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Cette odeur d'épice.

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Wyrm Progressiste
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Kaïs At-Fila
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Message Cette odeur d'épice. I_icon_minitimeMer 4 Fév - 0:01

- Quand je rentre, je vais boire un verre. Et toi ?
- Pareil. Ca va faire du bien. Et vous capitaine ?
- Moi. J’ai bien plus intéressant chez moi. Désolé.

Et ils murmurent, les messes basses, se que c’est chiant, vraiment. A force ils devraient le savoir non ? Ils ont pas dans la jugeote de se dire que j’ai toujours mieux à faire une fois de retour de mission ?
J’ai ce besoin criant de retrouver mes repère. Mes habitudes. Mon lit et surtout ma bouillotte humaine. Pauvre petit.

La soirée était annoncer, l’astre solaire au déclin alors que nous rentrions tous sur le dos du plus grand dragons de l’équipe. Il avait fallu faire le tour des ports Wyrm pour voir si les organisations étaient bonnes. Ca faisait 4 mois… 4 mois que je n’avais pas été chez moi plus d’un mois. Quelques semaines. Quand ce n’était pas jours. Ca commençait à faire long et la fatigue mental commençait à se faire sentir.
Bref. Le Dragon nous posait finalement à Sélébor. Là je m’étirais de tout mon long, regardant ma dragonne, cette vieille chouette, avec un regard amusé.

- Quoi ?
- Oh rien, je me dis juste que tu vas recommencer a devenir chiante.
- Je ne suis jamais chiante. Sale humain.
- Arrête de ronchonner Sanka’. On est a la maison.
- Il est là le problème.
- Tss.

Oui… Non… On ne peut pas dire que ma compagne de lien porte véritablement mon compagnon dans son coeur. C’est plutôt même le contraire… Car il est ma force… Mon garde fou. Je suis au courant. Je connais mon état. Ce qu’elle me fait et pourtant, je ne peux m’empêcher d’aimer cette mégère.
J’avais cru comprendre qu’en ce moment Kamuzu était à Bethleas. Montant donc sur le dos de ma dragonne nous partions pour le port.

Après quelque temps de course, des heures pour moi elle me déposait finalement devant la porte avant de partir se noyer dans les ombres. Elle n’aime vraiment pas cette maison et je ne pouvais pas lui en vouloir. Santa avait toujours été comme ça. Solitaire et farouche.
Voyant de la lumière j’entrais finalement aussi silencieusement que possible. Posant mon épaule contre l’encadrement de la porte pour l’observer sans un mot, pour pas dire reluquer. Qu’il finisse. A partir de maintenant nous avons tout notre temps, je ne repars pas de ci tôt. Cette odeur d'épice présente chez nous m'avait manqué...
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Wyrm Progressiste
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Kamuzu Sebak
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Message Cette odeur d'épice. I_icon_minitimeVen 6 Fév - 9:58

« Kamuzu. Ma magnificence réclame un massage ! »


Ne pas répondre. Sérieusement, ne rien dire. Inspirer. Expirer. Et l’ignorer. C’est un plan d’exception. Car le noyer dans le port, ça ferait mauvais genre. Et dans la réserve d’eau de pluie qui sert à nos besoins, ça serait aussi mauvais genre. Je devrais faire un travail de désintoxication sévère après.
La nuit n’allait pas tarder à tomber, et des torches gardées l’endroit éclairé. Dans un coin, sur un petit coussin de soie et de satin fait main en Khi’Saab, était installé tel un pacha mon dragon de poche. Il y avait une corbeille de fruits à côté, et il mangeait un grain de raisin par-ci, par-là, tel un grand seigneur.


« Kamuzu. Je t’ordonne de venir m’éventer. Un seigneur tel que moi ne devrait avoir à connaître l’étouffante chaleur de ce désert. Exécute-toi, vil manant ! Ou subit mon gourou. »

J’étais occupé à vérifier l’état d’un patient. Une amputation, dont je devais retirer les toxines potentielles. C’était le dernier jour à faire cela, car la cicatrisation était désormais parfaite. Il ne restait, pour lui, qu’à apprendre à vivre avec un bras en moins.
Il avait été amené tardivement au campement, avec pareille blessure. La seule solution que j’avais trouvé, pour que la gangrène ne se propage, ça avait été la plus cruelle. Lui donnant quelques mélanges de plantes, pour calmer les douleurs fantômes, je me retournais vers mon « singe » au moment où il allait reparler.


