✘ Nom : Sadalsuud
✘ Prénom : Lucien
✘ Surnom : la Chance ou Masque de Mort (Chevalier du Cancer ! *sbaf*)
✘ Âge : 28 ans
✘ Groupe : Wyrm et...hahaha...HAHAHAHA !!
✘ Nation d'origine : Lostrego
✘ Métier : Armurier et partisan des Wyrms.
✘ Arme : Sa prestance mais il a une rapière et une lance. C'est un armurier, il a aussi des couteaux de lancer. Bref, il change plus d'armes que de chemise, vous l'avez compris.

Cet homme ? Oui, élégant, raffiné, courtois. Il appartenait bel et bien une famille de nobles de Lostrego et ça se voit. Même Wyrm, ses valeurs chevaleresques restent et demeure un très bon compagnon. Il donne une belle image des Wyrms en ces temps troublés tout en restant très utile qu'on lui laisse volontiers les missions de diplomatie. Tant mieux, il adore revoir les Territoires sans pour autant oublier ses responsabilités. Charmeur, bien sûr, autant auprès des hommes que des femmes, il adore la volupté, le contact avec les gens des plus rapprochés. Néanmoins, il sait très bien distiller les mensonges dans les vérités, c'est un orateur sans failles.

Cependant, ce n'est qu'une face de la personne.

Bien évidemment, il est un grand manipulateur, demeurant un mystère. Pourquoi a-t-il tourné le dos à sa famille alors qu'il était si aisé pour lui d'être un dragonnier de Lindorm ? Rien. Il croit en ses capacités et en sa synergie avec Lamia alors pourquoi ? Autant vous le dire tout de suite, il adore inventer des raisons diverses et variées faisant de ce sujet une vaste blague dont il est le premier à en rire. On ne sait pas réellement ce qu'il pense, quel but il vise mais son génie fait de lui quelqu'un de très utile et son charme quelqu'un de confiant. Déstabilisant.

Souriant, pas facile à percer, il est une boîte de Pandore qui sait charmer.

Il reste un très bon combattant avec diverses armes et son bon mètre quatre-vingt deux mais n'en fait aucunement l'étalage, préférant le monde de l'imagination propre à un inventeur de Lostrego et la finesse de son esprit.

Dans le privé, c'est quelqu'un qui déborde de passion, dévorante, endiablée qui frise la folie pure. A l'image des poisons que garde jalousement sa lignée et celui que recèle Lamia. C'est un être complètement dévoué à la cause de la Main dont il cache le signe distinctif par sa capacité héritée de son alliance avec son dragon. Grace à ce dernier, il développe constamment sa tolérance aux poisons en gardant des remèdes quand sa raison commence à chavirer dans l'instabilité.

L'histoire d'une lignée, une grande lignée. Celle d'inventeurs, d'innovateurs, de fournisseurs en remèdes, de vrais pharmaciens, de bons samaritains...

Vous y avez cru n'est-ce pas ? Sur toute la Terre, la famille Sadalsuud distribue une parcelle de leur propre bonheur. Tout est calculé, rien n'est donné comme ça sans envie d'un possible retour. Cette image n'est qu'une couverture bien sûr. Les honnêtes inventeurs et commerçants Sadalsuud servent la volonté du Divin Arkhail. Le monde ne peut se contenter de bons sentiments. Comme n'importe quel organisme, il a besoin qu'on le sépare de certains tubercules insignifiants voire régénérantes pour qu'elle puisse vivre. Lostrego seule a demandé tant et tant de sacrifices pour rester prospère et forte. Gloire aux Lances de Foudre. Gloire aux Territoires. Gloire au Père Dragon. Pour un Lostreg, il faut être à l'image d'Alborãn, un visage nébuleux pour protéger au moins son territoire. Cela ne se fait pas en belles paroles, en quelques guerres et en certaines victoires. Parfois, il faut des lames dans les Ténèbres, des mains prêtes à se souiller corps et âme pour le monde. A votre avis, pourquoi notreclan si fermé s'appelle la Main du Jugement ? Ce n'est pas par orgueil. Nous ne sommes que des instruments, ni plus ni moins, mais des rouages d'une machine divine plus grande que vous l'imaginez.

