✘ Nom : MacElurst
✘ Prénoms : Killian Vanora.
✘ Surnom : Killian n'a pas réellement souvenir de surnom...néanmoins, ses proches ont tendance à la nommer par son second prénom, plus féminin, "Vanora". Seule sa dragonne s'entête à la nommer "Killian", envers et contre tout.
✘ Âge : 40 ans, bien conservé.
✘ Groupe : Personnel de Lindorm - Professeur.
✘ Nation d'origine : Keven, de la tribu des MacElurst.
✘ Métier : Professeur d'Herboristerie Avancée & Professeur Principal des Tenebraes, le temps qu'une personne plus présente sur le plan d'activité scolaire ne le désire. [A comprendre, quelqu'un qui donne cours à toutes les années, et pas seulement à ceux ayant pris son option : bref, PP par intérim ?]
✘ Armes : Diverses fioles de poisons...et des senbons, généralement enduit de poisons justement.

Pensées de Katastroféa au sujet de son alliée
« Killian est belle…Oui. Elle brille tant. Je veux rester près d’elle. Sa lumière ne m’offre que plus d’ombre où me glisser, pour la serrer entre mes bras. La garder entre mes ailes. Sa chevelure sans fin, sa chevelure qui arrive juste au-dessus du sol, venant se perdre contre moi. Cette étincelante couleur émeraude. Ce vert intense, qui a attiré mes yeux il y a bien des années maintenant.
Killian, elle a les yeux d’un gris bleuté. Un visage fin, qui le temps n’altère pas. Oui…Le don que je lui ai offert préserve sa beauté, même si elle semble le nier. Car elle ne peut qu’être belle, ma Killian. Hein ? Un homme ? Oh non ! Jamais ! Son prénom est un prénom mixte d’abord…mais je conçois que j’ai rarement vu autre fille avec. N’est-ce pas ce qui accentue son unicité ? Killian ou Vanora, peu m’importe, car je suis celle à qui elle sourit. Qu’elle regarde avec tendresse. Et qu’elle berce de sa voix calme et posée.

Killian est comme la lumière. Douce. Tendre. Fragile. Elle est mienne, ma nourriture, mon humaine, mon alliée. Ses gestes sont gracieux, même en forêts épaisses. Son parfum rappelle les iris. Sa peau est aussi claire que la mienne. Enfin, tout juste plus foncée plutôt.
Vous savez, Killian a quand même une grande cicatrice au ventre. C’est là qu’elle fut blessée lors de son épreuve, profondément…nos sangs se mélangeant alors. Cela n’a pas touché d’organes vitaux, par chance…mais cette fine trace blanche, encore plus blanche que son teint déjà pâle…cette marque est la preuve que Killian est mienne. Qu’elle m’était destinée. J’aime laisser glisser ma griffe le long de cette marque, si précieuse pour moi. Mais j’apprécie aussi son tatouage autour du cou. Il fait comme un collier, et rappelle mes yeux. Oui, je la scrute toujours, partout.

Hein ? Vêtements ? Je la préfère tellement nue. Et pourtant, elle est d’une grande pudeur. Même s’il fait chaud, elle portera de longues tuniques ou des robes longues. Le deuil ? Non…C’est juste sa façon de se draper de ma présence. De mes ténèbres. Mais j’apprécie son décolleté, alors, je fais ma crise si elle n’en met pas. Car Killian passe beaucoup de mes « caprices ». C’est ma chérie. Hi hi !
Sombre, lugubre, voilà ce que certains diraient de mon aimée. C’est car il ne connaisse que son visage impassible, celui qu’elle offre aux inconnus. Killian est une grande douceur. Une douceur sucrée, dénuée de toutes acidités. Quoiqu’elle peut être sèche, et amer, lorsqu’on s’en prend à ce qui lui ait précieux : notre bébé, ou moi. »

Éclaircissement auprès de Killian MacElurst.
« Hum ? Comment suis-je ? Pardonnez mon rire mais, vous êtes sûr d’aller bien ? Oh…Vous avez parlé avec Féa. Je vois. Je crains qu’elle m’idéalise de trop. Je ne suis pas aussi angélique, pure, et gentille qu’elle le pense ou le dit.
Je suis une femme qui veut se montrer forte, mais à qui il arrive d’échouer. Lorsque j’ai besoin de pleurer, je pleure. Lorsque quelque chose me dérange, je le dis. Je ne veux pas m’empoissoner l’esprit avec ce que je crains.

