✘ Nom : Clarwell
✘ Prénom : Xilness
✘ Surnom : Demi-portion, petite créature, microbe, vermine... (De la part de son dragon)
✘ Âge : 25 ans
✘ Groupe : Civil
✘ Nation d'origine : Narthan
✘ Métier : Tueur à gage
✘ Arme : Ses poings renforcés grâce a des gants avec des plaques d'acier.

Spoiler:

Apparence: Xilness a les cheveux noirs ainsi que des yeux vairons, un oeil violet et l'autre pourpre depuis l'Alliance avec Drök, le dragon de lave. Il a un corps bien développé et musclé, la peau légèrement mate, il mesure dans les un mètre soixante dix-huit. Des cicatrices de toutes les tailles et formes sont sur son corps. Le seul endroit non touché est son visage car il trouve que son beau visage doit rester intact pour attirer les femmes.

Psychologiquement: Sadique, cruel, égocentrique, râleur, insocial, belliqueux, hargneux, imbu de lui-même, très fier, grognon... Ce sont les mots qui le qualifie le plus. Pour lui, personne ne lui est supérieur, ce sont tous des sous-fifres qui ne servirons qu'a son propre intérêt et rien d'autre. Il n'hésite pas a dire ce qu'il pense, il insulte a tout va, ne respecte personne a part lui. Il n'hésite pas a se servir de la faiblesse des autres s'en servir comme arme afin de les faire souffrir et ensuite, en tirer du plaisir. Il adore embobiner les femmes pour pouvoir coucher avec et ensuite les traiter comme des moins que rien et partir. Il est sûrement sur la liste noire de beaucoup de femme...

Niveau vêtements... Il a pas de préférence. Xilness aime bien quand c'est sombre. Il exhibe ses cicatrices en signe de provocation. Comme si il disait ouvertement: "Ceux qui m'ont touché ont pas vécu assez longtemps, ils n'ont eu que le temps que de me blesser !"

Généralement il porte un plastron en métal recouvrant son torse, en dessous, une tunique en coton gris - du moins, ce qu'il en reste - protège sa peau du frottement de l'armure. Le plastron a un moyen d'ouverture sur le côté droit au moyen de ceintures de cuir. L'épaule droite n'a pas de bretelle en métal articulé tandis que l'autre côté oui. Ce qui facilite le déshabillement. Il porte un jean bleu foncé, nuancé de noir. La ceinture du jean est rattachée a plusieurs autre ceintures de cuir collée entre elles côte à côte, partant du milieu devant, passant sur le côté gauche, finissant dans le dos, reliées par une autre ceinture en cuir sur le côté ainsi qu'une autre partant a l'opposé. Il porte toujours une longue cape déchirée aux extrémités en tissu lourd et épais noir. Il a des chaussures en tissu avec des bandes de cuir passant dans le creux des pieds ainsi que des plaques de métal à l'avant et l'arrière des chaussures. Ce qui permet de faire très mal quand il donne des coups de pieds.

C'était par une belle nuit d'été, a l'Ouest de Nelhora à Narthan, dans une maison miteuse, une femme aigrie, maigre, les cheveux bruns, ayant des yeux marrons cerné, couchait ses enfants. Elle s'appelait Katherine. Mère célibataire, a voir son caractère il n'était pas compliqué de comprendre pourquoi son ex mari était parti avec une autre femme... Les deux marmots couchés, elle se posa sur son siège qui grinça sous son poids. Une pelote sur ses genoux, ses lunettes minables sur le bec, elle tricotait un napperon. Un silence de paix régnait dans sa demeure, il fut interrompu par un tambourinement sur la vieille porte de hêtre. Ce boucan fit sursauter la femme. Elle fixait la porte, hésitante. Elle empoigna un couteau qui traînait sur la table du salon et s'approcha avec lenteur jusqu'au pas de la porte. La femme ouvrit à la personne.

