✘ Nom : Inconnus
✘ Prénom : Maximillien
✘ Surnom : Maxou
✘ Âge : 16 ans
✘ Groupe :Fulguere
✘ Nation d'origine :Lostrego
✘ Métier : Apprentis copiste de livre./première année.
✘ Arme :

En quelque mots, un rat de bibliothèque, un minus, un puit de savoir inutile et un jeune garçon aussi curieusement attachant qu'énervant. Cultivé et ingénieux cela ne l’empêche pas d'être immature. Bien trop curieux il ne renonce pas à ses interrogations ce qui peut parfois le rendre indélicat. Formé à faire des reliures et des copies de livre, il sait coudre, travailler le cuir et excelle dans les taches minutieuses. Son écriture en tant que copiste est belle, régulière et sans fioritures. Il a une forte empathie et n'aime pas voir souffrir les autres. lorsqu’il a du mal à trouver les mots les plus justes, il cite des passages de livres.

Du côté physique, il est menu, a le regard vif, des cheveux châtains et mi-long et raides. Il porte des vêtements urbains qu'il retouche lui même et aime la couleur bleue en matière de vêtement. Il ne se sépare jamais d'une petite valise qui contiens quelques livres et d'autres choses « qui peuvent toujours servir ».

Face à un problème il prend autant qu'il peu le temps de réfléchir. Il choisit en général les solutions les moins dangereuses pour lui et les moins néfaste pour tout le monde. Dans cette optique il cherche toujours si il n'y a pas «meilleure» solution que celle qui semble s'imposer. Si il se retrouve dans une situation d'urgence qui ne laisse pas la place à la réflexion il agit au contraire de façon directe voire complètement impulsive.

Il n'aime pas devoir se battre et évitera de la faire quand ce sera possible. Si il doit s'y résoudre il comptera sur son don qui utilise stratégiquement et sur la force pure de sa Dragonne, conscient d'être globalement inférieur au combat physique.

Il est sociable et amical et prêt à rendre service au quotidien mais ne lie pas facilement de profondes amitiés..

Les flammes... Elles sont la nature de certains dragon et pour les autres elles sont juste chaleur et lumière. Pour les fragiles humains, les flammes libres deviennent brûlures, leur fumée un poison, et les cendres regrets...

Les flammes dont je vous parle aujourd'hui furent au départ une flamme insignifiante et domestiquée par l'homme, cloîtrée sur une bougie, nourrie d'une pauvre mèche. Elle répandait sa lueur depuis un petit bureau sur les pages d'un livre neuf et sur le front studieux de Danielo Danato. Un bibliothécaire et copiste d'ouvrage ventripotent, sage par nature et aigris par l'age. Ce soir là l'érudit travaillait plus tard qu'à son habitude, il devait en effet rendre l'original de son «œuvre» le surlendemain et cela faisait peu de temps restant. Dans tout ce silence, le frottement méticuleux de la plume paraissait assourdissant et seul l'état de la bougie témoignait du passage du temps. La plume s’arrêta, il n'allait bientôt plus rien rester du bâton de cire sur le petit chandelier, la flamme faiblissante devait mourir. Le geste d'un homme endormit changea ce destin. Le manuscrit original et la bougie furent poussée au sol, la flamme consuma rapidement cette manne qui s'offrait. Dans la bibliothèque aux étagères de bois et remplies de papier, un festin l'attendait...

Un peu plus tard, un peu plus loin, une dragonne fut attirée par des cris d'humain. Même en saison douce les incendies sont rare en Lostrego, la dragonne en question était de nature recluse et sauvage, mais elle connaissant bien ce petit village d'humain sur son territoire de chasse et gardait habituellement ses distances, de même que les humains n'approchaient pas les sommets ou se trouvait son antre. Même si cette Dragonne est bien trop bourrue pour jamais l'admettre elle s'inquiétait un peu pour les fragiles humains qui au fond lui semblaient attachants. S’approchant du brasier elle vit des humain s'affairer à lancer de l'eau à l'aide de récipients divers. Un homme tirai par le poignet un garçon de treize ans qui bien qu'il fut récemment sortis du bâtiment en flamme voulait, en dépit du bon sens, y retourner.
«-Tonton est à l'intérieur, il faut aller le chercher»

