✘ Nom : Stratton, née Odarnat.
✘ Prénom : Scatha.
✘ Surnom : Sunny. Cat'. Scathe'. Cata' aussi. Tata Sunny ou encore, l'experte en cuisine à base de poisson. Bref, je ne suis pas très regardante...
✘ Âge : 31 ans supposé désormais.
✘ Groupe : Wyrm.
✘ Nation d'origine : J'ai été élevée en Keven, mais j'ignore où je suis née et donc, ma nation d'origine. On suppose que c'est Waterfield ou Narthan...mais on ignore complètement la vérité finalement.
✘ Métier : Femme au Foyer ? Mon dieu que c'est perturbant comme phrase...Je suis un Soldat Wyrm, même si mon état actuel ne me permet pas de prendre pars aux efforts de notre groupe. Néanmoins, lorsque j'aurais retrouvé Philip, je verrais probablement à reprendre le combat pour notre liberté. Selon l'âge des filles.
✘ Arme : Ambidextre, je combat avec une dague dans chaque mains. Je sais aussi manier le harpon, pour la pêche, et l'arc pour la chasse. Mais ça, c'est plus des histoires de commodité pratique.

Le temps vous fait-il changé ? Physiquement, je ne pense pas. Mon visage est resté semblable. Mes muscles sont toujours là. Ma manie de portée des bijoux est inchangée. J’ai toujours les oreilles percées avec de l’aventurine en pierre. J’ai toujours ma précieuse chevillière que Grand-père m’a offerte à mes seize ans supposé. J’ai encore le collier ancien, précieux, qui est le seul vestige de mon sang et de ma lignée inconnue. Un jour, peut-être chercherais-je d’où je viens. Mais au final, je n’en ai cure car je n’ai que deux familles : mes filles et les Wyrms. Le père de mes filles ? Il est compris avec elles, mais aussi avec les Wyrms. Il est probablement le lien le plus important finalement…car c’est pour lui que j’en suis arrivé là. J’aimerai tant savoir s’il est encore de ce monde. Bientôt deux ans déjà…je me demande bien où tu es : Philip.

Ma peau est toujours aussi mate. Ma chevelure toujours aussi lisse et noire comme la nuit. Mes yeux sont toujours de ce vert profond. Et mon tatouage d’une ancre avec une vague et un mot signifiant « guerrier » dans une langue ancienne : toujours là. Mes abdominaux restent saillant sous l’effort. Mes muscles visibles en débardeur. Car j’ai entretenu mon corps. Car j’ai veillé à continuer mon entraînement. Mon cher frère de cœur, mon cher Izelvor, à mes côtés. Et je m’habille toujours des premiers vêtements qui me viennent, me fichant un peu de ces idées de « mode ». Préférant le côté pratique à l’esthétique.

Néanmoins, Izelvor et moi, nous nous sommes calmés. Avant, j’étais aguicheuse et un peu moqueuse. Toujours à vous prendre à contre pied. Maintenant, je reste calme et posée, analysant. Je suis devenue bien plus protectrice aussi, et je n’ai pas perdu mon côté stricte de quant j’étais instructrice. Avec mes filles, surtout Rozenn, c’est un fait important à souligner.

Au fond de moi, il y a une blessure béante. La peur pour ma famille. La guerre est désormais finie, mais elle m’aurait arraché l’homme que j’ai appris à aimer. Elle m’aura poussé à partir à sa recherche, emmenant ma fille avec moi. Ignorante alors que j’étais, de mon propre état. J’ai séparé Izelvor de sa tendre Sage, et je m’en veux pour ça. Alors, je me dois d’être forte et vaillante. Rozenn et mon autre petite ont déjà bien grandit. Même si avec ces histoires de visas, les choses vont se compliquer, je me dois de le retrouver. Mais comment m’y prendre, bloquée là où je suis ?