Une femme était appuyée contre la porte, visiblement mal en point. Elle était plutôt grande même si elle était assise. Ses longs cheveux blonds étaient parés de plumes de différentes couleurs, sa peau était mate. Elle était vêtue pauvrement et était pieds nus. Son corps était parfaitement proportionné et musclé. C'était une Roroa, aucun doute. Cette dernière était maculée de sang et semblait faible au possible. La femme aigrie voulait la laisser mourir sur le pas de la porte, voulant éviter des ennuis avec ce peuple barbare mais, quelque chose attira son attention. Un ventre aussi rond qu'un ballon de baudruche attira son oeil. Les yeux noirs de la blessée pénétraient dans ceux de la femme ne laissant passer aucun sentiment. Elle n'avait pas l'air de ressentir la moindre douleur, son expression était impassible. Malgré toutes ses contradictions, la femme aigrie aida la Roroa a pénétrer dans la maison, réussit a lui faire gravir les marches et l'installa sur son lit. Dieu qu'elle était gravement blessée ! La Narth entrepris de nettoyer les blessures. Elle commença son travail quand, d'un geste brusque, la blessée stoppa net le bras de son hôte en serrant le poignet avec force. Prise de panique, la femme brune s'apprêta a empoigner son couteau caché dans les pans de sa jupe quand, elle fut aussitôt découragée en ressentant l'incroyable poigne de son ennemie. La femme blonde ne parlait pas mais fit bien comprendre que dans son ventre, le bébé s'activait et tout ce qu'il comptait pour elle était que son petit naisse. Les contractions avaient commencé depuis longtemps mais la Roroa montrait une telle impassibilité qu'il était impossible de savoir si elle avait mal. Le travail commença, durant des heures et des heures, la guerrière crispait sa mâchoire, tentant de dissimuler sa souffrance.

L'aube pointait son nez quand un pleur de bébé résonnait dans toute la vieille maison et réveilla les deux fils de la femme brune. Cette dernière enveloppa le nouveau-né dans une serviette propre et chaude. Elle allait le rendre a sa mère quand cette dernière, un bras tendu, fit barrière. Ce geste était clair, la Roroa désirait que la femme aigrie garde le bébé. La jeune maman avait les traits tirés, ses yeux mi-clos, elle murmura avec un accent étrange:

"Clarwell... Le nom de son père est Clarwell..."

Ses yeux se fermèrent, son souffle disparut, elle était morte en paix. La femme brune secoua la dépouille en espérant la réveiller et savoir un peu plus sur ce Clarwell mais le corps resta sans vie. Katherine ne pu s'empêcher de ressentir un certain respect. Avec toutes ces blessures mortelles, la femme blonde avait réussi a tenir jusqu'à la naissance de son fils. Le lit était couvert de sang. Le bébé dans le creux de ses bras, elle dut se faire a l'idée que même si elle haïssait les Roroa, ces êtres bêtes et barbares, elle ne pouvait pas laisser mourir ce nouveau-né qui n'avait rien demandé.

Les années passèrent et le bébé devint grand. Il avait les cheveux d'un noir profond et ses yeux étaient aussi noirs que ceux de sa défunte mère, sa peau était mate mais pas autant que l'avait sa mère. Katherine le laissait s'éduquer. Elle le nourrissait et l'habillait mais refusait de s'attacher à cet être descendant d'une barbare. Elle répugnait les Roroa et se demandait encore pourquoi elle avait accepté d'aider la mère défunte. Le petit orphelin n'avait pas de prénom, juste un nom de famille: Clarwell. Katherine estimait que donner un prénom à un enfant était signe d'attachement. Ses deux fils, plus âgés que le petit Clarwell, chariaient sans arrêt l'orphelin qui, ce dernier, ne se laissait pas faire. Le plus âgé des frères s'appelait Mick et le cadet Doug. Ils avaient tous cinq ans d'écart entre eux. L'orphelin du haut de ses dix ans montrait plus de caractère que ses demi frères.

Plus les années passaient, plus la femme aigrie se rendit compte que tenir l'orphelin à l'écart des sentiments, de l'amour familial le rendait presque insensible, voire cruel. Ce quelle regrettait amèrement. Son ressentiment envers les origines du jeune homme qui était âgé de quinze an désormais, avait été absorbé par ce dernier et le transforma en un être plein de haine. Plusieurs fois elle l'avait observé, il battait a mort un animal innocent. Un monstre, il n'y avait pas d'autres mot. Plusieurs fois durant la nuit, elle essayait de l'assassiner, de mettre fin à la vie de cet être qui, sûrement serait incontrôlable un jour et pourrait faire le mal autour de lui mais, son visage enfantin, si pur, si innocent quand il dormait lui faisait baisser les bras. Elle ne pouvait pas se résoudre à détruire se fléau...

