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Two steps from Hell, Morwen O'Shanahan.

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Assassins
+ Date d'inscription : 04/09/2014
+ Messages : 1368
+ Orbes + Orbes : 569
+ Âge du Personnage : 27 ans.
+ Poste occupé : Assassin de la Main, criminelle de guerre recherchée.
+ Nom du dragon : Nerviskah.
+ Type de Dragon : Terre
+ Le Don légué : Armure d'écorce.
Morwen O'Shanahan
Morwen O'Shanahan
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Message Two steps from Hell, Morwen O'Shanahan. I_icon_minitimeJeu 4 Sep - 20:46


Morwen O'Shanahan
"Hé... tire sur mon doigt."
Nom : O'Shanahan.
Prénom : Morwen, signifiant "enfant de l'Amour" en Kevii.
Surnom : "Moe" ou "Momo" pour ses compagnons.
Âge : Vingt sept ans.
Groupe : Civils.
Nation d'origine : Née au village de Dwem, en Terreclaire, de l'union fugace d'une lavandière Kevii et d'un marchand Saabi de passage.
Métier : Assassin et criminelle de guerre recherchée.
Arme : Un katana et un tetsubo, selon ses envies.
Ce qu'on dit de Moi
Physique: Morwen est une petite bonne femme qui dépasse à peine un mètre soixante et une corpulence plutôt plantureuse, mangeant comme quatre sans l'ombre d'un complexe. En effet l'on peut dire que pour être décomplexée, Morwen l'est. Portant les cheveux longs aussi noir que la nuit et se vêt absolument sans recherche et de manière plutôt provocatrice. Elle n'aime pas être gênée dans ses mouvements et cherche souvent des tenues pratiques et révélatrices, détestant porter autre chose que des pantalons ou des shorts. Ses grands yeux rouges rehaussent son visage rond encore un peu enfantin pourvue d'une très grande bouche aux lèvres extrêmement épaisses. La Kevii n'a cependant rien de mignon: ses paupières s’éversent vers le bas, lui donnant un drôle de regard amorphe et sa bouche énorme est souvent tordue en une drôle de moue sur un visage étrange et extrêmement mobile. Un gros nez en forme de patate complète ce drôle de tableau. Son corps est également couvert de cicatrices, preuves d'une vie aventureuse et dangereuse et elle a un tatouage sous le talon droit, représentant un symbole illisible: celui de la Main du Jugement. La brune est plutôt masculine et frustre, sans manière et ne cherchant pas à être quelqu'un qu'elle n'est pas. Sa voix est nasillarde et peu agréable, souffrant d'un problème de cloison nasale depuis petite suite à un nez cassé. Elle est forte et souvent tonitruante, grave au point qu'on peut parfois la confondre avec la voix d'un homme, notamment lorsque Morwen s'énerve. Elle a une cicatrice significative au visage partant de sa lèvre inférieure et allant jusqu'à son menton, discrète mais étant son plus beau trophée: elle lui vient de son récent affrontement avec sa Némésis, Bryne O'Cuinn.

Caractère: Morwen est une tête brûlée et une personne n'ayant aucune limite définie. Détestant du plus profond de son cœur l'ordre et la discipline auquel elle est incapable de se plier, d'une nature excentrique, égoïste et bizarre, la jeune femme est farouchement indépendante et souffre d'un besoin impérieux d'aller toujours plus loin dans ses agissements: elle vit par décharges d'adrénaline qui la poussent à faire de multiples expériences en contournant ou violant les lois ou les principes moraux qui lui déplaisent. En effet, on ne peut pas dire qu'elle est une personne raisonnable: Morwen part dans tout les sens et est uniquement guidée par son instinct et ses émotions. Être pulsionnel, profondément malsain et torturé, elle donne pourtant l'impression d'une fanfaronne ayant toujours un sale mot pour rire d'un humour gras et peu délicat, un peu comme elle; la brune est en effet un parangon de vulgarité et son vocabulaire fleuri ferait rougir de honte les pires soudards des bas fonds d'Orëa.