Les humains virent la dragonne et furent surpris de sa présence, en tout cas suffisamment distraits pour que le gamin échappe à son sauveur et se jette bel et bien dans les flammes. Par une sorte d’instinct maternelle et un peu par culpabilité, la dragonne de rua dans le brasier. N'ayant pas encore appris que l'on peu attraper un humain par les vêtements pour ne pas le blesser, elle lui fit du mal dans son sauvetage, et éventra aussi ce qui restait du bâtiment. Tenant le gamin blessé et avec sa mâchoire, elle compris que les villageois avaient peur et que la situation pouvait empirer s' ils se méprenaient sur ses intentions. Elle s’enfuit donc en lâchant le gamin qui venait de tourner de l’œil , les laissant à leurs interrogations et à leur panique.

Le feu fût maîtrisé et la triste affaire aurai pus être classé par un simple deuil si le gamin avait eue des parents dans le village. En effet si on connaissait bien le petit Maximillien dans le village comme étant «le petit gamin de la bibliothèque» et comme l’apprenti de son oncle, personne ne savait vraiment qui étaient ses parents. Maximillien répéta aux autres habitants fort embêtés ce qu'il savait de ses origines «Tonton m'a dit que maman m'avait conduit ici quand j'avais quatre ans, elle avait dit qu'elle reviendrait elle s'était marié avec mon papa, mais mon tonton dit que c'était un nom impossible à retenir des îles de Wuweishu, maman n'a jamais répondu aux lettres que je lui ai envoyé quand j’étais petit, maintenant je ne lui écris plus.» Difficile de savoir alors si le gamin était abandonné ou orphelin mais le résultat était le même. Une voisine, Madame Velinio, proposa de l’accueillir en attendant qu'il soit adopté. C'était une vielle dame qui veuve très tôt n'avait pas eue d'enfant et était devenue une vielle à chat. Faute d'un orphelinat, sa proposition fut bienvenue.

Cette dame cuisinait bien, était d’asses bonne compagnie et avait de l'amour à revendre. Sa faiblesse était qu'elle se couchait tôt et avait le sommeil lourd. Une fois parfaitement remis de ses blessures, le jeune Max se mis en quête de retrouver le fascinant dragon qui emplissait ses pensés et ses songes et enchaîna donc les escapades nocturnes. C'est environ un mois après l'accident qu'il retrouva la créature en question.

L'antre était une grotte difficile d'accès dans la montagne, l'enfant arriva au milieu de la nuit, les mains écorchées par le périple. La dragonne au sommeil léger entrouvrit un œil émeraude et poussa un grognement destiner à faire fuir la créature intruse qui gênait son sommeil. Les bruits de pas lui indiquèrent que la créature avançait toujours. La dragonne huma, et compris que c'était un humain qui approchait. Maintenant qu'elle était parfaitement réveillée elle comptait bien faire peur à cet intrus. Elle le laissa venir, puis elle le reconnu, ce petit humain qu'elle avait sauvé sans savoir elle même pourquoi, loin d'être apeuré il souriait de la voir. Il venait la remercier. Comme il s'approchait en parlant dans la langue des hommes que la dragonne comprenait encore mal, elle lui fit toutefois comprendre d'un autre grognement qu'il devait garder une distance respectueuse. L'enfant s’assit donc et continua de parler, il parlait beaucoup même, elle ne comprenait pas tout mais c'était une distraction comme une autre, sa routine était ennuyeuse.