Au final. Si je souris toujours, la lueur de jeunesse fougue et innocente, pétillante, c’est quand même atténué pour s’assagir. J’ai grandit, et gagnée en responsabilité. Et cela ne me déplait pas. Veiller sur elles…c’était comme je veillais sur eux en leur enseignant. Au fond, je veux retrouver notre famille, revivre avec notre famille : au complet.

J’ai l’impression que ça remonte à loin tout ça. Je n’ai pourtant que la trentaine supposé ! Oh ? Pourquoi supposé ? Et bien, honnêtement, c’est car j’ignore mon année de naissance précise, et encore plus mon mois de naissance. L’ancien qui m’a trouvait, alors que j’étais la miraculée d’un navire ayant coulé, ne pouvait dire avec précision l’âge que j’avais…dans mon couffin de bois, qui en flottant, m’avait apporté prés de la plage sur laquelle il vivait.
J’ai grandit dans une crique isolée, du territoire de Keven. La crique pouvait rejoindre un village en passant par une épaisse forêt, mais peu s’y aventurait sur ce chemin. L’homme m’ayant recueillit, mon « grand-père », vivait en ermite depuis des années. Mais il me récupéra, et me nomma, en fonction de la couleur de mes yeux et de ma peau.

J’ai grandit heureuse prés de lui. Le village et ceux de mon âge en son sein me rejettant pour mes différences. Le comble eut lieu lorsque je rencontrais un jeune dragon de pas même une année. Izelvor. Le destin se mit alors en marche, et notre lien se construisit. Il était mon petit frère gaffeur. J’étais sa grande-sœur adorée qu’il voulait protéger.
Lorsque j’eu seize ans, nous avons voulu essayer l’épreuve. Grand-père nous avait confié le chemin pour nous rendre à L’Académie Lindorm afin d’être testé, et de passer cette épreuve. Nous voulions être liés à jamais, plus que de devenir des militaires. Alors, on a tentait l’alliance…pour finaliser notre lien de cœur.

Un échec…Notre premier essai se solda par un échec. Izelvor est d’un naturel paresseux et pantouflard…et, durant l’alliance, il n’en fit encore qu’à sa tête. Nous étions au niveau des terres du Nord. Il y faisait froid, mais je pensais que ça irait. Mais voilà, Izy’ ne pensait qu’à lui-même et à dormir. Il était jeune, tout juste onze année, et agissait comme un dragoneau capricieux !
Cela a faillit me couter la vie. J’en encore une cicatrice, au niveau de l’aine, de cet échec cuisant. Le fait qu’il m’est vue, en sang, presque agonisante…et que quelqu’un dû intervenir, cela lui remit du plomb dans la tête.

Beaucoup trop de plomb même…
Après que je fus guéri, nous avons retenté une seconde fois. J’étais confiante, Izel’ était motivé ! Mais l’idiot l’était tellement qu’au final…il me protégea à tel point que nos sangs ne se mélangèrent pas. Je le sentais effrayé, apeuré, à l’idée d’un nouvel échec…lorsqu’on se rendit à notre troisième tentative, nous étions à cran : tous les deux.
Au final…je crois que c’est son caractère que je n’aurais jamais put changer. Lors de l’épreuve, Izy devint comme fou de rage alors même que j’avais été blessé. Ce n’était pas grave, mais le fait qu’il avait perçu le son de ma côte qui s’était brisé et avait alors viré à la folie.

C’est la première et probablement unique fois où j’ai vu Izelvor fou de rage, incontrôlable. Je le voyais causer des ravages que je le pensais incapable. Et c’est caché dans un coin, nullement à l’abri, que j’entendais ses hurlements de fureur. Je pleurais…
Je savais, je savais que nous avions échoué. Je pleurais car je connaissais les Lois. Une nouvelle fois, il fallut intervenir : pour calmer mon frère de cœur.
Ils le blessèrent tant que j’hurlais qu’on le laisse. Je voulais le protéger, mais on m’empêcha d’approcher celui qui était mon frère. Larmes aux yeux, on nous sépara. Je fut renvoyé chez Grand-Père, le regard terne, le visage vide. Je pleurais comme une enfant dans ses bras. On venait de m’arracher une part de moi-même : mon frère, mon ami, mon allié, mon Dragon.