Le sexe et la mort sont les deux mamelles de sa vie chaotique, depuis très jeune: les besoins primaires de Morwen l'ont toujours guidée car ce sont pour elle des émotions sûres, tangibles et elle se conduit souvent comme une sauvage avec les autres, presque comme un animal. Rien ne la retient et elle n'a aucune limite, faisant tout ce qui lui plait bille en tête sans réfléchir aux conséquences. Il y a bien sûr des facteurs qui l'encouragent à se montrer plus prudente, notamment durant les missions, mais le fond de sa personnalité est celle d'un être excessif et constamment remué par ses pulsions: ce qu'elle veut, elle prend, et ce qu'elle ne veut plus, elle le brise pour que personne ne l'ait après elle. Cet aspect de sa personnalité vient du fait que Morwen est issue d'une famille extrêmement pauvre de mineurs et que durant sa jeunesse, elle n'a jamais rien possédé personnellement et n'avait pas d'amis. De son enfance martyre dans les mines, Morwen garde de profondes cicatrices qui la poussent à agir de manière brutale avec les autres et à voler plutôt qu'à demander.

Pourtant, Morwen a des qualités, en plus d'être une personne particulièrement émotive. Si elle manque particulièrement de finesse et de distinction elle a de la ressource et des idées: c'est une femme déterminée et d'une grande force de décision, bien que téméraire. La mort ne lui a jamais fait peur, ni celle des autres, ni la sienne. Elle se vexe rapidement mais ne se choque de presque rien et est franche et direct: on lit en elle comme dans un livre ouvert car elle n'a que faire des salamalecs ou des tricheries, aimait aller droit au but un peu par paresse intellectuelle. Elle est optimiste en général, surement un peu trop et de manière illusoire et aime prendre la vie comme elle vient, s'amuser et passer du bon temps avec ceux en qui elle a confiance; elle peut faire une bonne amie, pour peu qu'on accepte son humour douteux et relativement sale, et est fidèle en amitié et relativement égale: elle ne revient pas sur ses décisions, ni sur ses amitiés. Mais ses passions sont nombreuses, tumultueuses, tragiques et infinies: Morwen a l'art du mélodrame, sans vraiment s'en rendre compte. Elle est rapidement obsédée par les femmes qui lui plaisent et celles qui refusent ses avances subissent en général un sort peu enviable. Tuer est un hobby et une passion pour elle, qui apprécie d'échafauder des plans pour piéger ses victimes, de les suivre et de les traquer; elle est un fier membre de la Main du Jugement et aime remplir ses missions comme il faut, malgré sa nature impétueuse et imprudente.

Ses épisodes psychopathiques - car on peut aisément la définir comme psychopathe - l’entrainent dans un mode de vie criminel et instable. N'ayant aucune notion du bien et du mal ni même de sang-froid, une expérience affective insuffisante et un style de vie impulsif et irresponsable, encouragée par ses psychoses, Morwen a estimé que le monde entier était son ennemi et doit s'en défendre dès quelle se sent agressée. Son mode de pensée comprend un aspect tout personnel de la survivance et de l'amusement : égocentrisme, domination physique, absence de culpabilité, tendance à blâmer autrui et toujours se trouver des justifications. Elle agit uniquement par pulsion et se retrouve incapable de se contenir la plupart du temps, absolument intolérante à la frustration ou à l'angoisse par exemple, prenant ce qui lui plait comme si tout lui était du. Sa relative faible intelligence et son absence totale de peur complètent ce triste et terrible tableau. Constamment à la recherche de sensations fortes, la brune est pourtant incapable de comprendre que son attitude fait souffrir autrui; sa notion à l'autre est extrêmement superficielle, héritée d'un passé d'enfant martyr et mal aimé. Elle a une peur irraisonnée à l'idée de devenir adulte et le désir associé de rester enfant, étant une adulte infantile intolérante à la frustration et uniquement guidée par ses envies et désirs.
Écoutez mon Histoire
Il est des enfants couvert de crasse qui ne connaissent pas la chaleur de leurs parents. C'est le cas d'une fillette sauvage éduquée par son grand-père à coups de manche de pioche et de ceinture dans un village perdu aux abord de Terreclaire, Dwem. L'homme avait été mineur toute sa vie, extrayant la plus pure émeraude pour aider à la construction des temples des Arbres-Pères. La petite était née d'une union fugace entre sa fille et un marchand Saabi de passage et l'accouchement lui prit sa fille, lui laissant un bébé sur le dos. Il maudit dès les premières secondes de vie cette créature qui avait tué sa fille et que cette dernière avait prénommée Morwen, "enfant de l'Amour", durant son dernier souffle. Le destin peut être une ironique sorcière parfois, considérant la vie sans amour que connue l'enfant. Il ne prit jamais vraiment la peine de l'éduquer si bien qu'à sept ans, elle ne savait ni lire ni écrire et parlait à peine; cet âge révolu, il l'emmena avec lui dans les profondeurs de la mine pour qu'elle travaille avec les autres, malgré son jeune âge: si elle pouvait tenir une pioche, elle pourrait servir à quelque chose. Il la remerciait alternativement avec de la nourriture et des coups, selon ses envies.