« TU LA FERMES APOPIS OU JE TE VIRE DE TON COUSSIN BORDEL DE MERDE ! »

Ma voix résonna dans toute l’infirmerie de fortune ! Oui, de fortune. A cette heure-ci, je faisais les dernières consultations chez moi. Et donc, j’avais aménagé une partie de ma, non, notre maison avec un lit, un paravent, divers baumes et autres ingrédients séchés servant de médicaments divers et variés. Ainsi qu’une armoire pleine de bandages, alcool pur, et divers « outils » que je gardais en état de perfection en cas de nécessité. Bon, on parlait là d’outils précis comme un fin scalpel…Mais aussi d’une scie. Pour les amputations justement.

Ayant terminé avec mon patient, il se faufila à la sortie. Mais je m’en fichais, je m’engueulais avec Apopis. Déjà que j’étais frustré…n’ayant put me vautrer dans mon lit conjugal fait de soieries, et de coussin, le tout sur un matelas moelleux à même le sol…Déjà que je n’avais pas put m’installer avec un livre, tel un pacha, pour savourer mes effusions épicés de narguilé. Là, il me gonflait le « Grand Seigneur »…


« T’en a pas marre de te vautrer espèce de lézard pourri ?
- Pardon ? Je suis un seigneur, un roi, un empereur même ! Tu dois me servir stupide deux pattes d’humain au cerveau atrophié ! Masse-moi maintenant, ou subit mon poison…
- Qui ne me fait rien triple buse d’abruti ! Alors, tu te calmes dans ton mode pacha : ou je te jure que je t’apprends le vol plané !
- Tu n’oserais po…IIIIIIIIIIIIIIIIIIINT !! SAAAAAAAAAALE TRAIIIIIIIIIITRE ! »


Lorsqu’il avait rouvert la gueule, son filé de bave dégoulinant de ce poison bien à lui, je m’étais tourné et j’avais lancé. Sa voix résonnant dans le camp avant qu’un « plotch » m’indique qu’il avait dut se manger un cocotier. Me frottant les mains, travail bien fait, j’activé mon don avant que le poison ne se répande de trop. Un réflexe. Mais surtout, je voyais la tête de qui j’avais faillit percuter, tout à mon action.

« Kais ? Depuis quand es-tu là ? » Demandais-je, haussant un sourcil parfaitement dessiné ayant passé du temps devant un petit miroir avec une pince pour se faire. Il faut souffrir pour être beau, voyons.

En tout cas, j’étais ravi de le voir. Un sourire se dessina sur mon visage, alors que je m’étais une bouilloire d’eau sur le feu. Ayant retiré le poison d’Apopis avant…le fourbe. M’installant dans le mélange de coussin, de tissu en soie, là où tout respirait la saveur de la Khi’Saab dans la décoration. Voilages, tapis, coussin, faisant partit de notre décoration. Secrétaire et table basse conçu pour s’installer allonger ou assis. Il n’y avait que le coin « infirmerie de secours »…qui n’était guère « Khi’Saab ». Mine de rien, on ne tait pas nos origines. Ni lui, ni moi. Car je reste fier d’être un Sebak.

La bouilloire sifflerait, et je savais que le don de Kais ferait qu’on n’aurait pas à se lever pour savourer notre thé. Nos ombres sont suffisantes ici…Avec les torches donnant cet effet tamisé. Mais j’invitais mon amant, mon homme, à me rejoindre. Vêtu d’un simple sarouel et d’un gilet…ma peau était brillante. Je l’entretien avec des huiles moi. Et oui, on est précieux ou on ne l’est point.


« On a du temps à rattraper, ne croyez-vous pas ? » Dis-je dans un rire taquin.
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Wyrm Progressiste
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Kaïs At-Fila
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Message Cette odeur d'épice. I_icon_minitimeDim 8 Fév - 2:05

J’aurais peut être du m’y attendre, mais quand je voyais le double décimètre installé en pacha et l’un de mes hommes dans le coté infirmerie de notre maison, j’eu un haut le coeur. Beaucoup me disent sans émotions, meurtrier, voir même fou, car je n’ai pas de remord, je ne ressent rien a tué un ennemie que je ne connais pas.
On me demande si je pense à la famille qu’il laisse derrière lui. Et je répond non. Car personnellement je pense à Kamuzu avant tout. Je pense a se qu’il serait capable de faire si je venais à mourir des mains de quelqu’un, des mains autres que les siennes, lui médecin. J’en viens à avoir peur de vivre sans lui… C’est maladif. Alors non, je n’ai pas de sentiment pour ceux qui passent sous ma lame.