« Bonjour sire dragon, je suis Maximillien mais tout le monde m'appelle Max. Vous vous souvenez de moi ? J'étais à la bibliothèque qui a brûlée... Et puis vous êtes arrivé et j'ai eue peur mais en même temps tu m'as sauvé...» Notez qu'en quelques phrases on passe de "sire" au tutoiement, la dragonne comprenait vaguement la reconnaissance et ne risquait pas de le remarquer.
«Maintenant, que je n'ai plus mon oncle je me sens seul, es tu seul toi aussi? Quand je me sent seul je lis un livre pour passer le temps. Mais maintenant même mon livre préféré a brûlé. Mon livre préféré est un livre pour enfant, un des premiers que j'ai lu moi même, mais c'est quand même le plus beau... Il y a un petit garçon qui vit plein de belles choses, un jour, il devient ami avec un renard, pour devenir ami il l’apprivoise. En fait ça veut dire qu'ils apprennent à mieux se connaître pour devenir unique et précieux l'un pour l'autre. » Maximillien se mit à paraphraser son livre que vous aurez sans doute déjà reconnus. « Pour toi tout les hommes se ressemblent, mais si je t’apprivoise, il y aura un humain et un bruit de pas différent des autres, un bruit de pas qui t'emplirait de joie car se serait celui d'un amis. Pour moi tu es déjà unique parce que tu es le seul dragon sauvage que je connaisse, mais si je t’apprivoise alors je serai moins seul, je verrai le monde autrement, les étoiles et choses étincelantes me rappelleront tes yeux, le feu évoquera pour moi le jour ou j'ai rencontré un ami au lieu du jour ou j'ai perdu ma seule famille. Apprivoises moi et je t’apprivoiserai.»

La dragonne ne comprit presque rien de tout cela, seulement que l'enfant se sentait seul et qu'elle se sentait seule elle-même. L'enfant partis et il allait revenir chaque soir. Un peu moins tard que le premier. La dragonne ne comprenait pas ce que l'enfant faisait, mais sa présence était amusante. Puis a force d'habitude, cette présence devint familière et réconfortante. Si bien que la dragonne solitaire se prenait des fois à l'attendre, voire même a s'inquiéter de ses retards. Elle apprit un peu mieux la langue des humains et lui fit comprendre qu'elle était une dragonne et non un dragon, et qu'elle s'appelait Olguemagnis. Il lui conta les histoires merveilleuses qu'il avait lut en livre, c'était devenue une habitude paisible après la chasse, un instant précieux pour chacun et le jardin secret de l'enfant.
En dehors de sa secrète amitié, les journées du garçon se ressemblaient. On ne l'adopta pas, mais Madame Velinio s'était bien habitué a cette joie ambiante qu'il savait propager. Elle s'inquiétait pour son avenir. Il savait lire et avait déjà beaucoup lu, avait une très belle écriture et savait parfaitement faire la reliure d'un livre. Mais il n'y avait plus de bibliothèque, peut-être cherchait-on un copiste dans les plus grandes villes... Lui s'était documenté et savait ce qu'il voulait faire. Si un jour il devait quitter son village natal il ne partirait pas seul. Au premier anniversaire du jour de leur première rencontre, Maximillien parla à Olguemagnis de l'épreuve d'alliance et de l'académie. La dragonne le railla: elle aimait sa vie et n'avait aucune raison de partir.
«C'est juste que tu est devenue importante pour moi, comme je ne pourrai pas toujours rester, je me disais que l'endroit importait peu si tu y étais.»
La dragonne eue un rictus qui acheva de faire partir Max en sanglots. Il s’enfuit laissant la dragonne perplexe. Elle comprenait mal ce que Maximillien ressentait.
Le soir suivant, il ne vint pas. Et la dragonne ne trouva pas le sommeil. De même que la nuit suivante. Le troisième soir elle attendait, n'ayant pas même trouvé l'envie d'aller chasser durant la journée. Elle voulait penser à autre chose mais cet être stupide et touchant la hantait.

Et ce soir là il revint. A voir ses yeux rougis, il avait lui aussi peu dormis et beaucoup pleuré. Olguemagnis le devança et le rejoignit plus bas dans son ascension jusqu'à la grotte.

«Olguemagnis je suis désolée, j’avais peur d'avoir trop mal en te disant adieu et... »
«Ne dit pas adieu, nous passons l'épreuve, petit Max que j'ai apprivoisé.»

C'était la plus longue phrase qu'elle ait prononcée en langage humain articulé. Quelques larmes furent versées encore, des larmes de joie...