Ce fut au détour de quelques couloirs souterrains que Morwen découvrit une étrange petite créature effrayée, au pelage d'un vert étonnant. Ignorant ce que c'était, elle voulut s'en approcher mais la bête lui mordit la main et l'enfant détala en hurlant, si bien qu'elle fut reçue par une volée de baffe par son grand-père non loin. Elle ne dit pourtant rien de ce qu'elle avait vu, prétextant s'être cognée. Il ne fallait pas en parler parce qu'il y avait fort à parier que si son grand-père trouvait l'animal, il le tuerait en le pensant nuisible. Alors, inlassablement, chaque jour, la fillette essaya de s'approcher de ce qui semblait être un bébé dragon, lui laissant de la nourriture volée ça et là dans le village. Affamé, il accepta d'être approché pendant qu'il mangeait et après deux mois à l'apprivoisé, Morwen put toucher la fourrure courte et soyeuse du dragon et même lui parler un peu. Perdu, déboussolé, il n'osait pas sortir de son trou dans les mines et tremblait de peur à l'idée de quitter sa cachette. La petite fille parvint à le convaincre de se laisser cacher chez elle, malgré toute la peur qu'elle avait de son grand-père: elle avait rencontré son premier et seul ami, et il y avait quelque chose entre eux qui s'était formé, un lien inaltérable. Même Nerviskah, le dragon, le ressentait: ils étaient nés la même année, le même jour. Convaincus d'être des âmes sœurs, ils décidèrent que peu importait les difficultés, on ne parviendrait jamais à les séparer. Des promesses d'enfants.

Mais le jour arriva où leur promesse fut mise à l'épreuve: le grand-père de Morwen découvrit Nerviskah caché dans une malle, alors qu'il était rentré plus tôt d'un voyage en Orëa pour vendre des émeraudes. Saisissant le pauvre petit dragon à la gorge de sa poigne de fer, la fillette de douze ans essaya par tous les moyens de le dissuader de tuer son ami. Elle pleurait, acceptait les coups de pieds et revenait toujours à la charge, suppliant son grand père qui faisait la sourde oreille; prise finalement d'une peur primale et d'un profond désespoir, elle fondit sur lui et ils tombèrent dans les escaliers. Son grand-père se rompit le cou net et Morwen évita la mort grâce au corps musculeux de son tortionnaire qui amortit sa chute. Elle secoua et appela longuement son grand-père, désemparée, se sentant soudain extrêmement seule même si Nerviskah était en vie. Son grand-père était mort par sa faute et même s'il ne l'avait jamais aimé, même s'il la battait comme plâtre... elle n'avait que lui comme parent. Délaissant le corps, elle vola sa bourse et quelques émeraudes et fuit le village de Dwem l'heure qui suivit, nuitamment, pour s’enfoncer dans la forêt de Druham, Nerviskah lové tout contre elle. Tous deux tremblaient de peur; ils n'étaient que des enfants, encore. Des petits livrés à eux-mêmes.

