Prénom & Nom : Arthur McCallan.
Fonction : 4 ème Année chez les Fulgere.
Dragon : Tanaris - Dragon de Foudre - Casse-pieds Chanteur du Dimanche.

Arme :
- Sabre type "Sabre d'Abordage". Il a été forgé par Arthur, et est donc le plus adapté à sa façon de tenir, ayant été complètement personnalisé.
Que se soit en présentant sur sa coquille de protection une représentant de Tanaris, ou encore, le blason des McCallan incrusté à la base de la lame. Le poids du pommeau a aussi été ajusté à l'utilisation propre et personnelle d'Arthur.

Inventaire : /

Évolutions : Rien n'aurait dû changer...Je pensais que tout allait rester immuable au sein de ma famille : en tord.
Tout a commencé lorsque Douglas, mon frère aîné, vain à faire parvenir du courrier à notre sœur : Jordanne. A partir de ce moment, tout a dégénéré.
Les sentiments que je gardais enfermé en moi, tapis car immoral, n'ont fait que resurgir plus violemment encore. Au final, Jordanne et moi avons commis ce que nous pensions être l'irréparable : nous nous sommes avoué notre amour. Non pas celui fraternel, mais celui entre un homme et une femme. L'Amour avec un A majuscule.
Le temps a passé, et je jonglais entre le village de Dali, et la forge de Sir Milos à Laragon. Je travaillais et renforçait ainsi mes compétences de forgeron. Et puis, un jour où je me rendais à Bianca pour vendre des armes et armures travaillaient par mon père et moi : il a débarqué. On a perdu un cheval dans l'histoire...Vu que bon, je me suis retrouvé seul dans mon chariot avec une boule d'écailles dôté d'un fichu caractère : Tanaris.

Un dragon de foudre, relativement jeune. Il n'a qu'une petite vingtaine d'année, et c'est un véritable casse-pieds. Un chien fou je dirais même. Et au passage, un froussard lorsqu'on en vient à parler de souris. Oui, il a peur des souris, mais c'est un sujet tabou avec lui...Tout comme le fait qu'il doit apprendre à innover ce qui est son panel de chansons à boire. Car Monsieur aime pousser la chansonnette.
Nous nous sommes rendu à Dali...Je ne comprenais pas pourquoi j'étais le premier McCallan a ne pas être choisi par un Dragon de Feu. Les explications arrivèrent, avec un prémisse de déchirement. Je n'étais pas leur fils par le sang, mais celui de l'ancienne famille gouvernante du Narthan. Mon monde s'écroulait, et je n'ai put tenir ma langue sur la liaison que Jordanne et moi nous entretenions.

J'ai passé mon alliance avec Tanaris, en plein Lostrego. J'ai cru qu'on allait y rester face à ce Dragon sauvage, mais on s'en ai sorti et notre alliance fut un succès. J'ai rejoint et intégré l'académie Lindorm. J'ai ainsi put apprendre, à celle que je pouvais désormais voir comme étant ma femme sans le moindre remord, que je n'étais nullement son frère de sang. Nous pouvions nous aimer sans nous cacher.
Les cours passèrent, et je travaillais chez Milos les week-end grâce à un accord du Directeur Fletcher. Et puis Aloysius, le concierge, m'avait proposé de chercher à travailler une nouvelle matière. La mue de certains dragons, voilà ce que j'ai cherché à travailler durant quelques années. A l'heure actuelle, avec Milos, nous avons plus ou moins réussis à travailler cette matière en armure. Mais pas encore au-delà...Et depuis un an, je n'ai plus réellement eu le temps d'y penser.

Il y a un an et demi, Père et Mère ont enfin annoncer le fait qu'ils m'avaient adopté. Je les y ai contraint, car je comptais demander Jordanne en mariage. Ma demande fut accepté, et j'ai laissé mes compagnons de l'académie se charger de mon enterrement de vie de jeune garçon.
Mon mariage avec celle que tous avait connu comme ma sœur fit grand bruit à Dali, mais fut accepté grâce à la vérité partiellement révélé.
Malgré la guerre tonitruante, j'étais heureux. Je pouvais vivre mon amour, avec celle que j'aimais. Mais à peine 6 mois plus tard, le drame eut lieu.

La mort de mes parents adoptifs et de Bahamut, le dragon de mon père, vint à nous secouer. C'était aussi notre première retrouvailles, à Jordanne et moi, avec notre aîné : Douglas.
Cette perte nous secoua, et depuis ce jour, je dois dire que les temps sont rudes. Ma femme et moi ne pouvons pas réellement pardonner aux Wyrms la perte des nôtres. Et les paroles de Douglas, je ne peux pas les oublier...Ni même la peine et la mort qui nous a entouré.
J'ai pris en charge les funérailles de nos proches, avant de retourner à Lindorm avec Jo', Ifrit et Tanaris. Le simple fait de me tenir dans la forge ravivait pour moi les souvenirs de mon père, d'Aaron, et le sentiment de perte.

Je voulais paraître fort, je veux toujours le paraître, alors...Je tais ma douleur. Mais je travaillais chez Milos uniquement pendant les vacances après ça...n'ayant pas encore la force d'assumer le reste du temps. Je me surprend encore à avoir du mal à porter mon deuil dans un lieu ravivant de forts souvenirs...Même si je le cache le plus possible.
J'observe l'évolution de la guerre, tout en veillant sur celle que j'aime. Je la perdrais de vu à la fin de l'année, c'est ce que je crains le plus : son année en escadron une fois diplômée. J'ose espérer que les choses iront en s'améliorant, mais je ne peux qu'en rêver. En attendant, la guerre est plus proche que jamais, et je ne peux que travailler d'avantages à l'Académie afin de survivre, et d'être utile.