfance. Douce avec elle, elle n’hésite pas à le recouvrir de ses grandes ailes pour la garder auprès d’elle.
Dévoué à sa famille, elle est prête à se sacrifier pour eux et supporte une cause qu’elle juge juste. Elle veut faire changer les choses, que chacun soit libre de s’unir à dragon sans avoir la peur de l’échec, prônant parfois la suprématie des dragons sur les êtres humains.



Dernière édition par Columbus Swansonn le Jeu 5 Fév - 11:58, édité 3 fois
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AnonymousInvité
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Message Columbus Swansonn I_icon_minitimeMer 4 Fév - 11:57

Mon papouuuu dépressiiifff! ♥
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Wyrm Progressiste
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+ Âge du Personnage : 23 ans
+ Poste occupé : Espion wyrm
+ Nom du dragon : Sage
+ Type de Dragon : Eau
+ Le Don légué : colère de Poséidon
+ Inventaire : 1 pendentif contenant une larme de dragon

1 flacon de "mémoire parasitée"

Ryan Shrewsbury
Ryan Shrewsbury
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Message Columbus Swansonn I_icon_minitimeMer 4 Fév - 12:54

Rerererere bienvenue XD J'ai hâte de voir ce perso à l’œuvre huhuhuhu
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Wyrm Aile Ecarlate
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+ Le Don légué : Impulsion
Columbus Swansonn
Columbus Swansonn
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Message Columbus Swansonn I_icon_minitimeJeu 5 Fév - 12:07

Terminé !

=)
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Lucem
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+ Messages : 1334
+ Orbes + Orbes : 646
+ Âge du Personnage : 18 ans.
+ Année : 1ère
+ Poste occupé : Déléguée Lucem.
+ Nom du dragon : Trismegistus.
+ Type de Dragon : Lumière
+ Le Don légué : Forme photonique.
Estefania Quinto
Estefania Quinto
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Message Columbus Swansonn I_icon_minitimeJeu 5 Fév - 17:27

Une fiche super touchante! Je te valide avec plaisir! Tu as toujours une aussi belle plume!

Vous êtes Validé !
Félicitations, vous obtenez 100 orbes !

En tant que nouveau venu, pensez à remplir vos champs de profil (sous votre avatar). Vous pouvez dès à présent aller créer vos liens ici, votre répertoire de sujets ici et voir nos demandes de RP ici si jamais vous n'osez pas vous lancer seul. Et n'oubliez pas de recenser votre avatar sur ce sujet : Recensement des Avatars, et celui de votre dragon sur celui-ci : Dragons et Dons répertoriés.

Vous êtes également vivement invité dans le flood ! Vous verrez, nous ne mordons que sur demande.

Amusez-vous bien parmi nous !
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Ignis
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+ Âge du Personnage : 22
+ Année : 1ère
+ Nom du dragon : Datgar
+ Type de Dragon : Feu
Eleanor Desper
Eleanor Desper
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Message Columbus Swansonn I_icon_minitimeJeu 5 Fév - 20:51

Sois le bienvenu parmi nous
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