Il fallut alors que le garçon annonce son secret et ses intentions au village. La vieille Velinio, qui eue la primeur de cette révélation, faillit reverser son thé brûlant lorsqu’elle compris que Max ne faisait pas une plaisanterie. Les plus hardis et les moins crédules voulurent voir la dragonne qui fut fort irrité qu'on lui porte cet excès d’intérêt et dut gronder et claquer des mâchoires pour rappeler aux téméraires qui s'approchaient qu'elle n'avait apprivoisé que Maximillien. Avoir un dragonnier natif de leur village était une petite fierté.

Nul besoin cependant d'être particulièrement avisé pour affirmer que Maximillien n'avait pas l'étoffe d'un héro ni le tempérament d'un combattant. Curcio, un chasseur de son village décida, qu'il devrait jusqu'à l'age de l'épreuve, lâcher les livres et apprendre à se servir d'un arc. «Pas moyen de faire un combattant de ligne d''un gringalet pareil, mais on peu en faire un archer correct»

Le petit Max n'était pas un cas désespéré, ses ascensions régulières de la montagne, lui avaient donné un peu de force, d'endurance et d’agilité. Il avait la poigne suffisante pour bander un arc mais ne devint jamais aussi bon que son professeur en précision et vitesse de visée. Pour atteindre des cibles en bois ce n'était pas un problème, lorsqu’il fallut tirer des lapin ce fut autre chose. Pas asses rapide, pas asses silencieux et surtout trop retissant à tuer, ce qui lui donnait encore quelques secondes d'hésitation supplémentaires. Curcio qui devait assurer un minimum de gibier finit par perdre patience. Maximillien décida de chasser avec Olguemagnis et de ne manger que ce qu'il tuerai lui même. Lui qui n'aimait pas voir souffrir des animaux réalisa vite la sauvagerie de sa compagnonne, une facette qu'il n'avait pas encore observé. Ainsi il apprit à tuer avant elle, par compassion pour les cibles. Il retourna Curcio pour des conseils en dépeçage, évidage et survie... Et finit par être capable de trouver sa nourriture en forêt en chassant. Loin d'imaginer ce qui l'attendait, il se croyait naïvement prêt à la survie en milieu hostile.

Le duo partis donc chercher sa mise à l'épreuve je jour même de seize ans de Max. Sur la route Max rêvait de combat dans une forêt tropicale hostile contre un fauve titanesque. Dans son petit tableau imaginaire rêvé, il se voyait épuisé et légèrement blessé et en train d'échanger son sang avec sa dragonne. La destination que le destin allait leur choisir n'allait pas correspondre à cette idylle d'épreuve type. Sans préparatif supplémentaire il furent envoyés vers les terre gelées de Nordheim. Ceux qui s'était crus prêts à affronter milles monstres se voyaient déjà bien vulnérables face aux morsures du climat local. La dragonne si fière de sa toute puissance sur son territoire natal tremblotait maintenant comme un oisillon tombé du nid et incapable de déployer ses ailes. Le garçon claudiquait le dos courbé, suivant le peu d’abri que le corps de la dragonne offrait, tel un insecte désorienté cherchant à retrouver un coin d'ombre. Ils cherchèrent un relief pour leur servir d’abri. Un creux dans la roche répondit à leur attente au bout d'une heure, ils avaient déjà crus mourir. Méthodiquement max reboucha leur trou avec de la neige qu'il tassait. La dragonne remarqua qu'il réduisait ainsi fortement leur espace vitale.
«Moins on aura d'espace plus facilement cet espace sera chaud»
Dans ce terrier ou l'aération était minimale et ou ils pouvaient à peine bouger il se serrèrent l'un contre l'autre. Se frissonnant, le garçon pus sentir à nouveau ses mains. Puisque la tente de tissus qu'il avait prévu ne servirai à rien, il se mis a la découdre, et à la modifier, la dragonne qui était en quasis léthargie ne réalisa le travail de son allié que lorsqu'il fut terminé.

Il avait créer une sorte de vêtement pour dragon ou il pouvait se glisser lui même près du coup.
«Les humains font ce genre de choses ? »
«J'ai appris avec tonton, pour les reliures les plus complexes il faut savoir coudre et être minutieux.»