Le jeune adolescent, qui désormais vivait seul avec Katherine, les fils de cette dernière partaient faire la guerre ou, couards comme ils étaient, fuyaient la guerre. L'orphelin n'avait pas de prénom et ça le gênait, il voulait un prénom qui resterait dans les mémoires et inspirerait la crainte dans les coeurs. Il médita des heures, des jours, des semaines, passant par des noms ridicules à des moins ridicules. Il trouva enfin. Xilness. Ce prénom sortait du commun et avait pour lui, une connotation sombre... L'orphelin se précipita vers Katherine et lui affirma le menton relevé, fier que désormais elle devait l'appeler par son prénom, Xilness. Elle lui rétorqua que pour elle, le jeune homme resterait toujours un avorton. Il lui lança un regard dédaigneux et, faisant preuve de self-contrôle, décida de pas lui sauter a la gorge et fit volte-face, se dirigeant vers son cheminement favoris, près des volcans. Il se défoula sur tout ce qu'il trouvait, exprimant sa rage, il voulait tellement exploser la tête de Katherine contre un mur... Personne n'avait le droit de le traiter comme un moins que rien ! Et c'est là, qu'en lançant une roche volcanique plutôt lourde dans le vide, il entendit un fracas ainsi qu'un grognement. Il se tourna vers le bruit et vit un dragon qui avait l'air très remonté. La créature de lave avait des écailles semblable à la texture et la forme des roches volcanique. Cependant la couleur des écailles était brunâtre et était plus clair a certains endroits. Sur son ventre Des plaques semblables aux autres écailles avaient une couleurs rougeâtre, comme les membranes des ailes. La queue du dragon était imposante et le bout ressemblait a une massue rocheuse. La créature montra ses crocs, le cou arqué, il déployait ses ailes en signe de menace.

Xilness fit face à la créature. Le menton relevé, le buste droit, il montrait qu'il n'avait pas peur du dragon de lave. Ils restèrent là à se fixer jusqu'à ce que le dragon entama la conversation par télépathie.

"Stupide créature, crois-tu m'impressionner avec cette posture ? Ton caillou était de la provocation, je compte bien te dévorer et laver cet affront !"

L'orphelin serra les poings et sa mâchoire se crispa. Il grinçait des dents. Ce lézard, cette bestiole osait le prendre de haut !

"Essaie de me dévorer sale lézard, il y ait de forte chances que tu te goure et bouffe un caillou que tu prendrais pour moi !" Il avait crié si fort que sa voix résonna.

Le dragon avait l'air abasourdit, il ne s'attendait sûrement pas a ce qu'une crotte comme cet humain ait eu assez de cran pour se confronter a un être plus grand et plus puissant que lui.

Un silence pesa. Il fut brisé par un grand éclat de rire guttural venant du dragon. Comment un humain aussi petit et inoffensif pouvait avoir autant de courage ? Sans l'avouer, la créature appréciait cette partie de l'adolescent.

"Pourquoi t'éclate de rire sale bestiole ?! Je t'explose la tronche aussi facilement que si c'était du pain !" Hurla l'orphelin une fois de plus.

Le dragon s'arrêta de rire, approcha son visage près de son adversaire, les yeux plantés dans ceux de Xilness, son souffle aussi brûlant que les flammes caressaient la peau du jeune adolescent.

"Tu as du courage pour une si petite vermine, je te laisse la vie sauve pour le moment." Sur ces mots, le dragon de lave déploya ses puissantes ailes et s'envola délivrant une puissante bourrasque qui ne manqua pas de faire tomber le jeune homme. Visiblement très énervé, Xilness les poings serrés, fit volte-face et se défoula une fois de plus sur les premiers objets venus.