Comme toute famille sachant cruellement sa place, la mienne est légion, autant d'esprits et de mains pouvant œuvrer pour un Grand Jour ou juste pour garder la mascarade intacte. Moi-même, je partage le droit d'aînesse avec un frère jumeau, puis, j'ai une sœur, une vraie perle, et un frère aussi après elle. Nous avions eu une enfance heureuse mais portée par son unique but, par l'initiation cruciale pour être une potentielle recrue de la Main. Mon frère n'avait pas l'âme d'un tueur mais moi, j'avais l'ardent besoin d'être ce que mes parents avaient toujours voulu : un instrument des jeux d'esprit comme de mort. Un bon prédateur est celui qui sait si bien s'adapter à n'importe quel environnement. Je ne hais point mon frère, non. Je l'aime, au contraire. Je l'aime tellement que j'avais redoublé d'effort pour briller, être utile aux yeux de tous pour qu'il puisse être un jour libre comme l'air. Je comprends ses aspirations comme il comprend mon envie d'être ce que j'ai toujours été : le vaisseau même de l'esprit de notre famille, de notre clan dont elle faisait partie dans le plus grand secret. Celle aux mille poisons et il était temps de savoir d'où venait tout ce savoir qui faisait de nous de rigoureuses fourmis dans cette matière séductrice et dangereuse que l'on usait aussi bien dans la lumière que dans les ténèbres.

Chaque nuit noire, près de nos côtes, nous attendions, avec mes parents une curieuse venue avec un agneau bêlant son envie de rejoindre sa mère à l'étable pour s'endormir, paisiblement. Tel un éclair noir, la mort frappa si vite que c'en fut extatique. Un serpent d'ébène ailé venu de la mer était enroulé autour de la gorge du petiot autrefois blanc, laissant s'échapper un fil de piano couleur sang qui s'écoulait sur son pelage. Ce qui m'avait le plus plu était ces crocs et ces babines écailleuses rouges de la sève de vie du nouveau-né. Personne ne lui donnait de nom mais pour un sacrifice, un secret pour un poison était donné pour être testé venant de Noiroc la Maudite. Simple, sans échange de sang entre mortel et dragon. Pourquoi un dragon si petit et pourtant si terrible avait besoin d'un sacrifice ? Je pense que cette créature aime savoir qu'elle a toute une lignée qui sera toujours là pour la louer, elle et ses secrets sans à donner trop de sa personne.

Alors que je n'avais que dix printemps, je pense que j'ai eu droit à ma première érection en la voyant donner la mort à cet agneau que ma sœur avait dorloté il n'y avait que quelques heures.

Mes parents avaient été amusés par cette réaction naturelle et voyaient par là un signe que j'étais digne de leur succéder. Je devais passer donc à une initiation plus poussée, par les armes, les arts, les poisons et la politique. Une bonne arme capable de tout parer, de tout préparer, d'être capable de moi-même tuer tout en étant de miel et de rêves. Etre à l'image de cette sombre créature venue de la mer d'encre, laisser la dernière pensée de ma victime comme la plus douce des illusions. Oui c'était dur, je ne vais pas vous le cacher mais telle une colonne vertébrale, je ne devais point faillir sinon, tout le corps allait céder, aussi brillant fût le cerveau des opérations, sans soutien, il se déverse sans contenant. J'avais droit à mes joies, mes premiers "amours", mes premières conquêtes... J'adorais tant embrasser des jeunes filles pour voir si je ne faisais pas brûler la même passion dans les yeux de leurs frères. C'était ainsi beaucoup plus simple pour ne pas tomber dans le piège de faire enfanter à une pauvre enfant tout en me délectant du secret d'un aîné passionné par ma hampe si désirée. Vous me trouvez immoral ? Mais c'est ainsi que se gère le pouvoir, dans les draps d'une personne, de celle qui va devenir la prochaine génération d'autres familles influentes de Lostrego ! Mes charmes ne sont que des armes de plus et mes vaines promesses le doux poison que mes amants de tous sexes aiment se délecter. Leurs parents ne leur ont jamais appris que la beauté vient toujours avec des pensées sombres ? Apparemment...non.