Voyant le patient partir et entendant les éclat de voix j’eu bien fait de baisser la tête, évitant ainsi le lancé précis d’Apopis, qui, dans un bruit sourd avant du voir sa course se terminé contre un cocotier. M’échappait ainsi un sifflement alors que j’allais le félicité pour ce lancé franc et précis il me lançait une question qui me fit haussé un sourcil.

- Depuis quelque minutes seulement. T’as pas été prévenu de mon retour ? On a pourtant envoyé une missive…

Je devrais vérifier le courrier demain… Mais bon, c’est pas comme si j’avais grand chose a faire non plus. Les missions étant terminé pour moi et étant donné que je n’ai pas prit de repos depuis la fin de la guerre, je serais officiellement en ‘’vacance’’ demain soir. Entendez par là que je reste sur place. Après tout ça faisais 4 mois que je n’avais réussi qu’a rentré quelques jours et encore…

Bref. je le regardais faire. Souriant doucement alors que je posait Arme et Matériel à l’endroit approprié et retirant ma veste je m’étirais finalement alors de toucher son ombres du pied, pour qu’avec la mienne elles fassent se que je leur avais demandé : Du thé, de quoi manger et quelles me laisse profité de ce roi affalé tel un appel au viole sur mon lit, dans mes coussins.
Sourire carnassier aux lèvres je le regardais faire, avançant sur les tapis puis sur les coussin pour finalement m’assoir sur son ventre, caresser sa nuque avec douceur et capturer ses lèvres avant autant de tendresse que d’envie violente et animal. Une pulsion.

- Nous avons effectivement beaucoup de temps a rattrapé. Excusez moi d’avoir été autant absent docteur.

Je m’excuse ? Se qui prouve que fondamentalement, maintenant, je ne suis pas dans la plus grande forme du monde. Sanka’ a susurré à mon oreille bien des chose innommable et je dois avoué que j’ai cru perdre la tête plus d’une fois pendant mes semaines d’absences.
Alors, doux et sauvage à la fois, je descendais dans son cou, l’embrassant, le mordillant, laissant une jolie marque sur sa peau dorée par le soleil et nos origine Saabi.

Là, nos ombres nous emmené le thé et des fruits, saint, avant de retourner à l’état d’ombre, me faisait sourire alors que je m’installait finalement a coté de lui. Sortant une lettre, celle de Zaim, de ma poche.

- Je ne repars plus en mission longue, j’ai terminé, avec le retrait de MacCallan les Wyrm Progressiste ne savaient pas quoi faire… Un capitaine à été mis en poste dans chacun des endroits où l’on peu nous trouver. Pour assurer une bonne gestion. Je suis donc en vacance pour un petit moment. J’aurais juste des détails à régler demain.

Puis attrapant une tasse je lui tendais finalement la lettre. Je n’aime pas cette lettre, je n’aime pas le ton que mon petit frère ose employer avec moi…

- Je l’ai reçu ce matin. C’est Altaïr, le dragon d’Ejaz qui me l’a apporté…

Dis-je finalement en posant mon menton sur son épaule. Ma main libre caressant sa peau. J’ai besoin de se contact qui m’a tant manqué…
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Wyrm Progressiste
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Kamuzu Sebak
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Message Cette odeur d'épice. I_icon_minitimeLun 16 Fév - 15:48

Les fourbes. Ils savaient que si j’avais été avertit du retour de Kais, je me serais mis en mode « grève », et en mode « aller crever, je soigne personne aujourd’hui » ! Non car, vous voyez, à cause de ça : je ne suis pas parfait ! Le travail de ce matin, et celui d’hier jusqu’à tard…j’ai quelques petites pouces de poils au niveau des mollets que je voulais supprimer à coup de cire Saabi. Mais je n’en aurais pas le temps, mon homme est déjà là. Non mais vraiment, m’empêcher de prendre ma journée pour que je me fasse parfumé, beau, parfait ! Les traîtres ! Les fourbes ! Haussant un sourcil, je répliquais donc de mon verbe :

« Penses-tu que je serais aussi négligé si j’avais été prévenu, Kais ? De plus, j’aurais probablement menacé à Apopis de le confier pour la nuit à un certain dragon de pluie…afin qu’il soit calme et que je ne rate pas, de peu, le coup franc sur ton front. »

Mon ton était à l’image d’une discussion sur la météo. Le soleil brille ? Oui, on est dans un désert et dans une zone à faible tempêtes de sables : de jour en plus. D’autres questions à la mode « évidente » ? Non ? Tant mieux.
Enfin, en mode pacha, oui je troque la place de mon dragon de poche, j’attendais donc qu’il s’approche. Le laissant poser ses affaires sur le râtelier. Son râtelier. Je n’ai pas d’armes personnelles…en dehors de ma trousse de soins d’urgences.