Car j’ai peur de nombreuses choses. L’abandon…Oui, je crains que Féa ne m’abandonne. Et le décès du père de ma fille n’a pas aidé à faire diminuer ce sentiment. J’ai peur, aussi, des contacts : de blesser les gens. Pourtant, je connais la recette ou les propriétés mortelles de biens des choses. Et je sais habilement m’en servir. Mais car je suis faible, et lâche, j’eusse de ces méthodes détournées pour arriver à mes fins.

Je l’ai dit, je ne suis pas une blanche colombe. Je suis juste une femme qui se débrouille pour vivre sa vie. Et trouver ma place aussi. Car aujourd’hui devrait être meilleur que demain. Car j’en sais enfin plus sur mon alliée, pour enfin comprendre qui je suis vraiment. Et quelle est ma place, à moi qui est fuis mes responsabilités, au sein de la tribu MacElurst.
Tous les gens ne sont pas aussi fort que ce que l’on se plait à croire. Et savoir que j’ai dissipé cette image me rassure. »

Regard de Katastroféa sur le passé de Killian Vanora MacElurst.
« Je me souviens comment nous nous sommes rencontrées, elle et moi. Je venais de trouver refuge dans les profondeurs du Marais de Dhôlen, lorsque des pleurs d’enfant ont fait raisonner ma cache. J’étais jeune, tout juste une quinzaine d’année, et j’ai sortit un œil de la cavité sombre où je me prélassais. Voyant alors une petite à la chevelure émeraude, sous une vague lumière ayant traversée les profondeurs du marais. Elle pleurait, assise dans un monceau de mousse verdâtre. Les genoux écorchés, le visage tâché de boue à plusieurs endroits. Mais elle tenait fermement une plante dans sa main…

J’ai été captivée par sa lumière, alors, je me suis dis « c’est elle que je veux. » …Tout a ma solitude, je n’avais pas ressentit le besoin d’un autre. Mais à cette vision, je quittais mes ombres pour la prendre dans mes bras, la câlinant. Je crains la peur que j’aille lui inspirer, mais ses pleurs se calmèrent…et elle me regarda tristement. Un sanglot dans la voix, elle me demanda si j’allais la dévorer. Nulle peur dans son regard, juste une fatalité qui me combla.
Alors, une simple caresse sur sa joue, je lui murmurais de ma voix gutturale que non. Mais que je l’emmènerai où elle voudrait. Apprenant ainsi qu’elle s’était égarée loin de sa tribu, en voulant trouver une plante essentielle pour le remède de sa mère.

La raccompagnant à sa tribu, j’usais de l’ombre telle une cape pour me cacher des regards. Restant dans l’ombre de ma petite. Celle dont j’ignorais le nom. Celle qui n’avait pas plus de cinq ans.
Là, j’appris qui elle était. Killian MacElurst, petite nièce de la chef de tribu actuelle. Destiner à faire prospérer la tribu MacElurst par l’érudition : tel un guide. Oui, c’est mon guide…
On la gronda, pour sa folie enfantine. Et on la remercia, car ainsi sa mère fut sauvée. Je restais à enlacer l’enfant, tendrement, amoureusement, alors qu’elle guettait le réveil de son parent. Et lorsque je fus découvert, on me traita en monstre et on voulut me chasser.

Se mettant entre moi et sa tribu, elle pleurait alors. Comme lors de notre rencontre. Mes yeux brillèrent à la regarder : sa lumière divine, protectrice. Elle déclara que je l’avais aidé. Que j’étais une gentille dragonne. Que je ne dévorais pas les gens. Pourtant, je me nomme Katastroféa…ce qui, dans une langue ancienne, signifie « dévoreur ».
Je fus aux anges, et fit le serment de garder pour toujours cette précieuse enfant contre moi. Avec moi. Pour moi. Ma Killian. Ma lumière.

Le temps fila, et même si je n’étais pas spécialement accepter des autres de la tribu, je n’en avais cure. Je voyais la grâce de Killian s’épanouir. Ses sourires qui m’étaient destiné. Je la voyais étudier avec assiduité, pour le bien de sa tribu. Apprendre, encore et toujours plus, sur les plantes et sur le marais. Etudier les remèdes, mais aussi les poissons. Curieuse, joyeuse, épanouit.
J’avais ma place, et quant elle eut seize ans : je lui proposais l’épreuve d’alliance. Je voulais m’unir à elle. Entendre ses pensées. Voir son esprit. L’aimer avec plus de profondeur que jamais.