Ils vécurent dès lors dans la forêt, en parias. Morwen priait les Arbres-Pères pour obtenir leur protection... combien de temps tiendraient-ils? Nerviskah chassait de petites créatures et Morwen cueillait des fruits, apprenant à distinguer ceux qui faisaient vomir de ceux qui semblaient bons un peu au petit bonheur la chance. Ils furent souvent malades et ne mangeaient jamais à leur faim mais étrangement, les prédateurs les évitaient. Peut-être avaient-ils réellement la protection des Arbres-Pères? Jamais ils ne le surent. Après quelques semaines de ce régime, une bande de braconniers trouva la fillette et son dragon et l’emmena de force histoire de "la ramener à la civilisation". Elle tenta par plusieurs fois de s'échapper mais ils la rattrapaient toujours... elle détestait tellement les adultes... les braconniers lui prirent sa bourse et ses émeraudes et la balancèrent dans un orphelinat sordide d'Orëa, la capitale Kevii, l'appelant "l'enfant sauvage" car elle n'avait jamais ouvert la bouche autrement que pour grogner. Encore une fois, on sépara Morwen de son dragon mais ce dernier, n'avait pas dit son dernier mot, malgré son jeune âge. S'il y avait un moyen de retrouver Morwen, Nerviskah le trouverait. Le dragon partit dans la ville, se jurant de revenir.

Trois ans plus tard, alors qu'elle refusait de parler et d'apprendre à lire, qu'elle ruinait ses matelas et les affaires des autres enfants et qu'elle essayait par tous les moyens de s'enfuir, quelqu'un vint chercher Morwen: c'était un membre de l'armée, accompagné de... Nerviskah. Il avait entendu parlé de l'Alliance et de Lindorm et revenait avec l'aide d'un militaire pour envoyer la jeune fille à l'académie si elle réussissait le test. trop contente de revoir son seul ami, la petite sauvage fut envoyé dans la jungle Kevii pour son épreuve de l'Alliance qui se passa sans la moindre blessure: les quelques semaines passées dans la sombre forêt de Druham lui avait enseigné quelques vagues rudiments de survie, mais assez pour s'en sortir. Elle incorpora l'académie militaire de Lindorm sas vraiment savoir de quoi il allait en retourner mais heureuse de pouvoir enfin rester avec son dragon sans qu'on cherche à les séparer: à présent, ils pourraient tenir leur promesse.

Elle fut une élève indisciplinée et catastrophique à Lindorm, toujours collée, toujours de corvées. Pourtant habituée au labeur physique, bonne en sport et se découvrant un intérêt grandissant pour le combat, la jeune fille ne supportait de se conformer à l'autorité, ni les railleries de ses camarades sur le fait qu'elle devait suivre les cours de mise à niveau pour apprendre à lire et à écrire. Constamment rabrouée par ses professeurs, on lui parlait souvent de la meilleure élève de la promotion Terra, Bryne O'Cuinn, que Morwen connaissait de nom. Enchainant les farces et les insolences, la jeune Terra aurait put mieux s'en sortir si elle ne s'était pas montré aussi sauvage, mais c'était dans sa nature: elle détestait les adultes et ne désirait que leur faire des problèmes, quitte à s'en faire aussi. Elle se battait aussi souvent qu'elle oubliait de rendre ses devoir, mais se montra étonnamment bonne dans les disciplines physique si bien qu'elle obtint tout de même son diplôme pour devenir soldat de l'Escadron des Lianes Terrestres.

La discipline, et plus particulièrement militaire, n'étant pas son fort, Morwen fut souvent réprimandée et mise à pieds par son capitaine, assez débonnaire pour lui laisser de multiples secondes chances. Mais lorsqu'au bout de sa troisième année de service ce dernier fut remplacée par une tête connue de l'académie - Bryne O'Cuinn - les choses dégénèrent. En effet la jeune capitaine était bien moins laxiste que son prédécesseur et elle décida que la place d'un élément aussi téméraire et indiscipliné que Morwen n'était pas dans un escadron l'élite. Se sentant affreusement humiliée et agressée, Morwen fondit sur son capitaine malgré les avertissements de Nerviskah. Elle raconta aujourd'hui que ce fut un duel, mais en réalité elle ne chercha qu'à fermer son clapet une bonne fois pour toutes. Et même si le combat était assez égal, ce fut la capitaine qui mit la brune au tapis, l'envoyant au trou pour insubordination et tentative de meurtre. On dépêcha un tribunal de guerre et nul doute, vu tous les témoins, qu'elle serait surement pendue haut et court avant la fin de l'année, à moins qu'elle ne finisse ses jours en prison. Avoir vécu vingt quatre ans, ce n'était déjà pas si mal...