Le baisé que nous vinrent à échanger était sensuel, langoureux. Le premier de nos baisers en je ne saurais plus dire combien de jours, ou de mois. Bien trop en réalité. Je préfère donc ne pas y songer. Ne fut-ce qu’un vague instant.
Soufflant dans le creux de son oreille, le sachant sensible dans cette zone, j’ajoutais alors d’une voix rauque :


« Mon infirmerie est d’autant plus libre alors… »

Le bruit de la bouilloire indiquait que c’était prés. Et nos ombres nous servaient, alors que je souriais sous les attentions. Il sait se faire pardonner le bougre ! Je notais l’entrée, en catimini, d’Apopis. Il ronchonnait et alla dans son coin à cousins à lui. Sachant que l’heure de sa vengeance ne se ferait pas maintenant, sous peine de risques de mort par noyade. La jarre d’eau potable est proche…et même dans une flaque, on peut noyer quelqu’un, si on sait s’y prendre.

« Tant mieux ! Bon, je ne dis pas que l’état de Douglas n’est pas ennuyant…mais bon, au moins, je t’aurais un peu pour moi. J’ai des congés à poser…enfin, autant que je peux l’être avec tous ces fous qui négligent leur santé. Un comble ! Que cela a le don de m’énerver... »

Je pris la lettre, et la déplier pour la lire. Haussant un sourcil. Le sultan ? Pourquoi ai-je, ne fut-ce qu’un temps, l’image du palais de « mon enfance » sous les yeux ? Mais surtout, la vision de mon cadet et de son regard suffisant. Non, on oublie Osiris : de suite. Je le laissais se coller à moi, et je commentais tout en lisant :

« Et bien, on dirait qu’il a grandit le morveux du palais. Enfin, il a pas tant d’écart que ça avec nous, mais bon…S’il est aussi « supérieur », je me demande ce que cela donne avec mon frère. En tout cas… »

Lui rendant la lettre et attrapant une datte, je me calais dans ses bras ajoutant alors.

« Quant comptes-tu y aller ? Et par où va-t-on commencer ? Non car, tu te doutes que je ne vais pas te laisser y aller seul. Même si j’ai été renié, tout comme toi d’ailleurs, je reste un Sebak. Et ma famille vit pour la santé des habitants du palais. J’ai encore assez d’estime pour mes origines et la fierté de mon nom, pour refuser que tu me laisses derrière. »

Le frôlant, et attrapant un grain de raisin cette fois-ci, j’ajoutais alors :

« Et puis, si tu repars en vadrouille, je vais finir fou. Tu as idée de mon manque actuel, là ? Y’a pas écrit adepte de la chasteté sur ma tronche aux dernières nouvelles ! »
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Message Cette odeur d'épice. I_icon_minitimeDim 22 Fév - 19:35

Je l’écoutais tout en retirant tout se qui me semblait superflue. Je ne le regardais pas. Je ne disais rien. Avec ce genre de crise il fallait mieux le laisser parler. Après tout en 8 ans de vie commune je pense que j’avais apprit à le connaitre. J’avais surtout apprit éviter les coups francs ou encore ses colère noir… Car pour ça : Il est pire qu’une femme.

Enfin bref. Il avait parlé, il s’était allongé en appel au viole qu’il était. Maman comment résister à ça vraiment ?
Je tentais de me faire pardonner, du moins j’avais commencé, j’avais tenter. Embrassant son cou alors qu’il lisait finalement la lettre tendu par mon ‘’con de sultan de frère’’ car y’a pas d’autre mot. J’avais beau être le premier né face à lui je n’avais aucun droit. J’étais pas jaloux non, pour rien au monde je n’aurais voulu de son coussin royal. Mais tout de même du respect ça ne tue personne.
Je ne commentais pas ses vacances. Je le plaignais même. Depuis 4 ans voir plus nous n’avons pas arrêté, avec la guerre puis l’après guerre… Les Wyrm se remettait a peine.

