✘ Nom : ///
✘ Prénom : Dilcia
✘ Surnom : Ili, Cici, Didi, Cia, Dili
✘ Âge : 9 ans
✘ Groupe : Wyrm Isolationniste
✘ Nation d'origine : Aeria
✘ Métier : Fille adoptive à plein temps.
✘ Arme : ////

Dilcia… C’est une enfant un peu trop mature. Une enfant qui a du mal à exprimer ce qu’elle ressent. C’est une enfant qui a peur… Peur que son passé resurgisse, que son avenir soit tâché des fantômes qu’elle a laissés derrière elle.
Dilcia elle est peu bavarde. Elle préfère se taire pour ne pas contrarier, pour ne pas mettre en colère. Elle est docile la petite blondinette. Elle est une poupée… 



Dilcia a des yeux en ont trop vu. Son jeune corps en a trop connu pour son jeune âge et sa maturité la pousse à réfléchir avant de faire quoi que ce soit. Elle observe et apprend, elle se tient là, toujours aux aguets. Elle a peur.

Dilcia est pourtant fidèle. Elle accorde peu sa confiance, pourtant, une fois acquise, cette dernière l’est à jamais. Attention à ne pas la bafouer… Il se pourrait que la petite fille se montre un poil plus manipulatrice que prévu. 



Car Dilcia n’est pas sortie indemne de tout ceci. Très discrète et timide, elle se joue du monde sous ses airs de petit ange, si elle se sent trahie, elle manipulera pour se venger. 
Peut être même se montrera-t-elle un peu plus autoritaire… 



Tout ceci de l’empêche pas d’être une petite fille. Elle aime les dragons et leurs mystères, elle aime les sucreries et n’aime pas les saveurs amères. Elle aime sentir le soleil sur sa peau et déteste le froid. 

Dilcia aime la chaleur douce et humaine. Il n’est pas rare de la voire lovée dans les bras de quelqu’un. Il est aussi fréquent de la voir contempler le ciel étoilé.



Cependant, elle a peur des cauchemars et par conséquent de dormir… Elle dort peu et souvent par épuisement…




Malgré son âge Dilcia est une petite fille très intelligente ayant appris à parler plusieurs langues, suivant les lubies de Sandoval, elle parle les langues Aerienne et Lostreg. Elle a, cependant, encore du mal avec la langue continentale



Physiquement ? Elle a tout d’un ange… 

De petite taille elle est encore en pleine croissance et gagne en grâce un peu plus chaque jour. Fluette, c’est un poids plume. 

Elle a la peau blanche et laiteuse. On ne note aucune imperfection, si ce n’est une tâche de naissance légèrement marron sur le ventre. 

Encore jeune on peut noter l’absence de poitrine et de formes.



Son visage est ovale. Paré de deux grande yeux couleur rubis et or sont limpides, on y lit tout se qu’elle ressent comme dans un livre ouvert. Son nez est retroussé et ses fines lèvres rosées sont toujours parées d’un sourire presque forcé. 

Son visage est encadré d’une magnifique chevelure couleur d’or, brillant au soleil. Ses cheveux mi -long sont toujours coiffés en couettes et ornés de rubans.

Outre ses yeux, son visage est relativement inexpressif, souvent paré d’un air désabusé, voir même blasé par la situation. 

Cependant, depuis peu, elle a commencé à sourire. Elle a commencé à redevenir ce petit ange plein de joie… ou presque. Ayant du mal a exprimer ses sentiments, ses pommettes sont souvent teintées de rose ou de rouge. 



En somme : Dilcia est une poupée parfaite. 



Habillées de robe elle a du mal à supporter d’autres vêtements, tels que les pantalons.
On peut cependant compter un signe particulier, en effet Dilcia possède le chiffre romain ‘’III’’ tatoué sur le haut du buste.


Dilcia…
Elle a encore du mal à répondre à ce nom. Trop Habituée à répondre au mot Tre, Un mot pour une poupée. Pas un nom, non, un Chiffre, un mot pour un Objet… Elle a elle même du mal à se penser humaine.

Pourtant, Dilcia a un coeur qui bat. Pourtant elle pense… 



Elle est née dans la maison de Sandoval. Ce théâtre d’horreur silencieuse. Muette comme elle peut l’être parfois. On y entendait des soupirs, des murmures. Des rires… On y entendait des secrets éhontés… des pêchés inavouables. 

Sa mère avait 14 ans quand ses cris déchirant traversaient la bâtisse de marbre. Tous savaient… Ils savaient que cette enfant à naître serait un enfant parmi tant d’autre. Qu’elle ne serait pas la première, mais pas la dernière non plus. Peut être. Qui sait… 



Le déchirement d’une mère fut remplacé par les pleurs d’un bébé. Une petite fille qu’elle ne tiendrait pas dans ses bras. Une petite fille qu’elle ne regarderait pas. Une petite fille qu’elle ne nommerait pas non plus. Non car Dilcia ne connaitrais jamais sa mère. Elle fut revendue quelques jours après sa naissance. Elle qui était trop vieille pour rester dans cette demeure, la voilà cédant sa place à un bébé. La fille de Sandoval. 

Macabre secret du maître. 



Ce bébé souriant fut élevé par Quattro. Par celle que Dilcia considère comme sa mère. Une mère douce, une mère tendre. Une maman pour la prendre dans ses bras quand elle faisait un cauchemar, une mère pour la relever quand elle tombait… Une mère pour lui apporter amour et protection.