Et dans cette cacophonie que l'on appelle l'adolescence...notre famille rencontra celle des Harfang. Point liées par notre sang mais plutôt de nos victimes, nous étions complices, heureuse famille unie que nous étions au sein de la Main et je défie d'autres mortels d'avoir eu un jour un meilleur tableau que celui-ci. Nous nous savions si forts dans le secret que nous n'étions qu'une seule et même entité. Bien sûr, j'avais fait la connaissance de Kaafka mais je fus foudroyé sur place par la vision de son jeune frère comme l'agneau de sacrifice s'il avait eu le temps de voir la mort arriver. L'intime conviction d'être lié à une existence, vous savez ce que c'est ? Je ne saurai jamais si Candel fut mon premier amour mais très sincèrement...c'est le cadet de mes soucis. Je savais qu'il était exceptionnel, un trésor qui devait être porté plus haut. La terre ne semblait plus être un si bon endroit pour lui. Je me souviens clairement de mes paroles quand je l'ai vu la première fois...

"Si la chance coule bel et bien dans nos veines, je les ouvrirai pour vous."

Peu après notre visite, destin ou pas, l’œuf divin avait éclos et cela me confortait dans le champ d'Angelus dans ma tête. Un élu était enfin arrivé et j'allais le suivre où qu'il aille, épouser ses pensées et si possible, dans le plus heureux des hasards, les précéder. Mon frère me pensait complètement fou. Non, non, je n'avais jamais été aussi proche de la vérité, du cœur même de la volonté d'Arkhail ! C'était à moi de le servir et je réconfortai mon frère si peu désireux de faire partie de ce monde. Aurait-il dû hériter de mon nom si teinté de lumière que c’en devient encore aujourd'hui la cause d'une hilarité soudaine de ma part ? J'aimais profondément ma famille, j'adorais comme je craignais cet être qu'était Candel. Je ne me sentais pas élu mais apôtre sous son ombre grandissant chaque lune.

A mes 18 printemps, mon frère rendit mes parents plus amères. Il ne voulait point se plier à nos traditions. Grand bien lui fasse, chacun avait des sentiers à choisir et d'autres à abattre. En privé, je m'entretins avec eux, prouvant que je pouvais à moi seul préserver l'assurance de la pérennité de notre famille et qu'il n'y avait aucun danger à laisser mon frère jumeau dans la nature qui était apparemment désireux d'oublier cette part d'ombre qu'il ne pouvait plus supporter. Si déshonneur il devait avoir par son secret délié de sa langue, je promis de m'en occuper moi-même et ceci devant la Main entière.

Mon frère et moi eûmes une discussion sérieuse pour bien lui faire comprendre que la liberté avait un prix tout comme la servitude. Ainsi, pour le distraire et alléger son humeur, je lui proposai de tirer à pile ou face pour voir si la chance était de son côté. Pile, il règne, face, je prends les commandes. L'or et la chance furent de meilleurs orateurs que moi-même en ce temps-là et je scellai mes adieux dans une accolade avec lui, le laissant partir pour Aoun. A croire qu'où l'on aille, nous étions attirés par les dragons noirs de toutes formes : le venin de Lamia, le divin d'Arkhail et la force de Karathion.

Chacun avait ses prophètes qu'ils viennent des cieux, de la terre ou de la mer.