Cependant un soir, un homme vint dans sa cellule, laissant la porte grande ouverte. Il lui dit de le suivre et de ne pas poser de question si elle voulait vivre. trop contente de s'échapper dans un espoir de vengeance, Morwen suivit à la lettre le plan de l'inconnu qui la sortit seul d'une prison d'état; c'était un étrange dragonnier de Foudre chevauchant un dragon plus noir que la nuit. Candel Harfang, le Maître d'une guilde d'assassins mieux connue sous le nom de "Main du Jugement". Ses débuts y furent difficiles comme l'on s'en doute mais Candel et le doyen Haalu eurent l'intelligence d'apprendre à comprendre cette femme qui se refusait à l'autorité brute; elle trouva ce qu'elle n'avait jamais eu, une famille et apprit à en respecter les membres. Et même si elle resta toujours aussi fanfaronne, elle découvrit la satisfaction d'une mission bien mené, le plaisir d'apprendre à traquer et à piéger. Elle s'affina, petit à petit, jusqu'à devenir réellement adulte. Et pourtant en elle émergea une sombre obsession pour cette ennemie plus intime chaque jour, qui hantait ses rêves et ses cauchemars dans un maelstroms d'émotions contradictoires; du désir, des pulsions; la mort et le stupre mêlés, cette envie de prendre, de souiller: la vie, le corps de Bryne. De la réduire à une simple chose dont on dispose avant de lui ôter la vie.

Les méandres de ses fantasmes malsains serraient ses viscères de jours en jours toujours un peu plus fort. Penser à Bryne la rendait folle de rage, et elle ne rêvait que de se venger. Même le doyen Haalu ne sut réprimer cette sombre passion qui poussait Morwen a entrer dans de profonde crises de nerfs ou des épisodes abusifs sur les femmes qu'elle devait assassiner. Personne ne l'avait jamais aimé à part Nerviskah, et elle n'avait jamais compris comment se faire aimer des autres. Ce fut là le résultat de sa vie dissolue, de cette amertume hérité de son enfance. Ce qu'on refusait de lui donner, elle devait le prendre aux autres. Craintive des hommes, Morwen préféra tourmenter les femmes, profondément repoussée par la gent masculine. Nerviskah se tourmentait de jour en jour sur la santé mentale de sa dragonnière, essayant de la raisonner: peut-être fallait-il qu'elle tue Bryne O'Cuinn pour de bon pour pouvoir passer à autre chose. ces femmes ne méritaient pas de souffrir et même si Morwen le savait pertinemment, elle ne parvenait pas à retenir ses pulsions et ses accès de colère. Cela avait commencé avec Bryne, et cela terminerait avec elle...

Lorsqu’on annonça aux membres de la Main du Jugement la disparition de leur maître, Morwen fut parmi les rares à ne pas y croire: Candel était aussi rusé que fourbe et elle pensât qu'il était caché quelque part, se faisant passer pour mort. Mais l'attente se fit longue et le doyen Haalu envoya rapidement des équipes chercher le maître... chacune revint bredouille. Pourtant Morwen, tout comme deux de ses condisciples, Lucien et Damon, étaient persuadés que le maître était toujours en vie. Tout en menant leurs missions actuelles à bien, chacun cherche des informations sur la position de Candel, n'hésitant pas à faire route ensembles dans l'espoir de le retrouver...
Et Vous ?
Pseudo Internet : Basterd, ça ne change pas.
Comment avez-vous connu Lindorm ? A cause de VOUS! ♥
Le Code : Validé.


Dernière édition par Morwen O'Shanahan le Lun 29 Juin - 19:31, édité 105 fois
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Message Two steps from Hell, Morwen O'Shanahan. I_icon_minitimeJeu 4 Sep - 20:46