Même si l'ouvrage était improvisé, il était en effet soigné, aux coutures régulières et discrètes, un tissus épais retouché par du fil de pêche. Il recouvrai les ailes repliées de la dragonne rendant leur déploiement impossible. De toute façon, la dragonne ne se sentait pas la force de déployer ses ailles au dehors par ce blizzard. Cela devait permettre a Max de partager sa chaleur corporelle sans en perdre. A la fois dans leur abri et leur manteau, le froid n'était plus leur principal problème, il dormirent sans crainte de tomber en léthargie.

La faim et la soif les attendaient au réveil et leur rappelèrent que leur survie était à l'épreuve. Au dehors la tempête s'était tue.Durant la matinée ils explorèrent méthodiquement leur environs proche, Au zénith du soleil, ils comprirent qu'il n'y avait pas la moindre âmes. Leur terrier improvisé avait perdu sa chaleur durant leur absence. Le froid était toujours aussi mordant mais le dragonne décida de s'extirper du tissus pour prendre son envol. Ce vol fut maladroit et dura environ deux minutes. Suffisamment pour scruter des environs un peu plus large avec de la hauteur.Ses fines membranes déployées craignaient profondément les rigueur du climat. A son atterrissage hâtif elle réclama qu'on lui frictionne les ailles. Le froid pouvait réellement les abîmer.

«Une longue ligne de trace, troupeau de grosse proies.»
Il faut savoir que pour un dragon, tout être inconnu est avant tout une proie.
«Quel genre de proie ?»
«Pas vu, juste des trace profonde.»
«Loin ? »
«Hmm... » La dragonne éprouver des difficultés à quantifier avec les mesures humaines. Ne trouvant pas les mots elle conclu : «On peut les atteindre à temps»

Ils se mirent donc en route en suivant un cap approximatif à la boussole. Le chemin paru long, le jeune homme questionna sur la distance restante à parcourir, a chaque fois elle affirmait -avec de moins en moins de conviction cependant- qu'elle avait l’œil perçant et avait vu ces traces très éloignées. Sur une bonne partie de la route Maximillien se laissait porter, sont poids important peu pour la dragonne et il était même agréable pour elle de partager la toile de tente qui lui servait de couverture avec un sang-chaud. Le reste du temps, Max suivait tout en filtrant la neige à travers un bout de tissus, pour qu'ils boivent tout les deux. Le soleil flirtait avec l'horizon lorsqu'ils atteignirent la piste en question. Les traces étaient profondes et peu nombreuses. Max déduit qu'il suivait une petite famille d’animaux colossaux. Des animaux munis de longue griffes au vu des traces. Il leur faillait les rattraper peu importait les créatures et leur fatigues. La faim les tenaillait et nulle autre proie n'était envisageable.

La nuit avait jeté sont filet d'ombre et capturé le peu de chaleur qui restait. A l’abri d'une grotte les animaux avaient trouvé refuge et dormaient. Maximillien tenta d'observer dans le noir les créatures ronflante. Il en perçus trois, des créatures quadrupèdes dont la plus massive devait dépasser les deux mettres. Il vit qu'elles avaient de longues cornes torsadées, des mâchoires peu imposante d'ursidé. Et également des griffe d'ours. Leurs membres et leur coups était plus allongés que pour ces derniers, les créatures étaient sans doute plus agile mais Max de par ses connaissances théorique jugea que cette anatomie ne leur permettrait pas de se hisser sur leur patte arrière pour griffer comme pourrai le faire un grizzli. La Dragonne attendait au sortir de la grotte prête à bondir si le gamin sortait poursuivit. Elle s'était extirpée de la toile de tente au cas ou elle devrai se battre ou voler.