Je n’acceptais pas cette Loi stupide, alors, emmenant les rares biens qu’étaient les miens, je quittai les lieux sans autre mot qu’un « Merci » à l’ancien. J’avais alors, 18 ans à peine…et, de ce que je sais, mon « papi » est mort de vieillesse deux, trois ans après mon départ.
Je me suis exilée, simplement. Je n’ai jamais considérée Keven comme ma Patrie…et je n’ai jamais sût quelle Nation m’avait vue naître. Le Territoire, pour moi, était ma Nation tant que j’y avais ma famille : l’ancien et Izelvor.
Je le cherchais : en vain. Au fur et à mesure, j’entendais parler des autres exilés. Je me suis alors rendu compte que depuis une année que je voyageais, je n’avais jamais fait attention au fait que je ne pouvais pas être la seule à refuser cette Loi, cette privation, cette perte.

Alors, je me mis à leur recherche. Et à force de fouiner, je les avais trouvés. J’avais 19 ans, et je découvrais les Wyrms en vrai. Pas en rumeurs. Malgré l’absence de mon dragon, je vins à demander de les aider. M’engageant dans leur armée pour apprendre à combattre. Ne voulant plus vivre ça, ne voulant plus que d’autres le vivent !
Un an plus tard, je retrouvais Izelvor. Et nous nous sommes liés. Notre instructeur se révéla être Philip Stratton, alias Fost. A cette époque, ce n’était pas encore le chef des Wyrms…et encore moins mon amant ou compagnon de vie. Lorsqu’il termina ma formation, c’est peu après que les choses évoluèrent. Il devint le chef qui nous unifia, Douglas McCallan, alias Fried, devenant son bras droit.

Moi ? Je fus combattante même si on m’avait proposé d’être espionne. La discrétion d’Izelvor ne me permis pas de prendre ce risque. Non, je devins instructrice. Ayant l’enseignement dans les veines, d’après la majorité.
J’avais 27 ans quand je commençais à me rapprocher de Philip. Ce n’était qu’une relation physique au départ, mais cela devint bien plus avec le fait que j’étais enceinte, et que la guerre débutée.

Interdite de champs de bataille, je me fis stratège et instructrice. Je n’avais pas le droit d’aller en première ligne à cause de la vie que je portais. Mais pour cette même vie, je voulais que cette guerre se finisse avec notre liberté. Avec le droit, pour nous, de vivre sur le Territoire comme quiconque ! Avec la liberté, pour les générations futures, de vivre avec leur Dragon même si l’épreuve échouait ! Ce désir m’habite encore aujourd’hui d’ailleurs.
C’est lors de l’année 1566 que les choses commencèrent à mal aller. Les tensions au sein des Wyrms étaient à leur paroxysme. Des courants de pensées se heurtant, Douglas ayant disparu après la bataille de Juillet 1565 qui avait valu la mort de ses parents.

Cela faisait une année que j’avais pris le statut de Bras Droit, malgré qu’au départ je n’étais pas très « chaude » pour cela. Eduquant Rozenn et formant aux batailles les nouveaux, je vis ces dissolutions internes. Ces débuts de séparations, et Philip qui était bien trop loin dans les Territoires, en première ligne, pour m’aider à gérer cela !
Démunie ? Probablement, oui. Mais l’attaque sur Bethleas fut décisive. Nous avons été attaqués par un escadron d’élite conjoint. Il y avait des dragonniers de vent, de foudre, de feu, de terre, d’eau et de glace. Une équipe créée dans le seul but de faire le maximum de dégât chez nous. Une offensive qui nous pris par surprise.