Et pourtant, elle n’était protégée de rien… Non.

Dilcia fut éduquée en parfaite poupée, très jeune. Elle devait rester assise pendant des, heures le temps que son maître l’habille de robe de soieries légères et brodées. Le temps qu’il coiffe sa chevelure de blé. Elle ne pouvait rien dire, elle n’était qu’un objet. Il jouait avec elle. Lui lisant des histoires. Servant le thé. Il lui apprenait à bien se comporter en société, à être toujours polie. Et elle l’écoutait, elle buvait les parole de ce berger qui guide son agneau.



Elle était sa chose. Elle était la troisième, sa poupée au teint de porcelaine. Au début elle s’amusait de ses sourires de charme, elle aimait la situation : Habillée, coiffée, gâtée. Il était attentionné. 

Puis Quattro est partie… Sa mère la quittait et Tre était perdu. Sans point de repère… Elle qui dans ses jeunes années se sentait inébranlable. Elle perdit vite son si jolie sourire.



D’Alice et son chapelier, elle devenait le petit chaperon rouge et lui le loup. Quand elle fut assez âgée il se montra plus entreprenant. Les gestes tendres et affectueux devinrent caresses. Il l’habillait pour la dévêtir ensuite. Il lui susurrait à l’oreille des mots qu’elle n’aurais jamais du entendre à son âge.

Tre, ses Sourires se muèrent en larmes. Ses secrets se muèrent en soupirs hurlants. La vie confortable devint un calvaire habituel. Elle ne connaissait que ça. Il la sortait dans les jardin, vantant son avance et sa beauté. Il la montrait comme un objet, prétextant sa docilité sans faille. Mais Tre avait peur, elle avait peur de la suite. De ce qu’il ferait dans ses jeux malsains.

Tre a du grandir. Elle a du grandir vite et apprendre à se terrer pour survivre.



Elle n’était pas la première, elle n’était pas la seconde. Elle était la troisième. 



Combien de temps a duré cette vie ? Ce quotidien mêlé entre douceur et douleur, entre instant de doux et instant sauvage. Combien de temps a-t-il continué à l’éduquer ainsi ? A lui apprendre à lire, à écrire, à être polie. Il l’habillait, la coiffait chaque jour, elle l’accompagnait prendre le thé. Et elle se taisait du haut de ses huit ans. Encore trop jeune pour comprendre quoi que ce soit. 



Il lui fit finalement tatouer le chiffre trois… Au dessus de sa poitrine encore plate… Encore une souffrance muette qui lui donnait la nausée. Qui désabusait un peu plus son visage…



Puis vint le moment ou il lui confia la gestion du Lotos… Une fillette si jeune. Elle livrait les paquet dans la ville, toujours accompagné cela dit. Et elle se taisait. Et elle ne montrait rien. Car elle était une poupée, une poupée ne bouge pas, une poupée ne ressent pas.



Puis il y a eu ce soir là… Ce soir où elle a revu Quattro. Pauvre enfant… Elle avait entrevu dans ce retour, une liberté fugace. Une vérité tout aussi éhontée que sa naissance. Elle avait cherché Quattro dans cette grande demeure. Elle lui avait montré l’objet de ses recherches. Elle avait voulu l’aider. Partir pour vivre a ses côtés…

Tout était allé très vite, trop vite même… Il y avait eu les recommandations de sa mère d’adoption. Il y avait eu la douceur de Venecia et l’air bizarre de Zachary. Il y avait eu ces dragons et cette bouffée d’oxygène… 



Ce soir là elle était devenue libre. 

Aujourd’hui, elle vit loin de tout ça. Pourtant, les fantômes, les cauchemars la hantent encore et elle agit toujours ainsi… En poupée. Tre n’était plus. Elle se nommait Dilcia… une Dilcia hantée par les fantôme d’un court passé.

✘ Pseudo Internet : Neite
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? La question ne se pose plus je crois…
✘ Le Code : Validé.

✘ Nom : Cian
✘ Surnom : Cilou
✘ Âge : Quelques semaines
✘ Type : Végétal
✘ Don qu'il vous a légué : ///
✘ Nation d'origine : Terreclaire

Cian est à l’image de Dilcia : Un enfant. C’est en effet un dragon de quelques semaines. Abandonné par sa mère en Terreclaire à vrai dire il était a peine sorti de l'oeuf quand le groupe est tombé dessus. 

Il est serpentique, munie de 4 pattes, et d’une museau retroussé. Sa petite queue est en forme de feuille. Ses écailles sont d’un joli vert pomme, parfois jaune et ses yeux sont fendus et rouges.



Cependant, son caractère est déjà bien prouvé. Capricieux, paresseux, légèrement vaniteux. Le petit dragon n’en reste pas moins attachant. Il est câlin et déteste la solitude. Il a une peur viscérale de l’abandon. 

Il adore voir Dilcia sourire et pour ça il est prêt à tout, même à mettre son égo de côté pour faire le pitre.



Il se sent encore tout petit face aux autres dragons et se montre même timide, allant jusqu’à se cacher dans les bras de sa compagne quand ce n’est pas dans ses jambes. Il est vite intimidé par les différence d’âges, de poids et tailles, et n’ose pas vraiment dire ou faire quoi que ce soit. 

Encore jeune il ne sait pas parler, et s’exprime en signes et gazouillements.