Les jours passaient. L'orphelin et le dragon venaient a se rencontrer très souvent. Leurs discussions étaient bien souvent des batailles injurieuses, des envois de pique... Mais malgré tout ce chaos, ils s'appréciait, ils étaient pas très différent hormis leurs apparence. Quand Katherine vit Xilness en compagnie d'un dragon, elle n'hésita pas a les envoyer a Lindorm, désirant se débarrasser du jeune homme et aussi, espérait que de la discipline chasserait toute cette amertume, cette haine qu'était constitué l'orphelin. Le jeune homme avait seize ans, l'âge requis pour aller a l'académie.

Drök et Xilness passèrent l'épreuve de l'Alliance avec brio et avec douleur.... Quand le sang du dragon et celui du jeune homme se mélangèrent, une douleur insupportable survenait au niveau des yeux de Xilness. Il avait l'impression que quelqu'un tentait d'arracher les globes oculaire par la racine. Son corps devenait brûlant, a un tel point que sa peau commençait a se désagréger pour se reformer et prenant l'apparence des écailles de Drök. Une fois les plaie refermée, les écailles disparurent laissant la place a l'épiderme. Sa peau était aussi résistante que du roc et quand il recevait un coup, là où l'arme a tenté de l'atteindre, les écailles apparaissaient, comme si elles sortaient de sous l'épiderme. Il pu reprendre le contrôle de lui-même et calmer la chaleur envahissante. Plus tard, il subit un choc. Ses yeux noirs profond avaient totalement changé. L'oeil droit était d'un violet foncé tandis que l'autre pourpre. Drök avait quant à lui, seulement les yeux pourpres, la pupille violette était spécifique à Xilness et aujourd'hui c'est toujours un mystère. Cependant, l'Alliance lui laissa un don très utile. Xilness avait la peau très résistante presque sur tout le corps mais ressentait la douleur après le coup sans être blessé. Les armes sont inefficaces sauf quand il est dans l'eau. Une fois au contact du liquide, ses écailles protectrices se dissoute et il est alors vulnérable comme tous les humains. Une fois sec, elles se reconstituent. En temps normal son ventre n'est pas protégé par les écailles, ce qui explique les nombreuses cicatrices. Il n'hésite pas néanmoins à exposer son point faible pour narguer ses adversaires.

Les années à Lindorm étaient plutôt paisible sauf les fréquentes bagarres que le jeune homme provoquait à la moindre insulte qu'il recevait. Lui se faire marcher sur les pieds ? Jamais ! Les filles l'intéressait peu même si elles le courrait après. Le plus souvent les cours théoriques, l'orphelin les séchait. C'était d'un ennui ! Il préférait de loin les cours pratique où il devait se servir d'armes et de ses poings ! Il fit toutes les années à la surprise de tout le monde, lui qui était tellement démotivé ! Il fit une année chez les Comètes de feu mais les attaques a distance et les armures ne lui plaisait pas. Être comme tout le monde, se fondre dans la masse, sans façon ! Se démarquer, sortir du lot, s'affirmer, s'imposer, c'était tout ce qui lui plaisait ainsi que sa liberté. Recevoir des ordres d'un "supérieur" ? Et puis quoi encore !? Personne n'avait le droit de lui donner des ordres.

Il vagabonda un peu partout, évitant de revoir Katherine la vieille aigrie, cette femme, il ne l'aimait pas et il ne voyait pas pourquoi il irait lui rendre visite.

Finalement il décida de devenir tueur à gage. C'était super pour lui, il était payé à faire ce qu'il adorait: tuer. Massacrer de pauvres villageois inoffensifs l'intéressait guère. Il aimait les challenges, il aimait que ses futures victimes se battent jusqu'à la mort car, bien souvent, il devait assassiner d'ex soldats, des déserteurs ou des militaires. Quand il devait tuer des Hauts dignitaires, il se servait de la ruse pour pouvoir faire cracher tout l'argent a sa future victime, l'assassiner et toucher en plus l'argent de son client. Avec son manque de "délicatesse", il avait tendance à se faire repérer quand il assassinait ses proies, ce qui, à cause de ses yeux uniques, lui a valu d'être recherché presque partout et était facilement reconnaissable. Il dû éviter les villes mais continuait a exécuter des contrats.