J’avais pris le commandement des troupes. Mais à Betlheas, il n’y avait que des civils, des aides de camps, des blessés et des apprentis à cette période là ! Aucuns de nos soldats, nous pensions à tord que notre Quartier Général était inconnu ! Un tord qui fit beaucoup de dégât. Un tord dont j’ignore les répercussions, mais qui a fait faire un bond, un tôlé, à cette mauvaise ambiance et ces opinions divergentes naissantes.
Un des dragonniers, à la chevelure argentée et la faux…Il trouva ma fille et sembla vouloir l’emmener avec lui. C’est à cette vue que mon sang se glaça, et que je récupérais ma fille avant de sonner la retraite vers l’oasis de Selebor…et d’emmener mon bébé à l’abri. Ma petite d’à peine deux ans !

Une fois à l’oasis, un messager arriva. Philip était disparu, et serait tomber au combat. Le choc fut violent…Non ! Les Wyrms étaient sans chef, démunis, et je ne pouvais et voulait devenir chef. Le retour de Douglas fut salvateur, j’imagine. Car de revoir le parrain de ma fille me permis de « démissionner ». Je ne pouvais pas, plus. La perte de Philip était trop, et je n’y croyais pas.
Mon visage n’étant pas réellement connu, je demandais le droit de partir à la recherche de Phil’. Et je remercie Doug’ de m’avoir laissé ce droit.

Nous camouflant, Rozenn et moi, je partis à la recherche de Philip. Nous étions en Décembre 1566…et j’ignorais que j’étais enceinte. Il faut dire que lorsque Phil’ et moi, nous arrivions à nous voir, nous n’étions pas de jeunes parents purs et innocents. Mais je n’aurais jamais crut être enceinte à nouveau.
Ma condition me poussa à m’installer et me poser quelque part. Retrouvant cette crique du passé. Retrouvant mon ancien village, détruit par la guerre mais avec quelques survivants qui avait depuis oublié…que Scatha Odarnat était partit et avait échoué à l’alliance. Grand-père n’avait jamais révélé ça, et avait dit que j’avais décidé de partir, avec mon dragon, pour vivre. Ils m’accueillirent plus chaudement avec cette guerre, et ignorent toujours, aujourd’hui, que je suis liée à Izelvor et non seulement son amie. Après tout, je revenais faible, avec une enfant et enceinte. Annonçant mon compagnon disparu au combat.

Ce village m’avait peut-être rejeté car j’étais différente, ils crurent que mon époux était un soldat du territoire. Ils crurent à ce qu’ils voulaient croire. Et le peu de survivants fit qu’on ne me jugea pas. Surtout que je repris place dans la maison de l’ancien. Ma maison, celle où j’avais vécu durant prés de dix-huit années.
On m’aida à accoucher en Juillet 1567. Donnant naissance à une petite fille à la peau caramel, et à la chevelure de neige : comme Philip. Je la nommais alors Calista. Calista Stratton.

Depuis, la guerre est terminée et moi qui attendais que ma fille est assez grandit pour reprendre mes recherches, me voilà coincer. Comment puis-je contacter les Wyrms pour reprendre mes recherches ? Comment puis-je passer outre ces fameux visas, qui m’empêcheront de voyager et de retrouver mon compagnon ? Car si duper un village perdu dans les coins forestiers de Keven est aisé, tant que je ne montre pas mon don et cache la télépathie…je ne pourrais pas cacher les dragonniers des escadrons d’élites. Je ne souhaite que savoir si le père de mes filles vit encore ! Je ne souhaite que retourner auprès des miens…ignorant comment ces tensions de 1566 ont finit par se déchainer sur les Wyrms.

J’ai ouïe dire de « factions »…mais je suis trop loin pour savoir vraiment. Et cette vie en ermitage, à l’exception de mes rares allées et retours au village n’aident pas. Mais désormais que Calista a dépassé les 14 mois…l’absence de notre grande famille me pèse. Douglas, Ryan, Molly et Philip me manquent…et ils manquent aussi à Rozenn.
Cette fausse paix me ronge finalement…saurais-je rester en retrait dans pareille situation ?