Nerviskah-Rankarana
"Tu ne m'enlèveras pas de la tête que c'est une mauvaise idée... mais fais-le si tu veux, je m'en moque."
Nom : Nerviskah-Rankarana, s'écrivant en réalité "Nrvnqsr" en ancien Kevii.
Surnom : Nero, prononciation directe de "Nrvnqsr".
Âge : Vingt sept ans.
Type : Dragon Végétal (Terre/Lumière).
Don qu'il vous a légué : Armure d'écorce vivante:
Grâce à son don, Morwen peut recouvrir sa peau d'une sorte d'écorce très dure formant une armure partielle ou totale selon son choix, permettant de parer du bras comme de se recouvrir complète de la tête aux pieds. Ce don est plus puissant qu'on ne pourrait le penser, lui permettant d'encaisser vigoureusement d’impressionnantes attaques élémentaires de toutes sortes, étant cependant vulnérable au feu. Ce don peut aussi avoir une fonction offensive si Morwen l'utilise sur ses poings ou pieds pour former des sortes de "poings-enclumes" en écorce et racines. Si son don est relativement efficace et la rend très résistante aux dégâts, il la ralenti considérablement lorsqu'elle est en mode "armure complète".
Nation d'origine : Keven, jungle de Jergath.
Sa Description
Nervikah est un dragon de relative petite taille - environ un mètre quarante au garrot - au corps souple et alerte, capable d'une très grande flexibilité. De la tête à la base du torse, il est recouvert d’une épaisse fourrure d'un vert clair et sa gueule serpentiforme est pourvu d'une langue bifide, tandis a base de ses pattes à coussinets est pourvue de ventouses ressemblant à celles de certains lézards arboricoles lui permettant de s'accrocher aux surfaces naturelles. La charpente de son corps est un mélange de félin et de serpent, particulièrement véloce et agile, capable de se tordre dans tous les sens sans efforts, de s'enrouler sur lui-même et de courir à très grande vitesse. Le reste de son corps dispose d'un court duvet blanc doux et soyeux, fait pour les hautes températures et se termine sur une queue préhensile qui contrebalance efficacement son équilibre. Sa gueule est étrange, le mufle long et dur sans truffe et ressemblant plus à un bec d'oiseau et le haut de son crâne est pourvu de quatre organes sensoriels monoliformes semblables aux antennes des insectes; elles lui servent pour le sens, l'odorat, le toucher et le goût, grâce à la présence de sensilles et sont extrêmement précises dans leurs sensations.

Il a trop souvent tenté d'être la "voix de la raison" de sa dragonnière et cela l'a visiblement usé: Nerviskah est un dragon grincheux et désabusé, n'ayant ni foi en l'Humanité, ni en sa propre race. Ayant un fort caractère, il est n'est cependant pas mauvais de nature et n'aime pas la violence, préférant souvent la fuite. Pourtant, il est cynique, ne semble s'étonner de rien et passe son temps à se plaindre et à mettre les gens en garde sur tout et n'importe quoi. Il a envie de baffer sa dragonnière les trois quart du temps mais qu'on ne s'y trompe pas: vous n'avez pas intérêt à toucher à sa dragonnière ou Nerviskah pourrait bien devenir une vraie furie: il n'a plus qu'elle, et elle n'a plus que lui. Le dragon voit son univers ainsi: Morwen et lui; les autres ne comptent pas. Individualiste et opiniâtre, Nerviskah ne viendra se porter au secours de personne, et surtout pas des victimes de Morwen. S'il a du mal à la raisonner, il est cependant la seule créature capable de calmer à court terme la jeune femme lorsqu'elle est en pleine crise de nerfs et nés le même jour, la même année à la même heure, ils sont ce qu'on appelle de vraies âmes sœurs: le Lien s'est imposé de lui-même et Morwen est réellement la réincarnation du frère de Nerviskah dans une autre vie et rien ne saurait jamais les séparer. Ils dorment ensemble, lézardent ensembles au soleil et Morwen a tendance à le caresser comme un chat quand elle se sent mal. Leur lien est plus tendre qu'il n'y parait, et Nerviskah fait son possible pour protéger cette fille étrange et sauvage qui compte plus que tout pour elle même s'il pourrait la baffer... Nerviskah ayant été abandonné par ses parents tout petit et Morwen étant orpheline, les deux se considèrent comme frère et sœur, s'appelant mutuellement "frangin" et "frangine".


Dernière édition par Morwen O'Shanahan le Sam 21 Fév - 12:13, édité 13 fois
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J'aime beaucoup ta fiche, ma p'tite sœur de la Main ♥

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Vous êtes également vivement invitée dans le flood ! Vous verrez, nous ne mordons que sur demande.

Amusez-vous bien parmi nous !
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