L’épreuve fut…terrible. Dans les profondeurs de la jungle de Jergath, nous fûmes lâchées. Nous aidant, usant de ses larges connaissances de survie et de plantes, nous avons survécut. Mais lorsque nous fûmes attaqués par des bearwulf. Nous ne les avions pas vu venir, et l’attaque soudaine embrocha ma belle…jusqu’à moi contre qui elle était. Mélangeant nos sangs de la plus terrible des façons…Me mettant dans une rage qui me fit tout disparaitre. Englobant de ténèbres, une large zone de cette forêt, ne laissant qu’un trou. Alors que j’avais ma belle, saignant et se fatiguant, entre les bras. Alors que j’entendais son esprit se glisser contre le mien pour me dire « On a réussit, Féa. Nous sommes liées… »

Oui. Liée. A jamais. Sa blessure était profonde, mais pas mortelle. Les secours arrivèrent, vu que nous étions à la fin de l’épreuve. Au septième jour. Ils la soignèrent, et validèrent l’union. Notre alliance était valide, et l’académie Lindorm débuta pour nous. Un calvaire à mon regard. Une difficulté pour ma chère et tendre.
De part ma capacité de vol, et le fait qu’ils pensaient que je manipulais l’air pour me fondre dans le décor…n’expliquant pas mes qualités draconiques, on la fit rejoindre les ventus. Sa scolarité fut quelque peu difficile, car il y a 24 ans, lorsqu’elle est devenue ma dragonnière : le climat était bien plus tendu au sujet de ces « Wyrms ». Car la guerre se profilait, sans être réellement là. Un tabou. Un secret. Une angoisse.

Ma Killian n’était pas mauvaise élève. Parfois charriée à cause de moi, ou de son prénom atypique, elle se démarquait dans les cours de survie, de tactiques et stratégies militaires ainsi que ceux de géopolitique globale. Mais c’est lors de son premier cours de « techniques vétérinaires » que le bas blesse. Quelques jours avant, une personne qu’elle avait salué d’une poignée de main avait eut des vertiges…et alors qu’elle avait tenté de l’aider, sa main toujours en contact, il avait finit évanouit.
Personne n’avait compris la cause du malaise de ce jeune Terra…et il s’en était remis. Mais lors du cours de pratique des techniques vétérinaires, on vint à comprendre. L’animal, fatigué et blessé, dont s’occupait Killian…un simple hamster. Déjà bien fatigué, lorsqu’elle le toucha à même la peau pour une caresse tendre : elle absorba le souffle de vie lui restant. Le tuant. Ceci alerta son professeur, qui avait dit que l’état de l’animal était stable. Et ils firent des tests : Killian absorbait l’énergie, et à long terme la vie, des gens.

C’est un regard de terreur que me lança ma douce. Mais moi, je la rassurais. Avec ça, elle serait vraiment à moi ne pouvant approcher les autres. Et cela marcha. Mais je la vis moins sourire. Pleurer plus souvent. Pourquoi ? Moi, je me fichais bien qu’elle absorbe mon énergie de temps en temps. Au contraire, je me nourris de sa lumière. Qu’elle se nourrisse de moi est normal. Ainsi, notre union est plus forte. Mais il faut croire que je devais concéder qu’elle voit des humains. Ce n’est pas de bon cœur que je la laissais mettre ses gants. Je voulais qu’elle utilise mon présent, ce don, qu’elle nommait « malédiction ». Mais je me tue, pour continuer de la voir sourire.

Jusqu’à ce qu’elle le rencontre : ce futur corsaire des mers. Il n’en eu cure qu’elle absorbait les énergies vitales des autres. Il la voulait, il la charma, et même faire claquer mes mâchoires prés de lui ne l’arrêta pas ! Ce sale petit voleur ! Un étudiant à Lindorm lui aussi…
Ils eurent une liaison…Et je ne m’étendrais pas dessus. Je boude encore Killian à ce sujet. Cette traîtrise ! Pourquoi lui, et pas moi ? Car c’est un humain ? Injuste ! En dehors de ma race…n’ai-je pas une tête, un torse, des bras et des jambes moi aussi ?! Injustice…Elle est à moi : pas à lui ! Je me suis sentie trahit…surtout qu’une enfant naquit de leur union. Killian avait alors 18 ans.