✘ Pseudo Internet : Bah, Alexander Dark / Lou Ainsel et tous mes comptes sur Lindorm ? lol
✘ Comment avez-vous connu Lindorm ? Miaou ? ^^
✘ Le Code : Validé ?.

✘ Nom : Izelvor.
✘ Surnom : Izy'. Ou encore, Izel'.
✘ Âge : 26 ans.
✘ Type : Dragon d'Eau. D'ailleurs, son nom signifie "Basse Mer".
✘ Don qu'il vous a légué : Grâce à Izel’, je peux concentrer l’eau de façon à la transformer en une pluie de projectiles aiguisés, et donc, transperçant. Mais je ne peux le faire qu’avec de l’eau à proximité…et la quantité de « pics d’eau » dépend de la quantité d’eau présente. Néanmoins, quatre ans à entraîner les recrues est aussi synonymes de trois ans à se parfaire.
Au fil du temps, et surtout après son accouchement, le don de Scatha a commencé à évolué. Au départ, elle ne pouvait faire que des pics qui serviraient de projectiles. Désormais, elle peut faire des pics d'eau de tailles variables et en disposer comme elle l'entends. (En projectile, comme avant, ou encore, en lance...voir en balustrade pour bloquer les attaques élémentaires des ennemis). Toujours à condition, bien évidemment, qu'elle est assez d'eau à disposition !
✘ Nation d'origine : Waterfield.

Izelvor et moi, c’est une longue histoire. Il faut dire qu’il est plus jeune que moi…Il n’a que 26 ans mon p’tit frère.
Car oui, pour moi, Izelvor est mon frère, ma famille. Il a d’ailleurs toujours eut cette fâcheuse manie de me surprotéger, et de rester dans mes pieds. Lui et moi, on s’adore. Mais là n’est pas la question : je sais.
Izelvor est grand et svelte. Sa peau écailleuse est lisse. Ses pattes sont palmées, et sa queue est pourvue d’un puisant aileron. Dans l’eau, il glisse tel une fusée. J’ai toujours aimé nager en sa compagnie, et joueur comme il est, il adore aussi. Vu qu’il essaye souvent de me taquiner lorsqu’on est dans l’eau lui et moi.

Izy, comme je le surnomme parfois, a des griffes et des crocs honorables, comme n’importe lequel des représentants de sa race. Il a la fougue de la jeunesse, et est un peu rebelle n’ayant pas été éduqué à proprement dit.
Par contre, c’est un véritable goinfre ! Il pense tout le temps à son estomac, et c’est un véritable pantouflard ! Parfois, vu sa facilité à s’endormir, je me demande s’il n’est pas narcoleptique cet idiot. Je me sens comme la mère ou grande-sœur qui gronde son imprudent de fils/petit-frère ! Pour dire ! Et puis…il est très tactile et câlin. Et je ne vous parlerai pas de sa jalousie horrible. Il grogne dés qu’on m’approche…mais comme je sais le mater, il finit par bouder cinq minute avant de revenir suppliant pour des mamours.

Un petit ange mon Izy…enfin, sauf en colère. Là, je ne répond de rien. Izelvor en colère…c’est une furie, une tempête, et moi-même je ne sortirais pas indemne s’il se laissait aller à la colère et la rage. Ami et ennemi ne sont pas des concepts qu’il enregistre comme ça. Il n’y a que « famille » et « protection » pour lui.
Désormais, il s'est assagit. Il est moins surprotecteur et possessif qu'avant, même s'il veille comme sur la prunelle de nos yeux sur mes filles. Sage, sa compagne, lui manque et cela se ressent et se voit lorsqu'il fixe l'étendue maritime.
Izelvor et moi avons tous les deux murit, néanmoins, notre nature profonde elle, elle n'a pas changé.