Je dois avouer que mon retour à la vie normal risque d’être un peu bizarre… Les horreurs de la guerre enserrant mon ventre comme jamais… Mon sommeil était déjà Chaotique avant, maintenant je ne dors presque plus… Sans compter qu’il m’arrive de réagir voilement si on me surprend…
Sanka a fait finalement plus de mal que je ne le pensais. Fichu dragonne, il me faudrait avoir une discussion avec elle.

Mais pour le moment mon homme était plus important. Il venait à se blottir dans mes bras, mangeant sa date après avoir parler de mon adorable petit frère. Sa bouché terminée il reprenait ensuite, ses paroles me faisant sourire avec une certaine tendresse mesquine.
Puis il repassait avec un raisin, qui n’atteindra jamais sa bouche puisque qu’il entrain dans la mienne, mordillant ses doigts avec malice.

- Bien sur que tu pars avec moi. J’allais pas faire le voyage tout seul, un médecin peut toujours servir, un dragon dont l’essence est le poison aussi. Puis… Si je passe encore du temps en tête à tête avec Sanka… Je sens qu’elle va tenter plus ardemment de d’habitude.

J’attrapais finalement sa main plus que son poignet, avalant le raisin avant de retourner la situation pour me retrouver a nouveau au dessus de son corps de rêve. Là, je reprenais ses lèvres pour un baisé moins chaste que celui de tout à l’heure, un baisé sauvage. Plein d’envie et de frustration. Puis je descendais dans sa nuque, mordant dedans sans pour autant lui faire réellement mal.
De ma main libre je suis retirait la lettre pour la jeter plus loin et caressait son torse, titillant les partie sensible.

- Je sais. Tes pas le seul d’ailleurs, tu m’as manqué Kamuzu. On laisse mes idiots de frères et soeurs de coté pour le moment ? J’ai bien plus intéressant au programme.

Dis-je finalement d’une voix roque contre son oreille avant de reprendre ses lèvres pour un baisé suave et vorace à la fois.
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Message Cette odeur d'épice. I_icon_minitimeSam 21 Mar - 0:56

Je lisais la lettre. Je savais très bien qu’il s’occupait de tout, via son jeu d’ombre. D’une certaine manière, il entraînait son don sans causer de tord de cette façon. Une technique aussi saine, que moi, activant mon don à chaque fois que je prenais à manger ou Apopis. Pourquoi ? Car je dois souvent retirer des toxines de mon corps, quand je mange : Ap’ adore empoissonner ma nourriture.
Nous parlions donc, savourant la présence réconfortante de l’autre.

En tout cas, j’avais posé mes conditions. Clairs, concis. Et ce qu’il vint à ajouter sur Sanka, me fit froncer les sourcils. Fichue hyène ! Que quelqu’un la file à Scatha, qu’elle soit cuisiner dans un civet nauséabond qui rendrait tous le monde malade et me ferait purifier le coin. De façon à la dissiper entièrement.
Il en profita, en tout cas, pour me voler mon raisin. Aussi, lorsqu’il ne fut pas attentif, je lui volais une date. Nah !


« Je suis là, et tu le sais. » Murmurais-je…alors qu’il me dévorait la nuque.

A ses mots, je rigolais. Et notre « rituel » de retrouvaille se fit. D’abord délicat, tendre. Puis…Plus sauvage, insatiable, bestial. Nécessaire. Nous retrouvions l’autre. Nous nous redécouvrions. Les bruits de la nuit étaient déjà entamés depuis un moment, et une torche éclairé le bord de notre lit fait de soierie et de coussins.
Allongé, contre lui, j’étais blottit. Murmurant, dans ce paisible silence. Apopis dormant dans son lit à sa taille…La bougie était bien entamée, et j’attrapais la lettre qui avait glissé lors de nos ébats. La lisant, une fois encore, je murmurais :


« Dit, Kaïs…comment réagira-t-il ? Je me souviens du petit Ejaz, je ne peux pas oublier ce jour-là. Mais je me doute qu’il nous pense mort. Ma famille m’a renié et je vois mal Osiris dire à Ejaz que je suis vivant. Pour toi…Enfin, par où commencer ? Et comment le prendra-t-il ? »

J’étais soucieux. Soucieux de retourner, ne fut-ce qu’une fois, au pays. Et si, lorsqu’on ramenait Ejaz, je tombais sur un Sebak ? Et puis, Ejaz lui-même m’inquiétait. Un rapt : encore…
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