Il y eut un tôlé général. Enceinte lors de ses années d’études, ce ne fut pas réellement accepter. Même si c’était un « accident », les deux voulurent assumer et conserver l’enfant. Une fois née, elle fut confiée à sa grand-mère maternelle en Keven : le temps que les parents terminent leurs études.
Mais cela fit prendre une année de retard à Killian dans ses études. La faisant démarrer à 16 ans à Lindorm, pour finir à 22 ans. Mais ses études se terminèrent avec des résultats exemplaires en survie et herboristerie avancée, où elle fut major de promotion. Elle eut aussi de bons résultats en géopolitique et tactique mais…c’était des matières qu’elle connaissait à cause de son statut dans sa tribu. Les femmes sont celles qui dirigent chez les MacElurst…même si en temps de batailles, les hommes sont ceux qui prennent les armes. Et les femmes, celles qui écoutent. D’où les piètres compétences de combat de ma tendre.

Enfin, à 22 ans, elle entra à l’escadron d’élite. Laissant au père la charge de Cordelia. Cordelia Morgane Liz MacElurst-Suryo. Vu que lui, qui avait le même âge que Killian, n’avait pas dû arrêter un temps les études pour accoucher.
Une année de service eut lieu…ses talents en confection d’elixirs, et ses connaissances en plantes servant habilement de soutien à l’escadron. Puis, elle partit. Voulant enfin passer plus de temps avec sa petite. L’emmenant voyager avec elle…s’étant séparé de l’humain, tout en restant en bons termes. Les deux concédant ne plus s’aimer de façon charnelle après tout cela. Mais ne voulant
Mon bébé. Car, le fait est que le couple ne dura pas ! Cordelia avait cinq ans, quant ils se séparèrent. Ils ne s’étaient jamais marié : encore heureux ! Et puis, les MacElurst n’ont jamais accepté cette union eux aussi. Même s’ils avaient accepté la petite fille. L’élevant lorsque les parents ne pouvaient s’en occuper. Ou quand, une fois Killian ayant quitté les escadrons, le voyage qu’elle faisait pour découvrir de nouvelles plantes étaient trop dangereux pour une enfant. C’est lorsque la petite eut 10 ans, que Killian accepta le poste de professeur d’Herboristerie Avancée.

Sa réputation dans le domaine n’était plus à refaire. A 28 ans, elle était considérée comme une experte dans son domaine. Et voilà désormais 12 ans qu’elle enseigne à l’académie, l’option avancée d’herboristerie. Profitant des vacances pour voir notre précieuse fille. Oui : notre. Car le bébé de Killian, c’est forcément mon bébé ! Et puis, le Suryo là, il n’allait pas garder ma chérie et notre bébé éternellement sur son navire ! Et sans compter cet Ahu’ra ! Ce dragon est trop proche de mon bébé ! Grrrr…Et j’ai encore du mal à l’idée qu’ils ont été étudiants à Lindorm. Le comble, elle était tellement parfaite que même lui eut des louanges, pour leurs résultats scolaires !

Mais, combien de fois ai-je dû reprendre son dragon de moins coller mon bébé ! J’enrage rien que d’y penser. Et les garçons qui la regarder avec trop d’intensité : hein ! Ils ont de la chance que ma Killian est toujours sut calmer mes ardeurs. Oh ma chérie. Ma chérie qui était plus stricte avec notre bébé qu’avec n’importe quel autre étudiant. Pas de favoritisme, qu’elle disait. Mais je sais qu’elle avait mal d’être aussi froide avec notre enfant, lors des cours. Un mal nécessaire que je ne comprend pas. Mais c’est humain je crois…

En tout cas, lorsque la guerre éclata, Killian aida en envoyant des crèmes, onguents, poissons aux diverses forces armées. Un soutien, tout en enseignant à l’académie. Ayant beaucoup de temps libre pour ses recherches, sa matière étant optionnelle. Et elle a été triste d’apprendre le décès du père de sa fille, son meilleur ami humain.
Mais la paix a été annoncée, et on a enfin découvert ce que je suis. Une dragonne de Ténèbres, et non de vent. Le fait que Killian soit enseignante depuis déjà douze ans, et que je sois de nature ténébres fait que lorsque la maison Tenebrae fut créée, on lui proposa le poste de Professeur Principale. Et elle accepta, car mon aimée est une femme bien trop gentille. Mais elle mit condition, si un professeur avec un Dragon de Ténèbres, et ne s'occupant pas d'une option, venait à apparaître...elle lui céderait volontiers le rôle. Considérant que son contact avec si peu d'élèves, et encore plus avec aucun 1ère année, peut être handicapant.
De quoi l’avenir sera fait ? Je l’ignore…mais je sens que Killian reprendre confiance en elle quant à son don. Je ne veux pas qu’elle s’éloigne de moi ! NON !