Du haut de ses vingt-cinq ans, il fit une halte à Waterfield, tandis qu'il achetait de quoi se soigner à un marchand ambulant, il vit du coin de l'oeil une jeune femme a la chevelure aussi blanche que la neige loucher sur la belle bourse en cuir qui bordait une de ses ceinture. Elle allait voler le trésor convoité quand, d'un geste vif, l'homme arrêta net la jeune femme dans son élan et la menaça. C'était Cyris Dynrelle. Plus tard ils furent "amants". Xilness ne voulant pas s'avouer qu'elle l'obsédait, il continua sa route avec, toujours une pensée pour elle qu'il refoulait aussitôt. (RP fan-fiction a venir plus tard).

Aujourd'hui accompagné de Drök, il sonde la planète exécutant des contrats toujours plus payants les uns que les autres, s'enrichissant de jour en jour et devenant le criminel le plus dangereux et le plus recherché. Vous pouvez obtenir ses services si vous avez une très forte somme. Enfin... Rien n'est garantis...

✘ Pseudo Internet : Arianta
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? J'ai déjà un perso
✘ Le Code : Validé Validé.

✘ Nom : Drök
✘ Surnom : Le lézard, vieille écaille, papy... (De la part de Xilness)
✘ Âge : Une bonne centaine d'année
✘ Type : Dragon de lave
✘ Don qu'il vous a légué : Armure de roc.
Xilness a en permanence une protection de l'épiderme sur tout le corps sauf le ventre. Quand il reçoit un coup, les écailles se matérialisent comme si elles sortaient de dessous sa peau et parfois bloquent l'arme, il ressens la douleur même si physiquement il n'est pas blessé. Il est quasiment invincible sauf quand il est dans l'eau. Les écailles se dissous quand il est dans l'eau, ce qui rend son épiderme aussi sensible qu'auparavant. Une fois sec, ses écailles se reconstituent mais restent invisible sauf quand il reçoit un coup. Son ventre est son point faible, ce qui explique les nombreuses cicatrices. Néanmoins il n'hésite pas à exposer son point faible pour montrer sa grande confiance a ses capacités et narguer ses adversaires.
✘ Nation d'origine : Narthan

Apparence: Mesurant quatre mètres au garrot et douze mètres de la tête jusqu'à la queue, Drök a une apparence impressionnante. Il est très musclé mais ses écailles semblables aux roches volcaniques brunâtre masquent sa carrure. De sous son cou jusqu'au bas ventre, des plaques identiques aux autres écailles de couleur rougeâtre donne l'impression qu'il porte une armure. Le bout de sa queue ressemble a une grosse masse rocheuse. Un humain sans armure se prend un coup et il meurt directement, un humain vêtu d'une armure survit mais peut avoir une paralysie. Sa tête est massive et arbore des "cornes" ayant la même texture et la même couleur que les stalactites. Ses ailes son puissantes et ont des membranes rougeâtres mais il est plutôt lent a cause de ses lourdes écailles mais reste néanmoins redoutable. Il résiste bien aux chocs mais l'eau reste sa plus grande crainte.

Caractère: Impulsif, fier, belliqueux, hargneux, colérique, imbu de lui-même... Il a quasiment le même caractère que Xilness a un détail près: Drök peut faire preuve d'une grande sagesse. Il adore montrer qu'il est puissant et n'hésite pas a parader pour charmer les ravissantes autres dragonnes !

Drök et Xilness se sont rencontrés quand ce dernier faisait exploser sa rage et sa frustration en balançant des rochers a tout va et le dragon se pris un roc dans la tête tandis qu'il faisait une ronde pour protéger son territoire. Il avait entendu des hurlements et se demandait si ce n'était pas un animal qui beuglait de douleur.

Drök est plutôt solitaire. Lui-même fut étonné de supporter Xilness. Ils se ressemblent beaucoup, c'est peut-être pour cela qu'il accepte la présence de l'homme. Les humains ? En temps normal il les dévorent quand ces derniers empiètent sur son territoire ! Les dragons ? Ils passe son temps a les provoquer et a se battre avec, voulant montrer que c'est lui le plus fort. Cependant, si il peut éviter de se confronter a un dragon d'eau... Il s'en porte pas plus mal ! Il aime bien satisfaire son désir avec les dragonnes qui sont toutes dingues de lui et de sa grande force !