Alors que notre élu commençait son initiation à Lindorm, je m'entrainais à copier des voix masculines et féminines pour parfaire l'art du double jeu et ce n'est vraiment pas facile mais Ô combien divertissant ! Ainsi, je partis pour Aoun pour voir mon frère de loin sans que je me fasse remarquer avec mon déguisement de marchand et à Lindorm pour voir comment Candel évoluait. Vous l'avez remarqué, je prends soin de ma famille et quand je parle de ma famille, je parle aussi de la Main, nous sommes une très grande famille. Certes, des assassins mais nous nous aimons très fort, nous sommes solidaires car le monde, lui, réagit mal à nos actes et tant mieux sinon, nous ne serions pas utiles ! Enfin... Cela me faisait du bien de voir mon frère faire partie de ce village paisible et Candel s'adoucir au contact de personnes qui semblaient dignes de confiance. Surtout cette délicieuse Roroa, il faut l'avouer, mon Maître sait très bien choisir la perle rare. J'avoue en tirer une très grande fierté et ainsi, dans l'ombre, je m’éclipsai, le sourire franc aux lèvres.

En attendant, je fis connaissance avec la dragonne qui m'intriguait au plus au point. Il fallait dire que c'était une beauté exotique pour moi, venue des terres maudites de Noiroc et je me complaisais dans le fait qu'elle fasse tout ce chemin jusqu'à nous pour honorer ce pacte. Elle attisait ma curiosité, j'adorais la faire soupirer de désarroi, l'aguicher, l'énerver jusqu'à ce qu'elle me morde assez pour m’inoculer son venin qui me procurait des délices que seule la folie pouvait m'y faire accéder. Et cette dragonne riait à me voir me contorsionner, à voir mes reins s'agiter sans rencontrer de chair douce pour calmer mes ardeurs. Nous étions deux joueurs adorant la compagnie de l'autre.

Malheureusement, les accalmies sont plutôt brèves dans ce monde de chaos. Kaafka... Candel... Ses propres parents... Les Wyrms savaient être sauvages quand ils le voulaient, quelle dommage que je sois assez fourbe pour vouloir aller dans le nid de ces vers de terre pour être prêt à faire tomber le couperet de notre justice ! Non. Le Maître ne serait jamais mort mais j'avais mon idée, je ne pouvais m'empêcher de brûler de passion de mettre en place mon plan que mes propres parents avaient adoré. Nous devions aussi montrer certains signes d'instabilité pour aller de paire avec les Harfang et laisser libre champ à notre doyen. Ainsi, j'allai vers la côte, attendant patiemment ma douce aux écailles d'ébène pour lui proposer une alliance. Bien évidemment, elle me rit au nez, pensez-vous mais je lui promis plus de sacrifices, plus de chair de ma famille, plus de ma personne et plus de spectacle qu'elle n'avait jamais eu auparavant.

Et aussi une dernière chose. Quelque chose que Noiroc la Maudite ne pouvait lui donner.

Une famille, non seulement elle serait des miens mais aussi de la Main, la glorieuse Main éternelle car tant que la Mort serait une option pour les êtres mortels que nous sommes, Lamia ne serait que grandie dans nos ombres familières.

Lamia. Celle qui possède des lèvres rouges. Ainsi fut le nom que je lui ai donné. Un nom d'amante, de sœur, de mère... Oui, prenez-moi pour un fou, scandez votre dégoût... Je sens de là l'odeur sirupeuse de votre fascination devant cette passion dévorante et tordue entre elle et moi. Vous avez raison et vous pouvez continuer de respirer le souffle court jusqu'à la petite mort. Au contraire, cela m'honore...

Ainsi, j'embrassai la voie des Wyrms comme simple partisan et en renforçant leurs infrastructures grace à mon talent de machiniste, j'avais prouvé mon utilité, assez pour ne pas avoir de soucis avec ses membres. Et étant fils de bonne famille, même répudié publiquement, je présentais bien quand la trêve fut déclarée. Rien de tel qu'un bon verbe et de la prestance pour parler avec des Hauts-Dignitaires sans s'insulter.