Enfin, elle est en train de se réveiller. Je vous laisse, elle est câline au réveil et je ne veux pas manquer l’instant où elle me prendra entre ses bras, et déposera un léger baiser sur le haut de ma tête. Si seulement j’étais une humaine… »

✘ Pseudo Internet : Lou Ainsel/Alexander Dark...et tous mes pseudos d'ici ^^'
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? Je suis une fan ?
✘ Le Code : Valider.

✘ Nom : Katastroféa.
✘ Surnom : Féa...mais seule Killian, et sa fille, ose la nommer ainsi. Car, oui, Katastroféa est une femelle.
✘ Âge : Tout juste 50 ans...
✘ Type : Ténèbres.
✘ Don qu'il vous a légué : Le Dévoreur de Vie
Un nom "pompeux" ? Probablement...pourtant, ce don a longtemps était vécu comme une véritable malédiction par Killian. Ne le comprenant pas...et se retrouvant isoler par son origine. D'autant que son dragon, alors considérer comme un Dragon du Vent à tord, faisait d'elle une ventus. Alors même que son don lui permet, par contact de la paume des mains sur la peau nue d'un tiers (humain comme animal) ...d'en "absorber la vie". Rien à voir avec l'Air...elle n'arrivait pas à faire de rapprochement entre son don, et ce qu'on lui enseignait.
Enfin...pour faire simple : plus le contact est prolongé, plus la personne perd ses forces. Et si le contact perdure même après un évanouissement, cela peut mener à une mortalité dû à une absence d'énergie ; une trop grande fatigue. Killian dévore l'énergie des autres, la faisant sienne sous forme d'effet de guérison. Néanmoins, cela ne guérit que l'extérieur du corps...empêchant le vieillissement, refermant les plaies. Mais si des organes sont touchés, ou déjà abimés, cela ne les guérit pas ! Elle est une "dévoreuse de vie"...
✘ Nation d'origine : Lorsque Killian questionna son alliée sur ce sujet, la réponse qu'elle obtint fut un simple "je ne m'en souviens pas. Juste, c'était lumineux. Bien trop pour moi..." ...Aussi, ignore-t-on les origines de Katastroféa.

Féa n'est pas une dragonne de grande beauté...Et détonne quelque peu dans sa physionomie. Avant qu'on est connaissance des Dragons de Ténèbres...elle semblait difficilement explicable. Elle était capable, malgré la blancheur éclatante de son cuir, de se fondre dans les ombres. Comme si elle les manipulait d'un rien.

Dragonne Bipède, elle est plus grande que son alliée, et a la force pour la porter dans ses bras. Dôtées de 2 paires de yeux, elle voit parfaitement...mais a un champ de vision assez spéciale, car c'est incruster dans ses ailes que se situe ses yeux. Son champ de vision, en vol, est d'ailleurs grandement diminuer par ce défaut physique. Mais outre son regard qui met mal à l'aise, Féa peut choquer par sa gueule. Une unique bouche de la taille d'une tête humaine, et dont les dents alignées ne laissent que peu d'idées de son régime alimentaire de carnivore. Une bouche qui vous donne l'impression qu'elle va vous manger.

Et pourtant, Katastroféa n'est pas dragonne violente. Étrangement, elle s'est attachée à une humaine...A Killian. Pour elle, Killian est son amour. Oui, elle aime sa dragonnière. Et serait prêtes à toutes les folies pour elle. Il fut d'ailleurs rudement difficile de l'empêcher de tuer immédiatement le compagnon de Killian...Et il est certain qu'elle s'est longtemps pavanée lorsque le couple s'est séparé. Se sentant "victorieuse" sur l'humain. Mais elle sait ne pas devoir en parler...la mort récente de ce-dernier ayant touché le cœur de Killian.

Malgré sa jalousie évidente envers l'humain, qui lui a put aimer Killian comme jamais elle ne pourra, Féa a réussit à considérer l'enfant de son aimée, comme si c'était sa progéniture. Et elle la défend elle aussi au besoin. C'est son bébé, car c'est le bébé de Killian.
Toute jalouse, possessive, et "monstrueuse" qu'elle est...Katastroféa aime. Et ses colères sont redoutables...quant ses moments de tendresse ne semble que peu compris des autres que de Sa Killian.