Max prit cinq mètres d'avance vers la sortie de la grotte, pris le temps de viser avec son arc, à cette distance et en prenant le temps il ne pouvait décemment pas rater l’œil de la bête endormie. La créature mugit et se cogna à la paroi. Maximillien détalla vers l'air libre où sa dragonne pourrait exprimer sa puissance sans restriction d'espace. Il sortit alors que la grotte hurlait toujours d'un échos de souffrance. Max pus dépasser la dragonne prête à bondir sur le premier poursuivant. Un moment d'attente curieusement long. Puis une des créature surgit, la plus massive et celle la avait encore ses deux yeux, lancée dans un puissant élan, elle chargea directement la dragonne. Olguemagnis prit une brève envolé pour atterrir sur sa proie comme elle le faisait d’habitude. Les cornes de la bêtes étaient hélas fort adaptées à se défendre contre une attaque aérienne. La dragonne roula au sol, grièvement blessée. Assistant la scène, l'enfant cria, décochant une flèche qui se planta dans le coup de la créature polaire. Du sang macula la fourrure de la bête près de la plaie. Mais la bête chargeait à nouveau la dragonne pour ne pas lui laisser le temps de se redresser. La créature chargea et piétina la dragonne avec fureur. Max Hurlait, tentant de détourner l'attention de la créature il décocha une autre flèche qui fit mouche puis sans réfléchir se rua avec son couteau de chasse sur la créature. Il se jeta sur le coup de la bête déjà blessé et frappa, enragé et inconscient du danger. Cette créature devait cesser de frapper sa dragonne et rien d'autre ne lui passait par la tête. La créature donna un coup de patte pour le déloger. Max n’entendit plus qu'un sifflement lui sciant le crane. Il se demanda si c'était cela, mourir. Il atterrit dans la neige, le sifflement continua et sa vue se troubla mais il put voir sa dragonne enfoncer ses griffe dans la bête, ses yeux briller et sa proie convulser traverser par un terrible éclair. Ce n'était pas si grave alors, sa dragonne avait gagnée et elle allait bien. Retrouvant un peu ses sens il s'aperçut qu'il était bien vivant et qu'il avait très mal. La créature l'avait atteint à la jambe et il saignait beaucoup. La dragonne, inquiète s’approcha. Il bougea le bras juste pour lui indiquer qu'il pouvait. Les autres créatures, y compris celle qui était désormais borgne, s'étaient enfuient. Celle là s'était sacrifié pour sa famille.

Il s'approcha en rampant de la créature morte et plongea sa main dans la plaie. En comparaison avec l'air extérieur, la créature était brûlante. Ils mangèrent, et même si Max n'était pas adepte de viande crue -quoique la foudre l'eue légèrement cuite en fait- ils firent tout deux un repas qui leur semblât le meilleur de leur vie. Ils ne se soignèrent qu'ensuite tant la faim avait primé et ce fut Olgemagnis qui se rappela de l’essentiel. «Le pacte de sang »

Olgemagnis couler le sang de son aille sur la jambe de Maximillien, lui Recueillis son sang avec sa mains et le frotta sur la plaie de sa dragonne. Maximillien se fit un bandage et recousu la plaie de la dragonne qui rechigna d'abord à l'idée. Dans le même temps, le pacte de sang fit son effet. Max se sentit investit d'une nouvelle force, bien qu'il n'en compris pas tout de suite la nature et se sentit plus proche encore d'Olgemagnis. Cette dernière fut tout autant changé. Liée à l'esprit de l'humain elle assimila le langage humains et ses subtilités. Elle reçus cette soif de comprendre le monde comme un humain veux le comprendre.

« Max, je croyait qu'il y avait trop de mots inutiles dans votre langues, j'ai envie de tous les réentendre. Tu me comptera encore toute les histoires et je les apprécierai vraiment »
« Mais tu deviens volubiles on dirait... Cela veut dire que tu n'aimais pas les histoires avant?»
« Si mais je ne comprenais pas tout, c'était surtout ta présence qui importait.»

La grotte leur servis d’abri et la fourrure polaire de la créature fut une couverture parfaite. En fait malgré le blizzard qui sévit à nouveau le reste de la nuit, il n'eurent pas froid du tout.

Le lendemain ils leur restait encore de la viande et la tempête ne cessa pas de faire rage. Max toujours aussi bon couturier doubla ses vêtements et celui de sa dragonne avec cette fourrure. C'était lourd à porter mais tellement chaud en fait que le froid ne serai plus leur problème.