Dans le plus grand secret, dans le sanctuaire de la Main, nous nous sommes mis d'accord sur le fait que notre Maître ne pouvait mourir comme ça. Pour ma part, j'avais l'intime conviction qu'il était vivant, aussi tangible que sa nature d'élu. C'est là où l'on reconnait une famille quand on en voit une. Par exemple, Morwen. Je l'adore malgré le fait que je sois un mâle et que par cet attribut, elle sera toujours sur la défensive confrontée à ma personne mais sa foi en la survie du Maître me comble de joie. Vous voyez ? Tout devait nous opposer et la Main fait de nous des membres d'une famille poursuivant les mêmes buts.

Même loin des miens que j'aime, je suis un homme comblé et heureux. Quoi qu'il advienne, je ne serai jamais seul et je ne laisserai jamais mes compagnons seuls.

Il est grand temps de trouver notre Maître adoré et que je retrouve cette magnifique Reine qui s'est mise en danger car je doute que Maître Candel soit heureux de voir que nous l'avons laissée partir sans se soucier de sa vie quand on le retrouvera.

Maintenant, si vous pouvez m'excuser, je suis un homme occupé et Lamia vous fait de l’œil depuis tout à l'heure alors...

*Lucien caresse la peau de Lamia et la dépose sur son captif Wyrm*

Je vous félicite, vous aviez vu juste, camarade ! Je suis bel et bien un traitre. Quel dommage que personne ne retrouvera plus votre corps... Il y a tellement de dangers que Mère Nature lâche avec complaisance...

Ma déesse aux lèvres rouges, il est tout à toi... Mais il ne faut pas traîner...

*Lucien sourit comme un gentilhomme en regardant sa dragonne se nourrir*

✘ Pseudo Internet : Akatane
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? Je suis Riheb et j'ai décidéééééééé...take two ! =3
✘ Le Code : Validé.

✘ Nom : Lamia
✘ Surnom : Plein de jolis noms d'amour.
✘ Âge : 400 ans
✘ Type : Eau
✘ Don qu'il vous a légué : Masque mortuaire des eaux de Noiroc, l'invocation de ces eaux permettent de prendre l'apparence de quelqu'un qu'on a touché auparavant mimant parfaitement la peau humaine. Idéal pour des missions d'infiltrations
✘ Nation d'origine : Noiroc

Un mètre 58 seulement. Vous pensez que c'est une raison de la sous-estimer ? Non. Elle vient de Noiroc, des tréfonds de Noiroc car pour trouver des nappes phréatiques là-bas, il faut creuser d'où ses ailes qu'elle n'utilise que temps en temps afin de prendre son élan et s'attaquer à sa proie pour la manger tranquillement dans son coin. C'est un vrai prédateur au poison foudroyant, un des secrets de la famille Sadalsuud. L'idée qu'elle s'allie un jour avec un mortel de cette famille était improbable mais apparemment, Lucien et ses idées perfides ont fini par la faire céder, la liant à jamais à cette famille. Elle ressemble à un serpent ailé mais une simple morsure peut vous faire délirer et vous plonger dans une fièvre endiablée qui vous tuera sans le remède adéquat. Autant dire qu'un sérum contre le poison d'un dragon de Noiroc ne court pas les rues.

Sinon, elle est sévère, patiente, perfide et dangereuse. Un vrai jumeau maléfique d'un dragon d'eau normal.

Apparemment, elle n'a pas l'air d'être territoriale en ce qui concerne Lucien, persuadée de l'avoir sous son emprise. Lucien est très tendre avec Lamia, peut-être trop mais vaut mieux pas que vous assistez à une accolade amoureuse entre eux, vous risquez d'être choqué et le duo trop satisfait de leur effet.