Ils reprirent la route le quatrième jour après le dernier repas sur cette bête. Ils cherchèrent malgré des traces effacées par la tempête, à retrouver leurs autres proies. Non remis de leur blessures, Max se laissait porter et il était hors de question que la dragonne tente à nouveau un vol. Ils tentaient de prolonger le cap que les créatures avaient suivit pour les retrouver, la plus forte était tombée après tout, mais ils eurent quelques difficultés nouvelles:
«Je ne sais pas comment c'est possible mais je crois que ma boussole est déréglée.»
«Tu sais réparer ça?»
«Non, on dirait que quoique je face, le sud pointe vers moi.»

Faisant quelques expériences, il aperçus que la lame de son couteau lui adhérai à la peau si il l’approchait, il était devenu un aimant. Il commençait en réalité à faire connaissance avec son don.

La dragonne suivit ses propres sens et retrouva, un peu de chance aidant, la piste de la petite famille. Les traces n'étaient plus aussi rectilignes, avec une bête blessé et leur chef de meute en moins, ils avançaient bien moins vite.

Ils trouvèrent alors les créatures près d'un lac gelée, le réparant en premier lieux aux bruit qu'elles fessaient. Voyant toute la famille à la lumière Max s’aperçut qu'il n'avait pas repéré tout les individus dans la grotte. Il y avait là ce qui semblait être leur mère, borgne. Et trois «petit». Ils étaient en train, avec des mouvements frénétiques du cou, de frapper la glace avec leurs cornes. Les chocs étaient impressionnants et les impacts assourdissants. L’épaisse glace finit par céder et les créatures burent, la mère plongea et remonta rapidement des poissons dans sa gueule. Cette eau était très poissonneuse.

La dragonne suggéra de passer à l'attaque pendant que la plus forte créature était dans l'eau mais Maximilien rétorqua qu'il n'était plus utile de les tuer.

«On peut les faire fuir et pêcher à notre tour, une seule des ses créatures suffirait pour le temps qui reste, mais s'en prendre au petit enragerai la mère, s'en prendre à la mère condamnerai leur famille.»
«En quoi c'est important?»
«Nous sommes déjà blessés, ces créatures ne nous ont rien fait de mal à par se défendre et aussi j'aimerai changer de régime, après tout ça il serai idiot que l'on doivent demander des soins, et donc qu'on échoue, parce que j'ai abusé d'une viande indigeste.»
«Cette viande était parfaite pour moi, si les humains son aussi fragile à l'intérieur qu'à l'extérieur...»

Les créatures plongèrent toutes, comme si elle avaient besoins à cette température de se rafraîchir. Comme elles ne reprenaient pas la route, la dragonne poussa un cri qui les fit détaller immédiatement.

«Je crois que ces créatures auraient put rester un moment ici sans nous, elles avaient une source de nourriture.»
«Déjà qu'on les a laisser manger et qu'on les laisse partir, tu ne voudrais pas qu'en plus on abandonne notre repas pour ces choses. Arrête de t'attacher à des créatures stupides, les proies sont là pour qu'on les mange, cesse de les plaindre.»

Avant que Max ait pu sortir son matériel de pêche de son attirail, la dragonne avait plongé une griffe et usé de ses dons de foudre. Quelques poissons morts sur le coup flottèrent à la surface...
Si la méthode manquait de finesse, elle était efficace. Il se firent un nouvel abri non-loin et se nourrirent ainsi les derniers jours. N'ayant rien d'autres à déplorer qu'une autre tempête, et les plaintes de la dragonne qui aurai préféré de la viande rouge...

Ils revinrent donc à l’académie annoncer leur succès. Ils eurent un jour pour se remettre et recevoir des soins. On demanda à Maximillien une démonstration de son don. Lui demandant si il avait besoin d'un mannequin d’entraînement ou d'autre chose. « Je ne maîtrise pas ça parfaitement mais je peut vous montrer avec une cible en bois des cailloux et de la ficelle et n’importe quel objet petit et en fer. » Il vit sur un champ de tir ou l'attendait sa cible, et une petite boite de clous.

«Bon il semblerai que je puisse devenir un pôle magnétique pur. Veillez prendre cette boussole se sera plus parlant. »

Max tendit sa boussole à l’examinateur puis s’éloigna de quelque pas et commença à dire « Nord, Sud, Nord, Sud » La boussole s’affolait et le pointait comme étant le point cardinal indiqué.

L'examinateur leva un sourcil perplexe notant que ce n'était pas très utile.

«Mais j'ai aussi remarqué, même si je maîtrise encore peu cela que je peut faire de même sur autre chose mais pas sur un autre être vivant.» Je jeune homme s'approcha de la cible la toucha et se concentra un peu.
«Je pense que la cible est devenue le nord, c'est bon ?»

Max, peu sur encore d'y parvenir à chaque fois attendit que l’examinateur acquiesce.

«La cible est un moins, et je fait un plus avec ce caillou. Un nord et un sud si vous préférez»

Max ramassa un caillou et se concentra à nouveau, dans la main de l'examinateur la boussole s'affola.

Max recula de quelques mètres et laça la pierre qui eue un impact fort avec la cible. Max pris une poignée de clous et la lança. Les clous qui s'était un peu dispersés en val atteignirent tous la cible. Certains s’étaient même plantés profondément dans la cible ou déformé pour y adhérer.

«Les plus attirent les moins, et les deux attire les objet en fer. Et le plus intéressant: les plus repoussent les plus.»
« C'est une sorte de télékinésie ? »
« Non cela n'a rien à voir. »

Max saisit la cible et la tourna dans tout les sens pour montrai comme cela adhérait puis il visa une zone vide. Et toucha l’arrière de la cible pour en inverser la polarité. Le caillou fut éjectés avec puissance, les clous vibrèrent brièvement mais restèrent sur la cible.

«Tant que je ne démagnétise pas le cible les clous seront collés, il faut une grande force pour les décrocher, en tout cas je ne peux pas le faire à la main. Maintenant je vais retrouver le caillou et ça suffira pour la démonstration»

Max utilisa un petit bout de ficelle qu'il magnétisa, laissa pendre et s’approcha avec de la zone ou le caillou avait été éjecté, à une certaine proximité la ficelle pointa la direction.Max approcha prudemment puis le caillou décolla de lui même Max lâcha la ficelle pour éviter le choc, puis ramassa à ses pieds un cailloux bien ficelé et le tendit à son examinateur. Impossible de desserrer la ficelle qui avait enserré la pierre sans être nouée.

Une fois le don avéré il et le volonté des alliés d'être membre de l'académie confirmé. On lui indiqua sa chambre dans les dortoirs, il y posa ses affaires, ses camarades de chambre encore absents. Il prit ses renseignements sur les emplois du temps et constatant qu'il n'avait pas cour immédiatement, demanda ou se trouvait la bibliothèque.

✘ Pseudo Internet : Groubar
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? Google
✘ Le Code : validé.

✘ Nom :
✘ Surnom : Olgue
✘ Âge :31 ans
✘ Type :Foudre
✘ Don qu'il vous a légué :Magnétisation
Explication:
-En touchant un objet ou sur lui même Max peut lui donner une charge positive ou négative.
-Des charges opposées s'attirent et les charge identiques se repoussent.
-Cette force peut être immense au contact mais diminue très rapidement avec la distance (comme avec un vrai aimant)
-Quelque soit la charge les objet chargés attirent les métaux ferromagnétiques (toujours comme pour un aimant). -Contrairement à l'aimant, l'objet chargé n'a pas deux pôles mais bel et bien une seule charge, ces objets se déchargent avec le temps car cet état n'est pas naturel.
-Il existe simultanément un maximum de trois objet chargé de n'importe quelle façon.(Que des plus, 2 plus et un mois...)
✘ Nation d'origine :Lostrego

Une dragonne de deux mètres dix de haut, de la tête au sol et six mettre de long de la tête au bout de la queue. Ses écailles sont violacés elle a de grandes ailles larges et fines. Ses eux sont verts émeraudes et brillent d'un puissant éclat quand elle est dans l'ombre où use de ses pouvoirs.

Fière de ses crocs et de ses griffes elle a une confiance excessive en sa force et pratique peu d'usage de ses pouvoirs de foudres. Elle reste de nature solitaire et possessive et voit les autres dragons comme des rivaux. En dehors de Maximillien tout les humains lui paraissent semblables, des créatures faibles et aux comportements étranges.